Grr… Ceci est un billet de mauvaise humeur, et même d’exécrable humeur. Régulièrement, la communauté des contributrices et collaborateurs externes de Come4News s’adresse aux fondateurs et administrateurs pour suggérer des améliorations du site. Généralement courtoisement, et en les félicitant de leur initiative, de leur diligence et persévérance. Mais là, si je me réserve à moi-même les insultes (étant averti, perserverere diabolicum, je ne peux m’en prendre de prime abord qu’à moi-même), je dis les choses en un mot : halte ! Halte aux bogues imbéciles et superflus qui font perdre du temps à qui rédige ici.

 

Tout d’abord, à toutes et tous, en attendant que les choses s’améliorent, un conseil impératif. Ne faites pas comme moi qui suit parfois l’actualité minute après minute et la répercute ici en saisissant directement via l’interface de publication du site. Rédigez en interne, via un texteur ou un logiciel de traitement de texte plus perfectionné, puis copiez-collez vos textes.

Cela vous vaudra la plus grave mésaventure qui puisse vous arriver ici. Soit impromptu, sans raison apparente, soit à la suite d’une erreur de saisie, à tout instant, si vous composez en direct, le message « de la mort qui tue » et peut définitivement vous faire déserter Come4News peut apparaître.

Il s’agit d’un message « pop up » intitulé « annonce de la page » ainsi libellé : « Veuillez valider ou annuler la modification en cours ». Passe encore si vous pouviez valider (en cliquant sur l’icône de sauvegarde, soit une disquette). Mais c’est rigoureusement impossible. Vous ne pouvez ni abandonner (ce qui aurait pour effet de ne pas sauvegarder votre texte), ni valider (ce qui vous permettrait d’en reprendre la rédaction par la suite). La seule alternative qui vous soit de fait proposer est d’injurier le monde entier et de briser votre écran d’un coup de poing bien assené ou de cliquer sur le bouton « ok », ce qui a pour effet d’expédier tout ce que vous avez écrit dans les limbes.

Seule solution : la capture d’écran

Dans ce cas, la seule solution consiste à effectuer une ou plusieurs captures d’écran, puis de saisir de nouveau ou d’utiliser un logiciel de reconnaissance optique de caractères.

Mais vous n’êtes pas au bout de vos peines. Une autre solution bancale consisterait, pour celles et ceux pouvant ici publier directement (les plus anciennes et les plus fidèles obtenant une dispense de validation préalable de leurs textes), à saisir et sauvegarder régulièrement avant de reprendre la rédaction du texte en cours.

Tenez-vous bien : dans ce cas, l’accès à votre texte peut être rendue impossible par l’apparition d’un autre avertissement (en anglais) vous indiquant que « votre texte est actuellement édité par un autre rédacteur ». Admettons. Il m’arrive aussi d’intervenir sur d’autres textes (très, très légèrement, pour corriger des coquilles à l’occasion, et ce, sans jamais intervenir sur le fond) et après tout, c’est en général rapide. Mais ce foutu message peut avoir une durée de vie de toute une après-midi, soirée ou matinée, voire davantage.

Pour le présent texte que, poussé par la rage, je saisis directement avec des sauvegardes intermédiaires, pour le moment, tout se passe bien. Mais si je quitte ou que survient l’incident précédent, je ne suis pas sûr qu’au moment du retour et de placer mes images, ce texte sera encore accessible.

Actualiser direct

Certes, l’équipe d’administration est bénévole. Certes Come4News est davantage un site de publication citoyenne de réflexion que d’actualités chaudes. Mais parfois, certaines contributions demandent à être actualisées « à chaud ». Pour ajouter un paragraphe ou effectuer une rectification que l’actualité impose, il est parfois impossible d’accéder à la publication du fait de ces deux bogues. C’est fort dommageable, et il me semble que le fait est constant (non disputé, ici, en langage juridique). Doublement « constant » d’ailleurs car trop récurrent encore.

Nul besoin de commenter ou de lancer une pétition : je suis persuadé que les administrateurs vont tenter, quand ils en auront le rare loisir (elles et ils ont toutes des occupations professionnelles, une famille…), de palier ces inconvénients. Quand au juste ? Au plus vite si possible si, et seulement si, c’est possible.

Car en programmation, tout est certes possible ou presque, mais parfois, sans faire appel à une communauté de professionnels aguerris, on peut longuement déplorer et se lamenter.

J’en suis parfaitement conscient. Mais, scrogneugneu, qu’on nous dise au moins qu’il sera tenté d’y remédier. Si cela n’aboutit pas, tant pis… En attendant, j’en présente mes excuses, pointer du doigt soulage énormément. J’espère que vous ne me tiendrez pas durablement rigueur de ce coup de gueule qui m’était nécessaire… à moi, et si j’en crois ma messagerie parfois, à d’autres aussi.

 

Sans rancune aucune !

Métadonnées

Pour ne pas être totalement négatif, un rappel. Quand vous publiez, renseignez vos métadonnées. Il s’agit de rédiger un très succinct résumé. Ici :
« Les deux bogues les plus récurrents de l’interface de Come4News commencent à courir sur le haricot de beaucoup. » (n’y cherchez point d’alexandrin, ce n’est vu que par les moteurs de recherche, pas la peine de se peler le dit dicotylédone herbacé à gousses).
Puis de consigner des mots-clefs, par ex. :
« Informatique, Come4News, C4N, bogue, zut, damned, oh cong ! », séparés de virgules.
Généralement, quatre ou cinq peuvent suffire, les plus pertinents possibles et là, au lieu des expressions superflues, « programmation, développement » auraient été plus idoines. Relevez la quasi-redondance « Come4News, C4N » qui n’en est pas une, car d’aucun·e pourraient effectuer une requête sur seulement l’un ou l’autre de ces deux termes.

 

Certains termes sont plus « porteurs » que d’autres (ainsi, un temps, l’expression « Carla Bruni » et ce n’est qu’un exemple). Évidemment, là, en la présente occurrence, on s’abstiendra.
N’attirez pas les « gousses » (fam. et péj. que je n’emploie supra qu’aux fins de démonstration) qui ont bien d’autres soucis ou loisirs que de s’intéresser à la cuisine interne de C4N.

 

En revanche, j’ai oublié d’où provient l’interface de C4N, et c’est fort dommage car en mentionner la dénomination en métadonnées aurait été pertinent (à mon humble avis, c’est de l’Unix-like, développé sous Joomla, Umbutu ou dans je ne sais plus quel langage ou système, j’ai tenté évidemment de rechercher, en vain pour le moment…).

Ce juillet, près de 60 000 euros auront été versés aux comptes PayPal de celles et ceux ayant publié sur C4N. Pour que cela dure, ami·e·s, donnez… de votre temps et de vos efforts pour améliorer la qualité de ce site. Mais si, en sus, deux bogues pouvaient approcher de leur fin de vie, ce ne serait vraiment pas superflu.

P.-S. – pour la réduction homothétique, soit proportionnelle, des visuels en une, ce qui éviterait qu’ils soient déformés (étirés, contractés…), cela peut attendre. Je sais, cela aurait des avantages, mais aussi des inconvénients (selon les dimensions originales des visuels). Mais pourquoi ne pas demander des solutions éventuelles à la communauté des développeurs ?
De même pour l’insertion des espaces insécables via un raccourci clavier. Si c’est possible dans les commentaires (AltGr+0160 du pavé numérique ou autrement), cela doit l’être aussi dans le corps des textes. De même, la transformation des codes des espaces insécables des principaux logiciels de traitement de texte dans un code conforme (soit  , j’imagine) devrait être possible en ayant recours à une « moulinette » de substitution automatique. 

N.-B. – étant d’exécrable humeur, je ne corrige ici même pô mes éventuelles coquilles ou erreurs orthotypographiques, na ! C’est tout juste si je supprime les espaces superflus après le point final qui suit.

Post-Scriptum 2

Argh ! Putentrailles (si j’ose) ! Suis-je damné ?
À peine venais-je de rétablir l’article qui m’avait valu ce bogue que, passant par la une, je remarque que l’un de mes articles avait « filé » : on ne lisait plus que mon nom, le titre, la date et le nombre des commentaires. Disparue l’illustration, disparues les premières lignes du châpo.

 

Je clique donc pour m’apercevoir qu’effectivement, tout le corps de l’article avait disparu et que trônaient à sa place deux publicités identiques. C’était mon 1198e article publié (sur actuellement 1184, et je ne compte pas ceux que j’ai renoncé à publier du fait de bogues) et c’est la première fois qu’une telle mésaventure survient, à ma connaissance. Bogue involontaire, bogue pardonné…

 

L’ennui, c’est que je ne conserve pas mes articles sur un disque dur. Cela aurait été un article d’actualité éphémère, passe encore… Bah, I got a life outside (je ne passe pas ma vie entière ici). Mais si, après avoir publié sur Come4News mon 1789e article, certains bogues ne sont pas éradiqués, je m’orienterai vers d’autres bastilles, promis, juré, craché ! 

Et cochon qui s’en dédit. Car, pour terminer avec Paolo Conte sur une note humoristique, si les vieux cochons finissent en saucissons, les hommes, quand ils vieillissent, deviennent des cochons. Et là, avec les bogues, je finis par me faire encore davantage de cheveux blancs…