Alors que les médias ont stoppés leur sujet favori du mois de mai, une habitude macabre de commencer à parler d’un problème sans jamais en arriver à une conclusion. Les autorités anticipent un retour du virus à l’automne dans le pire des scénarios possibles.

L’état français a commandé près de cent millions de doses de vaccin contre la grippe A/H1N1 dans la crainte de la réédition de la grippe espagnole de l’année 1918. Dans la mesure du possible, l’état envisagera un plan d’une hauteur d’un milliard d’euros afin de protéger tous les français.

Si cette « pandémie » venait à prendre une ampleur inconsidérable à l’automne prochain. Alors les services publics, écoles, entreprises, administrations seraient réquisitionnés à la vaccination. Dans un cas fort problématique pour la santé nationale et mondiale, la vaccination deviendrait obligatoire et personne ne pourrait se soumettre à refuser cette hypothétique vaccination.

Pour enrayer une épidémie, les trois quarts de la population devraient êtres vaccinées afin d’enrayer au mieux la propagation du virus. Néanmoins cette hypothèse d’un point vue national peut se transformer en une vaccination globale. Du fait qu’un vaccin sera disponible dans les prochains mois, il est fort à parier de voir venir pour la fin de l’été ce vaccin qui ne fait d’avance pas l’unanimité.

De même, un vaccin ne sera actif que contre une souche précise, renforçant du même coup la virulence des autres souches

Les derniers chiffres en date démontrent un total de 40 000 personnes contaminées à travers le monde dont 169 décès. Cette semaine a d’ailleurs débutée sur un décès au Royaume-Uni ainsi qu’un possible foyer dans la ville de Toulouse alimentant de plus en plus la peur chez les ménages (le taux d’infections confirmées s’élève à 106 sur le territoire français à l’heure actuelle).

En clair, ces mesures se jonchent sur un risque de prévention au risque de crée une psychose pandémique ou soit de ne pas se préparer à temps au pire ce qui dans les deux cas ne satisfera point les populations.

Conclusion en automne…