Chers lecteurs, voici que je me mets à rédiger mon article en suivant mon instinct et ma volonté de rendre un hommage vibrant.

 

En effet, avant hier, dimanche 23 juin 2013, je dus utiliser un site web connu et reconnu à travers le monde : « Google Maps » et son fameux « Google Street View ».

 

Je suis alors retombé dans l’admiration la plus totale pour ce type d’application accessible à tous sur « www.google.fr ».

 

Vivant un petit moment de nostalgie, je décidai d’aller sur « Google Maps » et de faire des agrandissements progressifs sur le plan de la France, pour me rapprocher de plus en plus de la ville dans laquelle j’avais vécu toute mon enfance et adolescence : Plaisir (oui, elle existe bien), dans les Yvelines près de Paris.

 

Je revins alors au-dessus de l’ancienne maison de mes parents, et déjà les souvenirs resurgirent à mon esprit. Je décidai donc de poursuivre en cliquant sur le petit bonhomme orange, situé en haut à gauche sur le curseur de recul, ce qui me transporta instantanément devant « chez moi », à plus de mille kilomètres de mon domicile actuel, dix années en arrière.

 

Fabuleux, cela faisait presque cinq ans que je n’avais pas revu cet endroit.

 

La chose merveilleuse de ce site, est que Google actualise autant que possible les images contenues dans « Google Street View ». Ainsi, je pus observer mon ancienne demeure, telle qu’elle fut photographiée à 360° en septembre 2012 !

 

Les larmes me vinrent alors aux yeux (vous vous direz sûrement  « quel sensible ce Rédac Fab »), je redécouvrais et me réhabituais à l’endroit, m’ayant vu grandir, et ma seule envie, après la multitude de souvenirs réapparus à mon esprit, fut de pouvoir ouvrir puis visiter mon ancienne maison… Mais je savais que cela était impossible…

 

Je décidai quand même de rester dans les parages, puis de me promener au gré de mes envies, clic après clic, mètre après mètre, dans mon ancien quartier, plus vrai que nature et comme si j’y étais, totalement transporté en ces lieux que ne reverrai sans doute pas avant quelques années sinon plus.

 

Pour finir mon incartade nostalgique, je repris un peu de hauteur, me souvenant de l’appartement dans lequel j’allais tous les week-end de mon enfance voir ma grand-mère maternelle, que j’appelais tendrement « Mamie Jeanine ».

 

Et quelle fut ma surprise, malgré ma méconnaissance totale de l’adresse excepté le nom de la ville, « Gentilly » aux portes Sud de Paris, de me retrouver en quelques clics volant par-dessus les toits de cet immeuble.

 

« C’est sûr ! M’exclamai-je soudain. Je reconnais les jardins de derrière chez ma grand-mère, dis-je ensuite à ma compagne, fier de lui montrer le lieu où j’avais vécu les week-ends inoubliables de mon enfance ».

 

Je cliquai de nouveau sur le bonhomme orange et me retrouvai immédiatement transporté devant la porte d’entrée de l’immeuble, n’en croyant pas mes yeux. Merveilleux « Google Street View ».

 

D’un air quasi ahuri, je regardais mon écran d’ordinateur, bloqué, comme si j’étais revenu dans mon enfance, et que « Mamie Jeanine », Paix à son âme, m’attendait en bas de l’immeuble en me disant que « je lui avais manqué ».

 

Je sais, je sais, vous vous dites, chers lecteurs : « à votre place Rédac Fab, on couperait internet pour arrêter de souffrir ».

C’est ce que j’aurais dû faire, mais je suis quelqu’un de persévérant, même si cela fait mal…

 

Du coup, comme le dirait un vieux proverbe « qui s’y frotte s’y pique », je restais encore un instant à Gentilly, puis porte d’Italie, retrouvant le « Parc Kellerman », magnifique parc de 5,6 hectares où ma grand-mère nous emmenait, moi et mon frère, presque chaque fois qu’elle se retrouvait avec nous, tellement nous adorions l’endroit.

 

 

 

 

Je fus donc « piqué » dans mon âme, et les larmes sortirent quelques secondes, incontrôlables… J’arrêtai enfin de m’évader pour revenir à la réalité.

 

Voilà une expérience hors du commun, et simple à réaliser, qui me pousse aujourd’hui à rendre un vibrant hommage à ce site merveilleux et à ses concepteurs.

 

Bien entendu, « Google Maps » et « Street View » ne servent pas qu’à visiter des lieux communs. Si vous avez un peu de temps libre, prenez quelques minutes pour vous y connecter, puis profitez-en pour vous balader au gré de vos envies, tel « Néo » dans la « matrice », tout puissant dans un monde où les limites n’existent plus.

 



Ainsi et sans bouger de mon ordinateur, je me suis rendu grâce à « Google Maps » et « Google Street View » là où je n’irai peut-être jamais de ma vie. J’ai pu donc visiter les rues de New-York, de Rome, de Sidney, mais également celles de Paris sous un tout nouvel angle.

 

 

 

Pour conclure, je souhaiterai une longue vie à Google et à ses conceptions à la vision hors-normes.

 

Même si mon article n’est pas validé, je tenais plus que tout à utiliser deux bonnes heures de mon temps libre pour de telles créations d’internet, surtout quand celles-ci font resurgir à mes yeux les lieux les plus beaux que ma mémoire ait pu enregistrer, sans pour autant pouvoir y revenir quand je le souhaite vraiment… Maintenant, on peut dire que c’est en partie « chose faite », merci Google !

 




Et vous ? Avez-vous déjà ressenti de telles émotions sur Internet ? Si oui, n’hésitez pas à laisser un ou plusieurs commentaires en bas de cet article, qui je l’espère aura eu le mérite, si vous n’avez pas encore découvert « Google Maps » et « Street View », d’attiser votre curiosité.