FUMEURS ATTENTION : Même sur les terrasses extérieures, vous êtes visés

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Et voilà les fumeurs encore à l’ordre du jour.

Comme si cela ne suffisait pas, c’est maintenant les terrasses fumeurs qui sont la cible des associations anti-tabac.

Je ne suis pas contre l’interdiction de fumer dans les lieux publics, mais il faudrait voir ne pas exagérer.

Les bénévoles de ces associations auraient en effet, relevé lors d’une campagne effectuée de février à octobre. Un taux de particules fines inférieures à 2 microns en suspension dans l’air de 250 cafés et restaurants de France.

Monsieur Gérard Audureau, Président de l’association de lutte contre le tabagisme passif, association subventionnée par la Direction Générale de la santé et l’Institut Nationale du cancer, souligne :

 

-"Ces conclusions montrent que les bénéfices de l’interdiction de fumer dans les lieux publics, sont annulés par l’existence des terrasses fumeurs, que celles-ci soient ouvertes ou entièrement fermées".

D’après les conclusions de ces personnes, l’air intérieur est pollué par la fumée venue de l’extérieur.

Ils affirment que la fumée entre par les portes et par les bouches d’aération des systèmes d’extraction d’air.

Que recherchent ces associations ? A nous interdire de fumer même dans la rue.

 

Au lieu de dépenser leur énergie, leur fougue à essayer de faire des fumeurs des parias.

Elles feraient mieux de se démener pour la santé de tous, fumeurs ou non-fumeurs et ne pas défendre qu’une seule partie de la population.

Elles feraient bien mieux de se battre contre les fabricants de cigarettes, qui eux n’hésitent pas à nous empoisonner, en ajoutant des produits dangereux dans le tabac ou en cultivant celui-ci avec des engrais chimiques, qui se retrouvent ensuite dans les cigarettes provoquant ainsi nombre de cancer.

Les fabricants le savent depuis de nombreuses années, mais jamais rien n’a été fait pour remédier à cela ou pour réduire les risques.

 

Il ne faut pas oublier que le tabac il y a plusieurs dizaines d’années, n’était pour ainsi dire pas cancérigène, car cultivé naturellement et sans ajout.

Nombreux alors, étaient les hommes à fumer et pourtant ils vivaient sans problème jusqu’à un âge très avancé.

Ce sont les ajouts de produits chimiques que l’on a mis dans celui-ci pour le goût, la combustion et les engrais utilisés pour le cultiver, qui provoquent le cancer et non le tabac en lui-même. C'est ainsi que "le  polonium 210" qui est un poison très dangereux, se retrouve dans le tabac.

J’ai d’ailleurs fait un article à ce sujet suivez le lien pour le lire

Il faut arrêter, cela devient une vraie chasse aux fumeurs.

 

Attention fumeurs vous êtes visés.

La liberté de l’homme fond comme peau de chagrin.

36 réflexions sur « FUMEURS ATTENTION : Même sur les terrasses extérieures, vous êtes visés »

  1. [b]Les députés et sénateurs UMP ont catégoriquement refusé, [i]de même que beaucoup d’entre eux qui sont dans l’Opposition[/i], de voter en faveur de cette proposition de loi, qui aura très peu de chance de passer, tant elle s’avère liberticide ! Même, au Gouvernement, personne ne semble chaud pour approuver un tel texte !

    De toutes les manières, grâce à la Réforme des Institutions, les Français pourront s’adresser directement au Conseil Constitutionnel dès lors qu’un décret ou une loi leur paraitra attentatoire aux libertés individuelles…[/b]

  2. terrasses fumeurs

    C’est plutôt les organisations anti bruit qui devraient s’opposer aux terrasses fumeurs.

  3. @ new reporter
    [b]Mais, new reporter, les terrasses ont toujours existé, ce, même avant ce décret anti-fumeur…
    J’ai déjà mangé dehors à une terrasse chauffée en plein hiver à plusieurs reprises, il y a dix ans…[/b]

  4. 😉 pas faux! New reporter. Je plains les voisins !! 😀 😀
    Ceci dit, pour un non-fumeur, sortir d’une salle de concert en traversant une haie de fumée….c’est moyen….
    et aller prendre l’air à l’entracte, c’est à réfléchir….

  5. Les terrasses ont toujours existé c’est vrai mais l’interdiction de fumer dans les lieux publics a augmenté le nombre des personnes devant les bar-tabacs.

    Ils entrent et sortent, laissant quelque fois la porte ouverte, permettant de ce fait aux voisins de profiter du bruit.

  6. [b]new reporter[/b], avant d’être journaliste, j’ai été chef de rang, barman, garçon limonadier-brasseur, travaillant dans divers restaurants, brasseries, bars tabacs… et j’en passe…, dans les années 1970/1980… [b][u]Et, ce que vous écrivez a toujours existé et ce n’est pas nouveau[/u] :[/b] [i]des portes d’établissements que des clients oublient de fermer en partant, des terrasses animées, le bruit, l’animation, ce, même avant la Loi Evin, ce, même avant le durcissement des lois anti-tabacs…[/i]

  7. Ce que j’écris a toujours existé, c’est vrai mais le phénomène a été amplifié par l’interdiction de fumer dans les lieux publics.

  8. [b]new reporter, croyez-moi… A l’époque où je travaillais, et c’était dans les quartiers animés de Paris, il y avait autant de bruit que maintenant… Je me rappelle que des riverains se plaignaient de nos clients qui stationnaient devant l’établissement, des voitures qui clacksonnaient, des gens qui chantaient, hurlaient…

    Je veux bien que cela ait été amplifié par toutes ces mesures anti-tabac, mais, cela a toujours existé ![/b]

  9. @ new reporter
    [b]new reporter, il ne s’agit pas d’un retour aux sources… Il en a été ainsi, que ce soit avant ces lois anti-tabac, que ce soit après !

    Je vous invite à aller faire un tour au Quartier Latin, au Marais, au Châtelet, sur les Grands Boulevards, sur les Champs Elysées, dans certaines banlieues animées comme Saint-Geramin-en-Laye ou Vincennes… Vous verrez ![/b]

  10. Bonjour
    Dominique,

    En effet et je l’espère, parce qu’il ne faudrait quand même pas exagérer.

    Et que ces associations s’attaquent, comme je le dis dans cet article, plutôt au fabriquant de tabac, qui nous empoisonnent, plutôt qu’aux fumeurs.

    Merci de votre passage.
    Amicalement. Andréa.

  11. Bonjour
    News Reporter,

    Pas mal du tout, j’ai bien ri. Et si de nombreux fumeurs s’y entassent en discutant quel brouhaha.

    Merci d’êre passé.
    Amicalement. Andréa.

  12. Bonjour River
    Même pas un petit « joint » de temps en temps comme dans la chanson « être une femme libérée ». (lol).

    Amicalement. Andréa.

  13. [b]Andréa,

    plutôt que de nous faire ces lois anti fumeurs, le Gouvernement devrait, [i]comme je l’ai écrit dans un de vos articles[/i], interdire [u]formellement[/u] tout ajout de produits chimiques dangereux et cancérigènes dans les cigarettes, dans les tabacs à rouler, dans certains tabacs pour pipe…
    Il faudrait que le Gouvernement se penche sur la dangerosité de ces produits… En effet, lorsque vous fumez un cigare venant de Cuba, il n’y a aucun produit chimique… Donc, vous avez, outre le fait que c’est moins dangereux, un problème d’accoutumance qui est évité, sachant qu’un fumeur de cigare, déguste, mais ne fume pas des cigares à la suite l’un de l’autre… Il en est de même pour ceux qui fument la pipe en mettant du tabac brin, qui n’est pas parfumé !

    Amicalement,

    Domiique[/b]

  14. [img]http://www.tongif.com/gifsanimes/images/chat/c10.gif[/img]
    Et non!! Il y a bien assez de trucs gratuits pour te prendre la tête sans ces « poisons » artificiels pour d’hypothétiques « paradis »!
    Je me drogue qu’à l’internet….. ;D ;D ;D ;D

  15. [b]river, la connexion à Internet est… [i]tout comme le tabac[/i]… payant ![/b]
    [b]La connexion à Internet peut… [i]tout comme la consommation de tabac[/i]… être une drogue ![/b]

    [b]Mais, il est vrai que la connexion à Internet n’est pas dangereuse, alors que la consommation de tabac peut l’être…
    Donc, il faut interdire formellement l’ajout de tous ces produits chimiques cancérigènes et dangereux dans le tabac ![/b]

  16. Le polonium fait un tabac
    Secret de Polichinelle pour les médias comme pour les cigarettiers qui auraient été avertis il y a 40 ans : le tabac contient une substance radioactive qui compte parmi les plus nocives : le polonium 210 ! (Terme qui fait référence à la Pologne, en hommage à Marie Curie dont c’est la terre natale et qui avait inventé le terme de radioactivité en 1898).

    L’Almanach Hachette de 1952, (petite encyclopédie populaire de la vie pratique), consacre deux pages au polonium en se voulant rassurant : « Le maniement des corps radioactifs exige en général de grandes précautions, mais elles ne sont pas nécessaires avec le polonium  » (..)  » on vante la puissance de rayonnement de nouvelles matières qui peuvent traverser de fortes épaisseurs de plomb, mais il est un produit dont on passe le nom sous silence c’est le polonium… C’est une bien faible matière radioactive… dont la plupart des radiations sont stoppées par une feuille de papier. Elle est donc bien inoffensive. [Mais]…ce parent pauvre des corps radioactifs renferme en lui de bien curieuses propriétés qui le rendent assez mystérieux ». Mais c’est quelques microgrammes de ce métal qui avait suffi pour assassiner l’ex-agent du KGB Alexander Litvinenko à Londres en 2006 , lequel événement a eu le mérite de la faire redécouvrir au grand public, mais sous un autre jour, celui d’une substance radioactive hautement toxique !

    « Le polonium 210 est un émetteur de radiations alpha si instable et dangereux qu’il est un des rares à n’avoir jamais été utilisé en médecine, » nous dit le Figaro. (http://www.lefigaro.fr/sante/2008/08/27/01004-20080827ARTFIG00559-le-secret-du-polonium-dans-la-fumee-de-cigarette-.php) C’est d’ailleurs cette substance qui avait été utilisée pour assassiner l’ex-agent du KGB Alexander Litvinenko à Londres en 2006 !

    Le Figaro nous apprend aussi que : « le numéro de septembre de l’American Journal of Public Health publie l’analyse de plus de 1500 documents internes des firmes productrices de tabac qui a permis à Monique Muggli, une chercheuse de la Mayo Clinic aux États-Unis, de démontrer que les industriels savaient tout et n’ont rien dit. Paul Eichorn, dans un mémo de 1978 au vice-président de Philip Morris, conseillait de taire la présence du 210Po dans le tabac : «Nous risquerions de réveiller un géant endormi !» » Le NouvelObs précise que : « Philip Morris avait même créé un laboratoire chargé de mesurer le rayonnement émis par le polonium dans le tabac. Le laboratoire avait fini par être fermé, jugé trop dangereux pour le groupe. » ( http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/societe/20080828.OBS9173/du_polonium_210_dans_les_cigarettes_les_industriels_sav.html?idfx=RSS_notr )

    Il faut savoir aussi que fumer 30 cigarettes par jour équivaudrait à une (simple) radiographie des poumons 300 fois pas an, alors qu’une telle exposition autorisée par la science médicale ne doit généralement pas dépasser deux séances par an de ce type de radiographie ! La valeur admise de dose annuelle, s’ajoutant à la radioactivité naturelle de 2,5 mSv (millisievert) pour un individu en France est de 1mSv ; des signes cliniques dus aux irradiations apparaissent chez les humains à partir d’une dose unique équivalente à 1000 mSv (soit 1 Sv). L’individu est alors systématiquement hospitalisé ; 1mSv est la limite réglementaire de dose annuelle pour la population française (au-delà de la radioactivité naturelle) et l’article R231-76 du code du travail limite à 20 mSv/an la dose absorbée par les personnels exposés aux radiations. ( http://www.ecolo.org/documents/documents_in_french/RADIATIONS-LUNG-06.doc )

    Cependant, une radiographie des poumons donne une exposition de 0,5 mSv, mais avec un seul scanner du poumon, on atteint 20 mSv ; fumer 30 cigarettes pas jour représente donc annuellement la prise d’une dose de 150 mSv et donc 150 fois la dose annuelle autorisée ! Avec une dose de 10 Sv ou 10000 mSv : « 100% des irradiés meurent s’ils ne sont pas hospitalisés » (normes officielles : http://www.astrosurf.com/luxorion/radioactivite-mesure-protection-civile.htm ) : si mon raisonnement est juste, compte tenu de l’accumulation de la radioactivité dans le corps d’un fumeur et au départ d’une substance jugée parmi les plus nocives, on pourrait donc légitimement penser qu’après 66 ans (au maximum) d’une telle exposition, sans hospitalisation, l’issue serait fatale. Je serais curieux de savoir quelle dose de radiation ont subi, par exemple, des personnes qui ont été surexposées au point de développer rapidement un cancer et je voudrais alors comparer les chiffres, ce dont on serait en droit d’attendre d’un journalisme d’investigation mais n’est-il pas une peu naïf d’en attendre la parution, vu les intérêts et lobbies en présence ?

    Peu de gens savent que le radon est une sorte de gaz qu’on trouve en Belgique surtout au sud du sillon Sambre et Meuse (comme davantage dans les endroits plus élevés) et qu’il se stocke dans les caves et les cavités souterraines ; y sont davantage soumis les travailleurs du sous-sol (mineurs divers, agents de métro, égoutiers…). Ce que Jacques Pradel (Ancien Président de la Société Française de Radioprotection) souligne, c’est qu’on n’a pas « suffisamment porté attention au devenir de ces atomes de radon présents dans la croûte terrestre de notre planète et relâchés en partie dans notre atmosphère. Ils donnent, après leur désintégration assez rapide (période 3,8 jours), naissance à des atomes de plomb (Pb 210) et de polonium (Po 210). »( http://www.ecolo.org/documents/documents_in_french/fr.Polonium.ConfATSR_12_99.do c)
    Imaginons maintenant un gros fumeur (30 cigarettes par jour) travaillant en sous-sol : il faudrait en conséquence revoir nettement à la baisse cette période calculée de 66 ans (voir paragraphe précédent).

    On est alors en droit se se poser légitimement des questions comme : pourquoi, d’un côté, les « responsables » publics préconisent-ils de ne pas dépasser plus de deux expositions par an à une (simple) radiographie et, de l’autre côté, ne mettent-ils aucune limite à la consommation de tabac, au point de faire courir donc de graves dangers (selon leurs propres normes sanitaires) à tous les fumeurs sur le simple fait qu’il s’agit donc d’un exposition à une substance radioactive parmi les plus instables et dangereuses ? Cherchez donc l’erreur !

    Dans le journal belge De Streekkrant. on apprend que « Les autorités belges n’ont jamais enquêté sur la composition précise des cigarettes. La raison principale: c’est trop cher, a précisé Paul Van Den Meerssche, responsable de l’inspection du tabac au département de la Santé publique. » ( http://www.7sur7.be/7s7/fr/1507/Sante/article/detail/411880/2008/09/10/Enqueter-sur-la-composition-des-cigarettes-est-trop-cher.dhtml ) Voilà donc déjà une « réaction » certes autre que celle qu’on aurait légitimement attendu de la part d’un Etat « responsable » !

    En revanche, on a eu déjà droit à un surprenant avis du « Comité national contre le tabagisme » (CNCT : http://origine2.liberation.fr/actualite/economie_terre/348106.FR.php) très poncepilatique me semble-t-il : sans être gêné le moins du monde, il veut rassurer en lançant que « le polonium 210 est un élément extrêmement dangereux et sa présence dans les cigarettes met surtout le poids sur le fait qu’il ne représente qu’un élément parmi les 4000 composés toxiques qui constituent une cigarette. »( http://www.retrouversonnord.be/tabagisme.htm ) Comme s’il fallait dénigrer la toxicité d’une substance vu la présence conjointe de 3999 autres ! C’est à tout le moins faire preuve d’un cynisme déplacé ; on est pas loin d’un certain machiavélisme ! En effet, on pourrait croire que, vu ces 3999 autres toxiques dans le tabac, qu’il est futile de se préoccuper d’un seul, fût-il l’unique élément radioactif et d’abandonner ainsi les fumeurs au destin (prétendument) funeste qu’on ne se prive pas de leur rappeler, en ce qu’il est bien en vue sur tous les paquets de cigarettes et dans les coûteuses et fréquentes campagnes de sensibilisation sur les médias !

    Cependant ne nous leurrons pas : la psychobiologie moderne, en phase avec les découvertes incontestées de la Physique Quantique, a montré que toutes les maladies avaient une origine psychique, sauf en ce qui concerne celles entraînées par les expositions trop fortes ou trop longues à des agents chimiques, au feu ou à des rayonnements radioactifs ( http://www.retrouversonnord.be/Psychobiologie.htm ). La question subséquente et cruciale serait donc de savoir si l’ingestion (qualité et quantité) de ce polonium-210, par le truchement d’une consommation quotidienne et importante de tabac, était de nature à être considérée comme pouvant provoquer (à elle seule) un cancer.

    Plus finement, même en cas d’exposition qui ne conduirait pas directement à la mort, il faudrait bien prendre en compte, comme pour tous les autres toxiques, que l’ingestion de polonium encombrera inévitablement le « terrain » du sujet et rendra, non seulement les convalescences plus longues, mais pourra faire se déclencher plus tôt et plus intensivement les maladies (http://www.retrouversonnord.be/Terrain.htm). Cela pourrait alors raccourcir d’autant la rémission. Pour expliquer les impacts de l’environnement (au sens le plus large) sur la santé, voici ce que le psychothérapeute Christian Flèche écrit dans son livre « Mon corps pour me guérir » (p. 136) :

    « Tout symptôme doit être considéré comme la rencontre entre un choc et un terrain. Le terrain est constitué d’une couche profonde qui est l’histoire familiale, psychogénéalogique et d’un environnement social, familial, naturel, pollution, alimentation. Les chocs peuvent être plus ou moins nombreux et leur intensité varie considérablement. Si le choc est important, mais qu’il intervient sur un terrain sain, un niveau de santé élevé, dans un environnement positif, il entraînera une pathologie mineure.
    Un conflit de souillure, par exemple, pourra donner une verrue. Si c’est un petit choc, intervenant sur un même type de terrain, cela ne donnera aucune pathologie. Si au contraire le terrain est faible, si la personne est en hypersympathicotonie, en hypercortisonémie, un choc important donnera une pathologie importante. Pour reprendre, le même exemple, un conflit de souillure important entraînera un cancer de la peau. Un choc mineur donnera, lui, une verrue. »

    Au risque d’en étonner plus d’un, jamais il n’a été prouvé scientifiquement que le tabagisme causait quelque forme de cancer que ce soit. Il faut donc tordre le coup à ce très mauvais canard : celui relayé à profusion et en chœur par les médias, mais qui a la faculté (perverse et certes involontaire) d’envoyer plus rapidement les gens vers la mort par un effet pourtant connu : la conséquence exacte de ce qu’on voulait pourtant prévenir au départ ! En effet, l’annonce d’une maladie quelle qu’elle soit risque d’entraîner ainsi ce qu’on appelle un « conflit de pronostic » ou « de diagnostic » dans ce qu’il est de nature de causer bien plus de dégâts que la maladie elle-même : par le mécanisme de l’autosuggestion, le cerveau exécute ce que le psychisme croit et même si cela dépasse ce qui s’est réellement somatisé.( cf. « Ce que finit par entraîner la peur de … » http://www.retrouversonnord.be/peurde.htm).

    La seule expérience scientifique (bien absente des sources officielles) qui a tenté de démontrer l’effet prétendument cancérigène du tabac, n’a pu en fait qu’établir une autre (surprenante ?) vérité : qu’il n’y avait aucun lien établi (scientifiquement) entre tabagisme et cancer, que du contraire ! Bémol : d’une part, on a pas connaissance dans l’expérience scientifique citée après, de l’exposition en mSv, faute d’avoir pris en compte (à ma connaissance) les effets du polonium ; d’autre part, on aurait dû aussi faire des expériences qui leur auraient fait ingérer à ces mêmes hamsters, des doses analogues à 1000 mSv (dose donc réputée comme étant mortelles à 100 %). Voici la relation de cette expérience : « Les hamsters enfumés attrapent-ils le cancer ? » ( http://www.retrouversonnord.be/cigarettehamster.htm ) et ce qu’en a notamment dit Richard Sünder (http://fr.groups.yahoo.com/group/medecines_douces/message/830), qui relate aussi cette expérience dans son remarquable livre « Médecine du mal, médecine des mots » (http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.118) :

    « Le fumeur — qui fume parce qu’il est déjà stressé — ne fait pas de cancer du poumon par la vertu cancérigène de la fumée. Rien ni personne n’a jamais démontré que la fumée était cancérigène, en dépit de ce que l’on nous fait croire sans en rien savoir — c’est le même scénario que celui qui prétend, sans aucune preuve autre que l’imaginaire de l’observateur, que les pompiers sont responsables de l’incendie.
    Au contraire, l’expérience de W. Dontenwill et al. (Revue sur la recherche contre le cancer et l’oncologie clinique 89, 153-180, 1977) a démontré qu’aucun des 6000 hamsters dorés, soumis six ans durant à la fumée de cigarette, n’a fait de carcinome d’épithélium pavimenteux des bronches ni de carcinome alvéolaire. Mieux les hamsters enfumés ont eu un taux de survie supérieur à celui des 6000 hamsters témoins non soumis à la fumée ! » Lire le compte-rendu de l’expérience scientifique (cf. http://www.retrouversonnord.be/cigarettehamster.htm).

    De son côté et voici déjà plusieurs décennies le Pr Henri Laborit (http://www.retrouversonnord.be/InhibitionActionLaborit.htm), fort de ses expériences scientifiques (reconnues par ses pairs) qui ont démontré que c’est le facteur psychique qui fait la différence, pouvait donc affirmer :
    « (…) pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr :cancer], il ne suffit pas d’un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l’individu qu’ils atteignent. (…). »
    (C’est l’auteur de cet article, qui a souligné et mis en rouge car il faut donc aussi ranger
    les constituants du tabac parmi les « toxiques »)

    Le Pr Henri Laborit, dit encore « …la pathologie réactionnelle aiguë à une lésion, elle-même brutale et soudaine, dépend aussi de ce qu’il est convenu d’appeler le « terrain » (http://www.retrouversonnord.be/Terrain.htm ) et qui nous paraît être l’état de la dynamique métabolique tissulaire au moment où elle s’installe. Cette dynamique elle-même dépend de toute l’histoire antérieure du sujet, c’est-à-dire de ses rapports historiques avec ses environnements. »( http://www.retrouversonnord.be/InhibitionActionLaborit.htm)

    Il faut (re)préciser que, bien évidemment, tous les gros fumeurs ne contractent pas nécessairement de cancer des poumons ou des voies respiratoires ; en conséquence, on peut donc raisonnablement penser qu’en ce qui les concerne, la qualité et la quantité accumulée dans le temps de polonium 210 dans leur organisme n’est donc pas comparable à celle qui est nécessaire pour déclencher à coup sûr des cancers, comme ce fut le cas, par exemple, pour ces marins russes qui ont été exposés trop longtemps à la radioactivité des réacteurs nucléaires (sous-marins), lors des tentatives désespérées de réparation de ceux-ci. Cependant, il serait plus qu’intéressant d’analyser les statistiques de mortalité chez les plus gros fumeurs : on aurait alors le coeur net en ce qui concerne le fait de savoir si la dose alors ingérée de polonium est ou n’est pas en deçà de ce qui engendre à coup sûr un cancer.

    On peut alors regretter que la presse fasse encore ses choux gras d’une information qui fait donc un « tabac », mais est d’abord de nature à créer ou nourrir encore des peurs aux effets pervers dont elle semble ne pas, ici encore, se soucier ou en mesurer la portée ; elle aurait pu, comme j’ai modestement tenté de le faire, poser les bonnes questions ; on aurait alors pu être « rassuré » en attendant des études officielles et qui paraissent donc bien urgentes ; vu les enjeux économiques, le fera-t-on un jour ? En l’état de tout ce matraquage médiatique et qui culpabilise un peu plus les fumeurs, bien que n’en faisant pas partie, je trouve qu’on leur fait là un très mauvais (et dommageable comme démontre) procès ; de plus, en renforçant ainsi leur mauvaise conscience, on favoriserait chez eux l’apparition (par exemple et comme décrit) d’un conflit de peur de mourir (conflit de diagnostic) qui pourrait, notamment, se somatiser en cancer des poumons et donc bien plus grave que ce qui serait attendu sans ce stress causé par l’appréhension d’en avoir un ( cf. « Ce que finit par entraîner la peur de … » http://www.retrouversonnord.be/peurde.htm ).

  17. [b]Bonjour, M. DUTILLOY,
    oui, bien sur[/b],
    j’aurais du mettre mes phrases différemment, [b]les comprendre ainsi:[/b]
    * les trucs qui prennent la tête (qui sont personnels à chacun et sur lesquels je ne disserterai pas)
    * et la petite blague sur internet (pour la rédactrice)
    Bon après midi.

  18. River,

    Merci de ton passage et de ce joli minou, il est si mignon.
    Fais gaffe à Internet, on ne sait jamais, ce peut-être une drogue quand même.

    Amicalement. Andréa.

  19. Dominique
    En effet il faudrait que l’Etat se penche sérieusement sur tous ces produits rajoutés dans le tabac et des engrais qui sont utilisés pour la culture de celui-ci et qui sont très dangereux comme le « polonium 210 », j’ai d’ailleurs écrit un sujet sur cela et je donne le lien dans mon article.
    Pas sûr qu’Internet ne soit pas dangereux, cela peut devenir une drogue comme vous le dites, mais cela peut-être dangereux certains jeunes se désocialisent à cause de cela et là ?

    Amicalement. Andréa.

  20. River
    Comme je te l’ai dit Internet peut-être une drogue et fumer de trop Internet peut faire brûler ton ordi.
    Fais attention quand même.

    Amicalement. Andréa.[img]http://www.blogoutils.com/images/a26.gif[/img]

  21. la cigarette électronique
    Bonjour,

    Utilisateur convaincu de la cigarette électronique depuis plusieurs mois, j’ai ouvert un blog sur le sujet avec test, avis, video et conseil :
    [url]http://arreter-fumer-cigarette-electronique.blogspot.com/[/url]

  22. Bonjour
    Rool,

    Merci de votre passage et je vais aller voir votre site et lire votre sujet.

    Merci beaucoup pour l’info.

    Amicalement. Andréa.[img]http://www.blogoutils.com/images/a26.gif[/img]

  23. plutôt que de nous faire ces lois anti fumeurs, le Gouvernement devrait, comme je l’ai écrit dans un de vos articles, interdire formellement tout ajout de produits chimiques dangereux et cancérigènes dans les cigarettes, dans les tabacs à rouler, dans certains tabacs pour pipe…

    En fait vous avez raison, il faudrait commencer par traiter le problème à sa source, mon grand père est décédé à 93 ans en ayant fumé toute sa vie du gris depuis l’âge de 14 ans.

    Il n’empêche que non fumeur j’apprécie de manger dans un restaurant sans être importuné par des fumeurs comme c’était le cas il y a encore une dizaine d années.

  24. Bonjour NewReporter
    Bien sûr qu’il faut traiter le problème à sa source, ayant moi aussi un grand-père qui est décédé à l’âge de 98 ans et qui lui aussi avait fumé du petit gris toute sa vie.

    Bien sûr que c’est agréable de manger sans qu’il y est de la fumée, je vous comprends, mais il ne faut pas que l’on s’acharne sur les fumeurs, faisant d’eux des parias.

    Amicalement. Andréa.

  25. Le tabac a bon dos, les produits chimique sont pires …
    C’est vrai, la lutte anti tabac a parfois des aspects d’intolérances .
    Mais il y a encore peu les fumeurs abusaient de la tolérance qui
    leur été accordée .
    Le tabac actuel parait encore plus irritant qu’autrefois, je comprends mieux pourquoi à présent ..

  26. Bien sûr que c’est agréable de manger sans qu’il y est de la fumée, je vous comprends, mais il ne faut pas que l’on s’acharne sur les fumeurs, faisant d’eux des parias.

    Sans doute mais je pense que pendant des années, j’ai du supporter au travail en famille, au restaurant des fumeurs.

    Et qu’à ce moment là personne ne se souciait de mon confort.

    Et pourtant je subissais.

    Je ne suis pas contre le tabac, je suis contre le fait d’imposer aux autres, sa fumée, son odeur, son bruit……

  27. Bonjour
    NewReporter,

    Vous avez raison. Mais moi qui fume, je peux vous dire que j’ai toujours demandé l’autorisation de fumer lorsqu’il y avait quelqu’un et que c’était à l’intérieur.

    Mais c’est vrai qu’à l’époque, nombre de fumeur ne se souciaient pas des autres.

    Mais il faut reconnaître, que s’il n’y avait pas tous ces produits chimiques rajoutés dans le tabac et que celui-ci ne soit pas cultivé avec des engrais chimiques, comme maintenant il n’y aurait pas autant de cancer.

    D’ailleurs vu le nombre de cancer en très nette augmentation, ils ne proviennent pas que du tabac et même si je fume. je trouve très bien l’interdiction de fumer dans les lieux publics.
    Mais il ne faudrait pas, que cela devienne un leurre.

    Je viens de voir un article précisant les produits chimiques à ne pas utiliser pendant la grossesse. Et que ceux-ci seraient dorénavant incrits dans le carnet maternité.

    Là je trouve cela incroyable, on connaît les risques de ces produits et au lieu de les diminuer, de les arrêter on prévient seulement les femmes enceintes de ne pas les utiliser.
    Et les autres produits ne sont-ils pas tout aussi dangereux ?

    Ils nous empoisonnent avec des produits chimiques, des engrais chimiques, mais personne ne fait rien.

    Peut-être que mon analyse n’est pas bonne.
    Mais je pense que si vous n’êtes pas d’accord, vous me le direz. Car je n’ai en aucune façon la science infuse et je peux me tromper comme tout le monde.

    Amicalement. Andréa.

  28. Ils nous empoisonnent avec des produits chimiques, des engrais chimiques, mais personne ne fait rien.

    et dans le même temps ils imposent des normes super draconiennes aux petits producteurs qui ne peuvent suivre.

    On a donc le droit d’empoisonner industriellement mais pas artisanalement.

    Je plaisante car je ne crois pas qu’en alimentation l’artisanat faisait prendre plus de risques qu’une cuisine familiale.

    Je crois simplement que sous la pression des grands groupes, les politiques modifient les normes de façon à tuer les petits.

  29. Bien sûr
    que non, NewReporter.
    L’artisanat n’empoisonne pas les gens.

    Le problème c’est que l’on ne veut plus de cet artisanat, on ne veut que le monopole des grands groupes, qui eux empoisonnent les personnes.

    Rien que pour le fromage, on ne veut conserver que du fromage « aseptisé » thermisé et qui n’a plus de goût.
    On veut que les personnes produisant artisanalement de petits fromages si goûteux, ne puissent plus le faire.

    Alors on nous empoisonnent à coup de produits chimiques et pour cela il faut bien qu’il y ait des leurres. Le problème c’est que bien nombre de citoyens, plongent dans cette manipulation.

    L’argent toujours plus d’argent, et au nom de ce « roi » de notre société actuelle, on fait mourir des êtres humains.
    Tiens, j’ai lu il n’y a pas longtemps que dans l’huile de colza, il y avait du pétrole. Incroyable, non, que vient faire du pétrole dans de l’huile produite à partir de céréales.

    Amicalement. Andréa.

  30. Patricedemars
    Bonjour,

    En effet les fumeurs dont je fais partie, abusaient de la tolérance qui leur était accordée.
    Je trouve bien que l’on ne puisse plus fumer dans les lieux publics.

    Mais il ne faudrait pas s’acharner sur eux, comme le déclancheur de tous les cancers.

    Personne ne dit rien, alors que les cancers en très grande augmentation, sont le fait de tous les produits chimiques que l’on nous fait respirer et manger.

    Pourtant là, tout le monde devrait se révolter, dire il y en a marre de ne plus manger un seul produit qui n’en contienne pas, de ne plus pouvoir manger un seul produit sain.

    D’arrêter toutes ces usines dans le monde entier qui polluent.
    Tiens, pour ne citer qu’eux Coca-Cola, dans des pays étranger, un petit groupe d’indigène se bat, parce qu’ils polluent les rivières ainsi que Nestlé.
    Mais qui a-t-il donc dans les aliments qui pollent autant ces rivières. Et c’est ce battre contre des moulins à vent.
    Ils ont réussi seulement, à ne faire fermer qu’une seule usine de l’entreprise Coca-Cola, qui d’ailleurs on peut en être sûr, réouvrira ailleurs.
    Et pourtant personne ne dit rien, tout le monde se bat contre des leurres.

    Amicalement. Andréa.

  31. En effet les fumeurs dont je fais partie, abusaient de la tolérance qui leur était accordée.

    Autres temps autres moeurs

  32. Bonsoir
    NewReporter,

    Eh!Oui, eh! Oui. Autres temps, autres moeurs.

    Je vous remercie de votre passage sur mon article.

    Amicalement. Andréa.[img]http://www.blogoutils.com/images/a27.gif[/img]

  33. A TOUS
    Je tenais à tous vous remercier d’être passés sur mon article.
    C’est vraiment très gentil de votre part.

    [img]http://www.blogoutils.com/images/a27.gif[/img] Amicalement. Andréa.

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