L’éducation, le respect, le civisme sont étroitement liés à l’histoire, à la famille, à notre culture et aux valeurs de France dont nous avons hérité de nos ancêtres du plus proche au plus lointain.

Ces valeurs dont nous devons être fiers comme de notre pays, libre, laïque et respectueux des droits de tous hommes accueillis sur notre sol sont un gage d’égalité des citoyens français qui partagent, approuvent et s’obligent aux devoirs.

Allons-nous longtemps encore au moment où une crise terrible qui, hélas, n’épargnera pas notre pays, sévit en Europe, accepter sans révolte que l’on bafoue les lois fondamentales de notre France. Je dis fermement NON, même si je suis le seul à oser le dire, l’écrire …

Je n’accepte plus, nous n’accepterons plus, nous ne devrons plus accepter que des minorités de voyous, bien répertoriées puisque toujours les mêmes, sous prétexte de dénoncer des harcèlements ou provocations souvent exagérés voire inexistants pour mieux se poser en victimes, tuent, blessent et insultent nos forces de l’ordre chargées du respect de cet ordre indispensable à la vie partagée sur tous territoires dignes de ce nom. Hier Toulouse, aujourd’hui Amiens, demain ma ville, votre ville, votre quartier, votre immeuble …

Que ces mêmes voyous ou autres irresponsables transforment des territoires en zones conquises comme au temps des premières invasions il y a des siécles.

Marre des "j’ai le droit de" ; marre des regards provocateurs pour déclencher la bagarre que je ne veux pas ; marre des "suce roues" qui ne voient dans cette France de plus en plus pauvre que prétexte à prendre les avantages et créer des inconvénients ; marre de ces "kéké" capuchonnés ou casquettés qui au volant d’un bolide qu’aucun smicard ne pourrait se payer, décapoté et musique à fond vous tue sur un passage protégé ; marre que nos anciens si heureux dans leur appartement acquis par leur travail il y a trente ou quarante ans soient obligés de se calfeutrer chez eux la peur au ventre  toujours surveillés par des guetteurs et dealers … Marre de travailler et de faire des sacrifices pour les dormeurs du jour. De payer et repayer les bâtiments publics et citoyens ou d’éducation cassés, brûlés, détèriorés par des inconscients qui ne méritent plus de vivre dans cette France qu’ils bafouent, qu’ils dénigrent, qu’ils insultent …

Je ne veux plus et je ne suis pas le seul, continuer de vivre, bosser et bientôt – à cause de ces têtes fêlées – survivre dans un pays d’où je serai chassé si l’on baisse la tête et si l’on se tait …

Réagissons tant qu’il est encore temps !