Tu tiens dans le creux de ma main, mais avant d y arriver,
je savoure déja ce premier regard, ton soleil orangé,
je savoure déja ce premier regard, ton soleil orangé,
le rayon lustré de tes feuilles.
je détache alors avec grand soin ta peau qui, entre pouce et index résiste.
Je te respire pour ne manquer aucune de tes fragrances.
En un bref instant , je deviens alors la branche qui a ployé sous ton poids,
l arbre constellé de tes étoiles orangées.
Je suis la terre qui t a nourrie, l eau qui t a abreuvée, le soleil qui t a murie,
le vent qui t a épargnée.
Je suis toi, tu es moi fragile clémentine.
je détache alors avec grand soin ta peau qui, entre pouce et index résiste.
Je te respire pour ne manquer aucune de tes fragrances.
En un bref instant , je deviens alors la branche qui a ployé sous ton poids,
l arbre constellé de tes étoiles orangées.
Je suis la terre qui t a nourrie, l eau qui t a abreuvée, le soleil qui t a murie,
le vent qui t a épargnée.
Je suis toi, tu es moi fragile clémentine.
@castagna,
la lecture de ce poème si doux évocateur de mon île
m’a remis en mémoire tous ces souvenirs orangés
et les odeurs acidulées de mon enfance.
[quote]En un bref instant , je deviens alors la branche qui a ployé sous ton poids,
l arbre constellé de tes étoiles orangées.
Je suis la terre qui t a nourrie, l eau qui t a abreuvée, le soleil qui t a murie,
le vent qui t a épargnée.
Je suis toi, tu es moi fragile clémentine[/quote]
très belle image!
Merci à vous pour les commentaires, je suis très touchée !
[b]Fragile comme une anémone des bois, qui vous sert d’avatar, votre poème vous ressemble Castagna;
Bienvenue chez NOUS.
Comme je vous l’ai mis en vous mettant une main verte dans « Notez » :
Sur C4N, « ON » crie beaucoup, mais « ON » ne mord pas, alors nous serons heureux de vous lire à nouveau.
Au Plaisir de vous re-lire
SOPHY[/b]