FEMMES VOILEES = BAIGNADE REFUSEE.

 

Comme il fallait s’y attendre, le port du voile fait à nouveau parler de lui.

 

Dans un village de vacances de Port-Leucate :Deux femmes voilées  séjournant depuis samedi, ont tenté de se baigner dans la piscine du complexe aquatique de l’établissement.

Seuls leurs visages étaient découverts. Elles étaient vêtues d’un pantalon tunique et d’un hijab, le voile islamique. La baignade leur a alors été interdite.

 

Un membre du personnel du centre a clairement indiqué aux deux femmes voilées, que le seul vêtement adéquat pour se baigner dans une piscine, était le maillot de bain. Et, si elles désiraient se baigner. Il leur fallait alors se conformer au règlement intérieur du complexe aquatique.

Il s’en suivra une altercation entre le mari de l’une des deux femmes et le vigile.

 

D’après le vigile : le mari l’aurait menacé avec des boules de pétanque.

D’après le mari : c’est le vigile qui l’aurait frappé.

 

Les deux plaintes, ont donc été enregistrées par la gendarmerie de Port-Leucate.

Mais une troisième plainte, pour « discrimination » émanant des personnes interdites de baignade n’a pas été enregistrée, « Faute d’éléments probants ».

 

La sous-préfète de Narbonne. Madame Marie-Paule Bardèche, souligne :

Cette interdiction à des personnes portant le voile. « Est avant tout un problème de règlement intérieur du centre de vacances, mis en place pour des raisons d’hygiène et sanitaires.

L’accès de la piscine étant réservé aux vacanciers porteurs de maillot de bain. D’ailleurs même les shorts longs sont interdits ».

 

Ce village de vacances, est géré par la fédération audoise des oeuvres laïques.

 

 

Tout le monde connaît le règlement des piscines en France. Et l’on sait que le short long est interdit, et parfois même s’il est court. On doit prendre une douche avant de pénétrer dans la piscine et l’on doit être en maillot de bain et ne pas porter de vêtements. Parfois un bonnet de bain est même exigé.

Le règlement et les lois sont les mêmes pour tous en France.

Ces deux femmes et leur mari aurait-ils été les seuls en France à ne pas connaître le règlement des piscines française ?

 

Alors « méconnaissance » réelle, du règlement français ?