Le terme de fatalié ne s’applique pas qu’aux autres…
Il peut être aussi inscrit inconsciemment dans la conduite des actions humaines globales quand celles-ci persistent dans une direction que les Hommes connaissent pour être nuisible à l’humanité
Le terme de fatalité semble être inscrit dans le destin de l’humanité, puisque celle-ci continue, en dépit des progrès technologiques, des prises de conscience collectives, des campagnes de sensibilisation, des malheurs causés par les conflits et les agressions, à s’inscrire dans une logique de destruction qui tôt ou tard, rattrapera la planète entière.


Le mal est fait, et inexorablement, si rien de conséquent n’est entrepris dans l’immédiat, il sera très vite trop tard. Tout un chacun devine qu’une fois arrivé au point de maturation, la situation évolue toujours très vite, sans que l’on puisse la rattraper.

Le fatalisme définit le cours de l’histoire de l’humanité quand celle-ci a connaissance des causes du mal et qu’elle détient la solution sans franchir le pas du redressement.

 Et puis le monde est pris dans un enchevêtrement complexe d’actes contraires à la loi et de complots contre les nations faibles, combinés dan le cadre d’une stratégie de pillage à long terme.

Fortes de leur supériorité technologique et imbues de puissance, certaines nations du nord s’investissent dans un courant de déprédation bien plus pervers que celui des premières tribus nomades ; encore que celles-ci agissaient pour survivre – ce qui n’en est pas moins excusable – et que les autres le font pour dominer le monde.

Cette opinion pessimiste, comme d’autres qui précèdent, sont le fruit de la réalité qui nous rapporte chaque jour des images de mort, de famine, de bombes, de corps calcinés et déchiquetés ;

En particulier dans la sphère musulmane, et en Afrique ;

L’impression qui prévaut est celle d’un monde peu sûr, vulnérable aux rapacités guerrières des uns et à l’inertie des autres ; le fatalisme emprunte aussi la route de l’environnement, car même dans ce domaine, il paraît inévitable que la terre, malgré toutes ses ressources, se dirige vers un désastre écologique majeur. Là aussi, les exemples de dégradations délibérées sont flagrants.