Derrière ce titre « grèceux » se joue peut être l’avenir de l’Euro. Il est vrai que la situation de la Grèce est très préoccupante actuellement et les risques de contagion à toute la zone euro inquiètent de plus en plus les politiques.Certains craignent que l’euro traverse dans les prochaines années une phase très difficile.
L’Europe a décidé de venir en aide financièrement à Athènes, mais la Grèce a du promettre de prendre des mesures draconiennes et accepter d’être sous tutelle en attendant que ses finances se rétablissent. Quelle est la situation économique de la Grèce ? Le déficit public de la Grèce en 2009, a atteint près de 13 % du Produit intérieur brut (PIB) et le montant de la dette publique s’élève à 294 milliards, soit 111,5 % du PIB, alors que les critères de convergence mis en place par le traité de Maastricht au niveau européen, prévoit une dette publique inférieur à 60 % du PIB.La crise financière n’a rien arrangé et la situation économique grecque s’est davantage dégradée depuis six mois. Le pays s’est enfoncé dans la récession.Il est vrai que la Grèce a laissé filer sa dette publique depuis plus de vingt ans et qu’elle a plus ou moins triché sur sa situation financière pour rentrer dans la zone euro.Le climat social actuel est préoccupant avec des manifestations quotidiennes dans les rues d’Athènes pour dénoncer les mesures drastiques prises par le gouvernement pour sortir de cette crise. Quelles peuvent être les conséquences de cette situation ? Certains économistes, pensent que la baisse de l’euro par rapport aux autres monnaies est plutôt une bonne nouvelle pour la compétitivité des exportations. Mais d’une manière générale l’Europe se trouve devant un échec ; la zone euro a la croissance la plus faible depuis 2002, la récession a été plus forte qu’aux Etats-Unis en 2009 et les dettes des différents Etats de l’Union européenne s’envolent comme par exemple en Italie, en Irlande, au Portugal et en Espagne.
Ces pays où tous les voyants économiques et sociaux sont au rouge, craignent que leurs taux d’intérêt se mettent à flamber à leur tour.
D’autres, avancent même que l’euro ne nous a pas permis de nous protéger contre la récession et qu’en plus il a été un frein aux réformes et à la modernisation économique dans de nombreux pays de l’Euroland. Que révèle cette crise ? Les européens en mettant en place l’euro n’ont pas envisagé toutes les difficultés qui pourraient survenir et aussi comment faire pour les gérer. L’Europe n’a pas prévu le sauvetage d’un pays en difficulté.Il aurait peut-être été préférable de réaliser une zone euro restreinte avec des pays économiquement proches, avec une fiscalité unique, une réglementation harmonisée, un marché du travail unifié et une politique budgétaire fédérale.Mais malheureusement les harmonisations indispensables n’ont jamais été réalisées et la politique de la BCE a été trop restrictive et l’euro trop fort. Quels sont les scénarios possibles ? La Grèce peut-elle quitter la zone euro ? Cela est possible juridiquement, mais il faut que cette décision soit votée à l’unanimité des membres et se serait un désastre économique pour la Grèce.Autre solution, verser à la Grèce, les subventions européennes auxquelles elle a droit, mais cela risque de ne pas être suffisant.Les autres pays membres peuvent aussi souscrire aux emprunts d’Etats émis par la Grèce à des taux plus bas que ceux du marché. La Banque centrale européenne (BCE) quant à elle, n’a pas la possibilité de prêter des fonds aux Etats, son rôle dévolu par le traité de Maastricht est d’assurer la stabilité financière et la stabilité des prix dans la zone euro. Faire intervenir le Fonds monétaire international (FMI), qui a pour mission de venir en aide aux pays en difficulté, mais dans ce cas là, quelle humiliation pour l’Europe qui veut faire jeu égal avec les autres grandes nations ? Attendons les mesures de soutien qui seront mises en place par les responsables européens, dans les semaines à venir et espérons que cela soit suffisant pour sauver la Grèce et surtout l’euro !
Quand ils auront fait couler l’Euro, ils mettront en place l’Amero, ce sera la nouvelle monnaie Mondiale. Là, les choses commenceront à changer…
[b][i] »ce sera la nouvelle monnaie Mondiale. Là, les choses commenceront à changer… « [/i][/b]
[b]EN BIEN OU EN MAL, Alice BAILEY ?????[/b]
Vous cherchez quoi Véritas ?
à démonter vos théories fumeuses , chère Alice !
Soyez plus clair et cessez vos comparaisons sans fondement !
vous m’avez dit que vous étiez le christ
pourquoi ne supposerais-je pas que vous etes Alice BAILEY ?
Démentez-moi …j’en serais ravis …ce serait une merveille.
Pour vous le christ = Jésus. Je ne suis pas Jésus et je suis loin de lui arriver à la cheville. Mais le christ peut être en moi et peut être moi si j’y crois. C’est ma manière à moi de voir les choses. Encore un fois, nous lançons un sujet de conversation qui n’a rien à voir avec le thème de l’article… J’ai écris un article de 9 pages Véritas, et je n’attends qu’une chose, qu’il soit publié afin de pouvoir discuter avec vous de tous ça « tranquillement », sans se montrer les « crocs ». Quand je vais dessus pour l’éditer, ça me dit que quelqu’un est en train de l’éditer, c’est comme ça depuis hier. Alors attendons un peu…
[u]http://u-p-r.fr/?page_id=785[/u]
bonjour
petit cour d’histoire qui peu etre vous mettra sur la voie
je sais c’est long et fastidieux mais pas denuè de bon sens
a vous de juger
marsoin
DE CETTE FAILLITE DE L’EURO-EN GRECE-est le resultat d’une oligachies de financiers sans scrupules,qui font le bonheur de leurs EGO-…
L’Euro est une monnaie « fictive » hors de sa valeur réelle. Depuis l’euro par exemple, le franc français a perdu au minimum 35% de sa valeur suite au mauvais rendement du travail
etc. Sa valeur fictive était pour contrecarrer le dollars entre autre. Comme anciennement le rouble valait de manière fictive plus de 4 francs français … et que vaut-il à l’heure actuelle ? et cela malgré toutes les richesses de la Russie. L’Europe manque de richesse et a une gérance catastrophique. Il fallait faire entrer l’€ petit à petit pour les nouveaux pays que lorsque ceux-ci atteignaient un niveau de vie similaire. On a voulu tout forcer et passé en force politiquement et économiquement ce qui ne peut en fin de compte pas marcher. Le résultat aboutira à un € au dessous du dollars tôt ou tard et l’avenir appartiendra aux pays travailleurs comme la Chine et pas aux pays qui se contente de vivre sur les pays pauvres.
[b]UN ANGLAIS QUI TAPE SUR UN MEMBRE DU BILDERBERG COOPTE, CA DECOIFFE !!![/b]
« Nigel Farage, chef du parti UK Independence Party, qui demande le retrait de la Grande-Bretagne de l’Union européenne, avait traité mercredi Herman van Rompuy d' »assassin tranquille » de la démocratie en Europe. Spécialiste des attaques au vitriol, cet eurosceptique est coutumier des diatribes contre les responsables de l’UE devant l’assemblée et les caméras.
Nigel Farage s’en était pris en particulier au discret Herman van Rompuy, dont la nomination en novembre au nouveau poste de président de l’Union européenne par les dirigeants de l’UE avait suscité une certaine surprise. « Vous avez le charisme d’une serpillière mouillée et l’allure d’un petit employé de banque », avait hurlé le Britannique. « Personne en Europe n’a entendu parler de vous! (…)
[u][b]Le peuple d’Europe doit vous limoger[/b][/u] ». »
SON SUCCESSEUR SERA PEUT-ETRE ENCORE PIRE !!!!!!!
[b]LE COMPLOT , IL EST BIEN LA ![/b]
au début du mois, les plus grosses têtes de SAC Capital Advisors , Soros Fund Management, et d’autres stars internationales du trading ont dîné à Manhattan autour d’une même table, et un consensus s’est dégagé :
«L’euro doit revenir à la parité un pour un face au dollar», auraient-ils évoqué,
selon les informations du Wall Street Journal .
Avant de réfléchir à une possibilité d’un retour à la parfaite égalité entre l’euro et le dollar, ces géants de la finance auraient parié des sommes gigantesques sur le repli de l’euro. Or leur poids énormes sur les échanges internationaux pourraient bien expliquer une bonne partie du recul de la monnaie européenne : depuis début février, le change est passé de 1,39 à 1,36 dollar, soit un recul de plus de 2%. Notons qu’en décembre 2009, l’euro valait encore 1,51 dollar. Ainsi, le billet vert s’est apprécié de 10%. »