Depuis les débuts de cette série, je n’ai loupé aucun épisode ! Je trouve que le concept est relativement intéressant. Cette série met en scène le département des sciences du comportement, rattaché au FBI. Les missions de l’équipe sont de mettre fin à des séries de meurtres, la plupart sanglants dans l’ensemble des Etats Unis. 

Ce qui est intéressant, c’est de voir la composition de l’équipe. Chaque membre apporte sa pierre à l’édifice avec ses capacités particulières à décrypter les comportements humains. Ainsi différentes personnalités cohabitent pour le bien de la justice. 

Le responsable de l’équipe, Aaron Hotchner apparaît comme une personne posée, calme, mais attention au sursauts de ce dernier. Spencer Reid est un intellectuel doté de capacité hors du commun de mémorisation et de lecture rapide. Derek Morgan, le beau gosse de la série est un homme à fleur de peau, qui malgré sa corpulence n’en reste pas moins une âme sensible. Et que dire de Penelope Garcia, l’informaticienne qui guide les opérations, un personnage vraiment haut en couleur au sens propre comme au figuré ! 

Voilà les secrets d’une série qui fonctionne, des personnages atypiques, des intrigues sanglantes, une nouvelle approche du rôle des enquêteurs… Ce que j’aime bien aussi, ce sont les citations d’auteurs célèbres qui clôturent chacun des épisodes et toujours en relation avec l’action passée. 

C’est donc avec une joie non dissimulée que je vais une fois de plus regarder les trois épisodes de ce soir ! Au programme notamment, l’épisode 16 de la nouvelle saison mettant en scène le meurtre de prostituées, assassinées de plusieurs coups de couteau et laissées en décomposition dans la nature… 

Horreur, frisson, heureux dénouement ou pas seront bien entendus au rendez-vous ce soir. Pour les âmes sensibles, veillez à ne pas regarder, ces épisodes promettent d’être au sommet de l’horreur ! Ou bien ne faites pas comme moi… Après avoir regardé, je contrôle toujours les portes et fenêtres de la maison… 

"Platon a écrit; on peut aisément pardonner à l’enfant qui a peur de l’obscurité. La vrai tragédie de la vie, c’est lorsque les hommes ont peur de la lumière"