ERIC BESSON : Va se convertir à l’Islam.

 

En politique, il est parfois des situations très cocasses. Comme celle d’Eric Besson avec son débat sur l’identité nationale et son désir d’épouser une jeune Tunisienne.

 

Eric Besson, est le compagnon d’une jeune Tunisienne avec laquelle il partage sa vie depuis quelques mois.

La jeune Yasmine Tordjman est étudiante dans une école d’art, mais elle est aussi arrière petite fille de Wassila Bourguiba.

Wassila Bourguiba est née Wassila Ben Ammar en 1912 à Béjà, elle est décédée le 22 juin 1999. Issue d’une famille bourgeoise, très influente, elle s’installe à Paris après la destitution de son mari Habib Bourguiba.

Eric Besson, désire épouser cette jeune tunisienne. Alors le site Bakchich a donné il y a quelques jours une information, relativement surprenante.

 

« Eric Besson pour épouser cette jeune fille, aurait promis à sa belle famille de se convertir à l’islam ».

 

Tout simplement parce que la grand-mère de la jeune étudiante ne voit pas d’un bon oeil ce mariage. C’est aux alentours des fêtes de Noël et lors d’un rapide voyage en Tunisie qu’Eric Besson, aurait fait cette promesse à sa belle famille.

 

Celui-ci a démenti hier, en précisant : « Je déplore d’avoir à démentir une conversion à une religion pour laquelle j’ai par ailleurs du respect, je suis très attaché au caractère laïc de notre République ».

 

 

Pourtant l’islam interdit le mariage entre une musulmane et un homme qui n’a pas la même religion.

 

Le Ministre a indiqué avoir chargé son avocat d’étudier les conditions dans lesquelles des poursuites pourrait être engagées, pour atteinte à la vie privée.

 

C’est bizarre ! Comme les politiques sont tout à coup susceptibles dès que l’on dévoile quelque chose qui n’aurait jamais dû être révélé au grand jour, quelque chose qui les dérange vraiment. Surtout, au vu de leur prise de position dans certains débats.

Quand il s’agit de journaux people qui font leur réclame et qui vont dans leur sens. Là, ils sont nettement moins enclins à faire des procès.

 

Parfois, il vaut mieux un gros mensonge bien ficelé, que de devoir s’expliquer ou être la risée de tous.