En route vers Bussy (2)

Cela fait près de trois semaines que je regarde les annonces, que je me rend régulièrement à Bussy-Saint-Georges à la recherche de l’appartement idéal. Et, comme souvent, c’est maintenant que j’ai les coudées franches pour trouver mon futur logement, qu’il y en a beaucoup moins.

Ainsi, au début de l’été, je voyais entre dix et vingt annonces qui auraient pu correspondre, là, on est réduit à seulement trois sur Bussy. Quand il y a une annonce qui vous intéresse et que vous voulez le visiter, il y a deux possibilités. La première, la plus agréable est de tomber sur l’agent ou le négociateur immobilier, de lui raconter sa situation et son projet et celui-ci vous fait visiter ce qu’il a. Cela fut le cas lors de mon premier séjour à Bussy. La seconde est donc de déposer un dossier, le terme n’est pas usurpé. On m’a demandé les trois derniers bulletins de salaire ainsi que celui du mois où figure le treizième mois, une attestation d’employeur, les deux derniers avis d’imposition, un RIB, la copie d’une pièce d’identité, la copie du contrat de travail, un justificatif de domicile à son nom, une attestation d’hébergement, une quittance EDF… Une fois ceci déposé, on vous recontacte pour convenir d’un rendez-vous pour une visite.

Malheureusement, il y a deux agences buxangeorgiennes qui ont bien reçu les dossiers pour des studios au loyer bien inférieur au tiers du salaire, mais qui ont oublié de me contacter. D’autres m’a annoncé que je pouvais viser des appartements aux loyers plus élevés que ce que je pensais. Enfin, de nombreuses agences immobilières qui communiquent des adresses mails ont beaucoup de mal à les lire et à y répondre. Alors, privilégiez le contact physique et le téléphone.

Face à cette relative pénurie, il a fallu opter pour un plan B. Fort logiquement, j’ai élargi mon champ de recherches aux villes du secteur, aux villes étant sur l’autre branche du RER A, et… à ce que je connais particulièrement bien, autrement dit Aulnay-sous-Bois.

Coup de chance, peut-être, il y en a quatre qui correspondent à mes critères. Une nouvelle fois, j’ai déposé un dossier. Dès lors, il n’y a plus qu’à attendre. Soit, j’atterris à Bussy, soit, je reste à Aulnay, tout en descendant vers le sud.

Jérôme Charré

Cela fait près de trois semaines que je regarde les annonces, que je me rend régulièrement à Bussy-Saint-Georges à la recherche de l’appartement idéal. Et, comme souvent, c’est maintenant que j’ai les coudées franches pour trouver mon futur logement, qu’il y en a beaucoup moins.

Ainsi, au début de l’été, je voyais entre dix et vingt annonces qui auraient pu correspondre, là, on est réduit à seulement trois sur Bussy. Quand il y a une annonce qui vous intéresse et que vous voulez le visiter, il y a deux possibilités. La première, la plus agréable est de tomber sur l’agent ou le négociateur immobilier, de lui raconter sa situation et son projet et celui-ci vous fait visiter ce qu’il a. Cela fut le cas lors de mon premier séjour à Bussy. La seconde est donc de déposer un dossier, le terme n’est pas usurpé. On m’a demandé les trois derniers bulletins de salaire ainsi que celui du mois où figure le treizième mois, une attestation d’employeur, les deux derniers avis d’imposition, un RIB, la copie d’une pièce d’identité, la copie du contrat de travail, un justificatif de domicile à son nom, une attestation d’hébergement, une quittance EDF… Une fois ceci déposé, on vous recontacte pour convenir d’un rendez-vous pour une visite.

Malheureusement, il y a deux agences buxangeorgiennes qui ont bien reçu les dossiers pour des studios au loyer bien inférieur au tiers du salaire, mais qui ont oublié de me contacter. D’autres m’a annoncé que je pouvais viser des appartements aux loyers plus élevés que ce que je pensais. Enfin, de nombreuses agences immobilières qui communiquent des adresses mails ont beaucoup de mal à les lire et à y répondre. Alors, privilégiez le contact physique et le téléphone.

Face à cette relative pénurie, il a fallu opter pour un plan B. Fort logiquement, j’ai élargi mon champ de recherches aux villes du secteur, aux villes étant sur l’autre branche du RER A, et… à ce que je connais particulièrement bien, autrement dit Aulnay-sous-Bois.

Coup de chance, peut-être, il y en a quatre qui correspondent à mes critères. Une nouvelle fois, j’ai déposé un dossier. Dès lors, il n’y a plus qu’à attendre. Soit, j’atterris à Bussy, soit, je reste à Aulnay, tout en descendant vers le sud.

Jérôme Charré

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