Vous connaissez certainement le baobab. C'est un gros arbre qu'on retrouve dans bien des pays en Afrique. Cet arbre couvre par son feuillage, un important espace. Alors, que cache cette métaphore, très connue en afrique qui signifie simplement qu'un illustre personnage a tiré sa révérence.

Ici, nous voulons parler de la dernière en date. C'est la mort de El hadj Oumar Bongo, anciennement président de la république du Gabon. Ce dernier a beaucoup couvert l'afrique de grands dangers par ses différentes médiations. Alors, quel hommage pouvons nous rendre à cet illustre personnage? 

Oui, il serait très important de ne pas oublier cet homme. Petit de taille mais rempli de sagesse. Comme nous vous le disions, El Hadj Omar Bongo Ondimba, est son nom de chef d'Etat. Il a comme nom à l'état civil, Albert-Bernard Bongo. Il est né le 30 décembre 1935 à Lewaï. Il est mort récemment dans un hopital à Barcelone en Espagne, précisément le 8 juin 2009.  Alors, que pouvons nos dire de cet illustre homme?

Son excellence feu Omar Bongo est  le deuxième président de la république gabonnaise. Il a pris le pouvoir précisément le 2 décembre 1967. Nous pouvons dire même qu'il est mort en étant toujours président. Il a été président à vie. C'est ce fait que nous avons remarqué dans bon nombre de pays africains. Nous pouvons citer en exemple, le père de la nation ivoirienne Félix Houphouet Boigny, qui fut un grand ami à Bongo. Vous avez aussi celui du togo, en la personne d'Eyadéma, et bien d'autres présidents qui sont mort à la tâche. 

Bongo était un président très aimé par sa population, même si au plan politique, bon nombre de personnes dénonçaient ses agissements comme un dictateur, et autres.

Bongo est le dernier président de sa génération à s'en aller. Bien vrai qu'il a beaucoup fait pour le pays et l'afrique, car sachons qu'il a participé aux médiations sur la crise ivoirienne.

Alors, en conclusion félicitons cet homme pour son apport sur la terre des hommes et que la jeunesse gabonnaise et même africaine se prennent en charge. Car une génération est passée. La génération qui arrive et qui est, doit savoir gérer le pays.