le journal de personne
sur 6 février 2011 à 15 h 17 min
Le Caire brisé
Qui peut confisquer la révolution égyptienne ?
La plupart d’entre nous étaient à peine des hommes qui ont décidé du jour au lendemain de se donner la peine de rompre toutes les chaînes…
d’un pouvoir aux abois, parce qu’il ne tient plus personne en laisse… à part… les CHIENS.
Contre les cyniques il n’y a qu’une solution chimique à base d’acide sulfurique… que nous jetions dans les yeux de l’opinion publique…
pour réclamer de tous, le droit à un minimum de dignité… à un maximum de liberté…
«[i]et le monde brillera comme une immense lyre[/i]»
A RAINBOW
ô plaisir
avata
avata
sur 9 février 2011 à 9 h 01 min
je re_prends:
[b]INDIGNONS-NOUS !!! [/b]- de nous-mêmes
…
le journal de personne
sur 9 février 2011 à 16 h 00 min
Indignez-vous !
Y a toujours un traitre au fond de nous.
Tu as trahi mon secret
Tu as deviné qui j’étais
Je ne te le pardonnerai jamais
Je te dédie ce rondeau
Avant de m’éclipser…
[url]http://www.lejournaldepersonne.com/2011/01/indignez-vous/[/url]
paul_le_poulpe
sur 13 février 2011 à 14 h 01 min
[b]XIIIème feuille modéré(e) [/b]
sous rire de lâme usé(e)
From a few leaks to Cathar acte to come…
[b]Wiki knowledge to Edge leaks in cataract[/b]
[b]TRIBUNE LIBRE[/b] — feuille modéré
[b]Religion… Idéologie… Nationalisme… même combat
De la supra rationalité à la supra_réalité… le monde bloque sur toute méta_physique.
Ô_raison funeste. [/b]
…
De la Lumière des lumières…
De la philosophie critique de la raison à la révolution cellulaire :
– pouvons-nous rester en toute [i]espérance[/i] ?
Et pendant ce temps des résolutions bafouées…
De la colonisation… ô attentat !
Des attentats… ô colonisation !
– cercle sans fin, dont toutes les faims d’espérance se conjuguent toujours… ô présent bafoué
Le « [i]peuple élu[/i] » semble bien finir par s’illusionner , et la jeunesse Gazaouite aussi! En êtes-vous si sûr ?
cf. le manifeste de la jeunesse de gaza.
[url]http://rocbo.lautre.net/spip/spip.php?article608[/url]
[b]De la pensée aux ‘idéologisme(s) , nationalisme(s) sous couvert de RELIGION… BASTA !!![/b]
– entend-t-on en vruissement imperceptible dans le corps de toute raison résonante
Ô Raison funeste, que ne m’as-tu éclairé de l’esprit de ta chair, en mon corps, toujours bafoué mais intègre…
Ô PROBITé !!!
De la chair à l’esprit de la chair,
De l’esprit de la chair à la peau_easy de la vie,
De la poésie de la vie… ô lyrisme de l’instant partagé
l[b]e corps est l’énergie, le souffle, le mouvement qui nous propulse de notre vacuité originelle en l’élan vital de toute condition, notre engagement.[/b]
De l’espérance à l’espoir… tout n’est-il point déjà dévoilé ?
De l’espoir en la vacuité, voilà que les codes se compliquent, me rétorquerez-vous.
– mais j’y reviendrai(s), très prochainement, s’il m’est loisible de le faire ici.
Et pourtant : considérant encor le Moyen Orient: ô Jérusalem! carrefour potentiel de toute multitude, bigarrée de toutes les raisons, résonant en silence en l’esprit de tes chairs avenantes…
– Me suis-je emporté ?! Je tempère:
Qui parlera toujours et encor d’espoir ? Quand l’action est aliénée par l’esprit de l’intérêt (de quelques uns( ?), de nous-mêmes ( ?)!
– Je vous le demande.
DREAM ON IN BLUE!
…
[i]La spécificité de la « condition humaine » s’épuiserait-elle dans le principe méta-praxis (pas dit physique) du divin principe : l’homme doit s’ouvrir, et ce…. jusqu’au plus profond de sa néantitude, au vide – plein du sens orgasmique – que le voit naitre. L’avantage du néant sur l’éternité, c’est que le temps ne peut l’entacher d’aucune turpitude.
Rien ne s’explique, rien n’est prouvé, jamais – tout se voit !!![/i]
Si… si ô rang – de toute infortune!
paul_le_poulpe
sur 13 février 2011 à 14 h 03 min
[u]Notons :[/u]
[i]L’AMOUR… commence lorsque l’on accepte la différence de l’autre et son « imprescriptible » liberté. Accepter que l’autre soi habité par d’autres présences que la nôtre, n’avoir la prétention de répondre à tous ses besoins, à toutes ses attentes ; ce n’est pas se résigner à l’infidélité à notre égard. Non, c’est plutôt vouloir comme la plus haute preuve d’amour que l’autre soi tout d’abord fidèle à lui même ; même si cela est une souffrance, féconde. Car elle nous oblige à nous déprendre de nous même, à vivre intensément cette « dépossession » enrichissante.
(Dans la plus amoureuse étreinte, c’est un être libre qui nous étreignons, avec toutes ses possibilités ; mêmes celles qui nous échappent). [/i]
avata pour les âme_ usé(€)s
paul_le_poulpe – en stand by sur Paname: ville des lumières obscures !
– et la nuit brille de mil’éclats… Dors ! Dors mon ami(e), cils en cieux.
[i]« Je ne suis pas là, je ne dors pas,
«Je suis les mille vents qui soufflent,
«Je suis le scintillement des cristaux de neige,
«Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
«Je suis la douce pluie d’automne,
«Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
«Je suis l’étoile qui illumine dans la nuit»*[/i]
…
Je suis le trou noir de tout espace
N’allez pas sur mes absences pour pleurer, vous lamenter…
Mes chairs sont dansantes
Et si votre désir est de m’éconduire … soit
– c’est tout à votre guise !
Les lumières de vos rêves vous attendent,
– sans doute pour éclore
Je ne suis pas là.
Et m’élude en silence.
Dansez maintenant!
j’ai dit
*Je rends hommage à ces Incantations indiennes.
[u]conclusion[/u]:
– Il m’appert que ce n’est pas la raison qui fut l’outil privilégié par la conscience humaine, mais bien plutôt une spiritualité fonctionnelle et supra rationnelle: métaphysique religieuse ou philosophie métaphysique – dans l’oubli (ou la négation du corps) – de ce « MOI – (JE) » illusoire, toujours prêt à arrimer… nouer… lier… riveter… clouer… cheviller… enraciner… sceller… toutes ses peurs, ses angoisses, en l’espérance d’une finalité toujours prête à ordonner la finalité anthropologique de ces chairs.
[u]Et ici et maintenant[/u]
Que cette nouvelle révolution (5771è de l’année hébraïque, 5107è année indienne du Kali Yuga, 4708è de l’année chinoise, 2553è de l’année bouddhiste, 2137 pour les bouddhistes tibétains, 2011è de tradition chrétienne, 1431è de Hégire, 1389è de l’an iranien, 218è du calendrier républicain, (…) de gaïa autour du soleil soit pour tous un joli tour de man_âge.
– il faut… bien vivre pour bien mourir.
Alors que tout contenant inclut son contenu, l’homme chercherait-il à inclure ce qui le contient ?
Ô vacuité
…
liberti(n)us
sur 13 février 2011 à 14 h 16 min
Maintenant au tour de l’Algérie…
paul_le_poulpe
sur 13 février 2011 à 15 h 10 min
[b]Religion…[/b]
[b][i]Les définitions qui ont été proposées reprennent le plus souvent l’idée selon laquelle la religion est un système de croyances.
Bien que l’idée de religion semble avoir une histoire propre à l’Occident, ce terme a aujourd’hui des équivalents dans toutes les langues. Le cas, échéant, des néologismes ont été créés. Ces termes disposent de leur propre étymologie et ils n’ont pas nécessairement exactement les mêmes connotations ni la même portée d’une langue à l’autre, de la même manière que le terme religion n’a pas toujours eu exactement la même signification dans l’histoire occidentale.
Les définitions de la religion qui l’envisagent à partir de l’idée de croyances ou de la présence d’un élément surnaturel dans le monde établissent une distinction entre ce qui d’un côté serait de l’ordre de savoir scientifiques et vérifiés et de l’autre un donné inaccessible à la raison. (Source: wiki_knowledge)[/i][/b]
Dans le sens du mot de bien des maux…
Sens étymologique:
• reli_gare : ce qui relie, unit en une même croyance, foi.
Le Caire brisé
Qui peut confisquer la révolution égyptienne ?
La plupart d’entre nous étaient à peine des hommes qui ont décidé du jour au lendemain de se donner la peine de rompre toutes les chaînes…
d’un pouvoir aux abois, parce qu’il ne tient plus personne en laisse… à part… les CHIENS.
Contre les cyniques il n’y a qu’une solution chimique à base d’acide sulfurique… que nous jetions dans les yeux de l’opinion publique…
pour réclamer de tous, le droit à un minimum de dignité… à un maximum de liberté…
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/02/le-caire-brise/
Merci au Journal de personne pour ce commentaire !
So…
sans vouloir paraphrase Stéphane HESSEL:
– notre subjuguant sublissîme subliminal – hein… sub_mis_cible nonagénaire
immarcescible courage
[b]INDIGNEZ-VOUS !!![/b] DE VOUS-MÊMES…
«[i]et le monde brillera comme une immense lyre[/i]»
A RAINBOW
ô plaisir
avata
je re_prends:
[b]INDIGNONS-NOUS !!! [/b]- de nous-mêmes
…
Indignez-vous !
Y a toujours un traitre au fond de nous.
Tu as trahi mon secret
Tu as deviné qui j’étais
Je ne te le pardonnerai jamais
Je te dédie ce rondeau
Avant de m’éclipser…
[url]http://www.lejournaldepersonne.com/2011/01/indignez-vous/[/url]
[b]XIIIème feuille modéré(e) [/b]
sous rire de lâme usé(e)
From a few leaks to Cathar acte to come…
[b]Wiki knowledge to Edge leaks in cataract[/b]
[b]TRIBUNE LIBRE[/b] — feuille modéré
[b]Religion… Idéologie… Nationalisme… même combat
De la supra rationalité à la supra_réalité… le monde bloque sur toute méta_physique.
Ô_raison funeste. [/b]
…
De la Lumière des lumières…
De la philosophie critique de la raison à la révolution cellulaire :
– pouvons-nous rester en toute [i]espérance[/i] ?
Et pendant ce temps des résolutions bafouées…
De la colonisation… ô attentat !
Des attentats… ô colonisation !
– cercle sans fin, dont toutes les faims d’espérance se conjuguent toujours… ô présent bafoué
Le « [i]peuple élu[/i] » semble bien finir par s’illusionner , et la jeunesse Gazaouite aussi! En êtes-vous si sûr ?
cf. le manifeste de la jeunesse de gaza.
[url]http://rocbo.lautre.net/spip/spip.php?article608[/url]
[b]De la pensée aux ‘idéologisme(s) , nationalisme(s) sous couvert de RELIGION… BASTA !!![/b]
– entend-t-on en vruissement imperceptible dans le corps de toute raison résonante
Ô Raison funeste, que ne m’as-tu éclairé de l’esprit de ta chair, en mon corps, toujours bafoué mais intègre…
Ô PROBITé !!!
De la chair à l’esprit de la chair,
De l’esprit de la chair à la peau_easy de la vie,
De la poésie de la vie… ô lyrisme de l’instant partagé
l[b]e corps est l’énergie, le souffle, le mouvement qui nous propulse de notre vacuité originelle en l’élan vital de toute condition, notre engagement.[/b]
De l’espérance à l’espoir… tout n’est-il point déjà dévoilé ?
De l’espoir en la vacuité, voilà que les codes se compliquent, me rétorquerez-vous.
– mais j’y reviendrai(s), très prochainement, s’il m’est loisible de le faire ici.
Et pourtant : considérant encor le Moyen Orient: ô Jérusalem! carrefour potentiel de toute multitude, bigarrée de toutes les raisons, résonant en silence en l’esprit de tes chairs avenantes…
– Me suis-je emporté ?! Je tempère:
Qui parlera toujours et encor d’espoir ? Quand l’action est aliénée par l’esprit de l’intérêt (de quelques uns( ?), de nous-mêmes ( ?)!
– Je vous le demande.
DREAM ON IN BLUE!
…
[i]La spécificité de la « condition humaine » s’épuiserait-elle dans le principe méta-praxis (pas dit physique) du divin principe : l’homme doit s’ouvrir, et ce…. jusqu’au plus profond de sa néantitude, au vide – plein du sens orgasmique – que le voit naitre. L’avantage du néant sur l’éternité, c’est que le temps ne peut l’entacher d’aucune turpitude.
Rien ne s’explique, rien n’est prouvé, jamais – tout se voit !!![/i]
Si… si ô rang – de toute infortune!
[u]Notons :[/u]
[i]L’AMOUR… commence lorsque l’on accepte la différence de l’autre et son « imprescriptible » liberté. Accepter que l’autre soi habité par d’autres présences que la nôtre, n’avoir la prétention de répondre à tous ses besoins, à toutes ses attentes ; ce n’est pas se résigner à l’infidélité à notre égard. Non, c’est plutôt vouloir comme la plus haute preuve d’amour que l’autre soi tout d’abord fidèle à lui même ; même si cela est une souffrance, féconde. Car elle nous oblige à nous déprendre de nous même, à vivre intensément cette « dépossession » enrichissante.
(Dans la plus amoureuse étreinte, c’est un être libre qui nous étreignons, avec toutes ses possibilités ; mêmes celles qui nous échappent). [/i]
avata pour les âme_ usé(€)s
paul_le_poulpe – en stand by sur Paname: ville des lumières obscures !
– et la nuit brille de mil’éclats… Dors ! Dors mon ami(e), cils en cieux.
[i]« Je ne suis pas là, je ne dors pas,
«Je suis les mille vents qui soufflent,
«Je suis le scintillement des cristaux de neige,
«Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
«Je suis la douce pluie d’automne,
«Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
«Je suis l’étoile qui illumine dans la nuit»*[/i]
…
Je suis le trou noir de tout espace
N’allez pas sur mes absences pour pleurer, vous lamenter…
Mes chairs sont dansantes
Et si votre désir est de m’éconduire … soit
– c’est tout à votre guise !
Les lumières de vos rêves vous attendent,
– sans doute pour éclore
Je ne suis pas là.
Et m’élude en silence.
Dansez maintenant!
j’ai dit
*Je rends hommage à ces Incantations indiennes.
[u]conclusion[/u]:
– Il m’appert que ce n’est pas la raison qui fut l’outil privilégié par la conscience humaine, mais bien plutôt une spiritualité fonctionnelle et supra rationnelle: métaphysique religieuse ou philosophie métaphysique – dans l’oubli (ou la négation du corps) – de ce « MOI – (JE) » illusoire, toujours prêt à arrimer… nouer… lier… riveter… clouer… cheviller… enraciner… sceller… toutes ses peurs, ses angoisses, en l’espérance d’une finalité toujours prête à ordonner la finalité anthropologique de ces chairs.
[u]Et ici et maintenant[/u]
Que cette nouvelle révolution (5771è de l’année hébraïque, 5107è année indienne du Kali Yuga, 4708è de l’année chinoise, 2553è de l’année bouddhiste, 2137 pour les bouddhistes tibétains, 2011è de tradition chrétienne, 1431è de Hégire, 1389è de l’an iranien, 218è du calendrier républicain, (…) de gaïa autour du soleil soit pour tous un joli tour de man_âge.
– il faut… bien vivre pour bien mourir.
Alors que tout contenant inclut son contenu, l’homme chercherait-il à inclure ce qui le contient ?
Ô vacuité
…
Maintenant au tour de l’Algérie…
[b]Religion…[/b]
[b][i]Les définitions qui ont été proposées reprennent le plus souvent l’idée selon laquelle la religion est un système de croyances.
Bien que l’idée de religion semble avoir une histoire propre à l’Occident, ce terme a aujourd’hui des équivalents dans toutes les langues. Le cas, échéant, des néologismes ont été créés. Ces termes disposent de leur propre étymologie et ils n’ont pas nécessairement exactement les mêmes connotations ni la même portée d’une langue à l’autre, de la même manière que le terme religion n’a pas toujours eu exactement la même signification dans l’histoire occidentale.
Les définitions de la religion qui l’envisagent à partir de l’idée de croyances ou de la présence d’un élément surnaturel dans le monde établissent une distinction entre ce qui d’un côté serait de l’ordre de savoir scientifiques et vérifiés et de l’autre un donné inaccessible à la raison. (Source: wiki_knowledge)[/i][/b]
Dans le sens du mot de bien des maux…
Sens étymologique:
• reli_gare : ce qui relie, unit en une même croyance, foi.