Le gouvernement fédéral US aurait plus de 100.000 (?) wagons de transport de prisonniers (en stock ou/et en commande).

Jeudi 13 mars 2008

Une session spéciale à "huis clos" de la Chambre des Représentants des Etats-Unis, a été tenue le 13 mars, officiellement pour discuter des dispositions de surveillance de la sécurité à prendre.

Si la session s'est bien tenue, les autres points examinés sont à confirmer, et sont donc jusque là sujet à caution.


Ils sont publiés ici sous réserves
Non seulement les membres ont discuté de nouvelles dispositions de surveillance (projet qui serait lui, contesté par Bush – pour faire un écran de fumée ?), selon le motif officiel de la session à huis clos, mais ils auraient également examiné les éventualités de :
– L'effondrement de l'économie US, à se produire d’ici au mois de septembre 2008.
– L'effondrement des finances du gouvernement fédéral des USA pour le mois de février 2009.
– La possibilité d’une guerre civile à l'intérieur des Etats-Unis en raison de l'effondrement.
– Le rassemblement anticipé "des citoyens insurgés des États-Unis", susceptibles d'aller à l'encontre du gouvernement (une nouvelle loi le permet).
– La détention de ces insurgés aux camps de "REX 84"* construits dans l'ensemble des Etats-Unis.
– Le risque de représailles contre des membres du Congrès, suite à ces effondrements.
– L'endroit des "installations sûres" pour les membres du Congrès et leurs familles, où résider pendant les troubles civils massifs attendus.
– La fusion des Etats-Unis avec le Canada (pour ses ressources naturelles) et avec le Mexique (pour sa réserve de main d'œuvre à bas prix).
– L'établissement d'une nouvelle devise – l'AMERO – pour les trois nations, comme solution proposée au prochain "Armageddon" économique (!).

Il est stictement interdit aux membres du Congrès de révéler ce qui ce dit en session à huis-clos.
Mais plusieurs étant si furieux et inquiets pour l’avenir du pays, qu’ils auraient commencé à diffuser l'information… (??).

* "Rex 84" serait un plan du gouvernement fédéral des USA pour détenir un grand nombre de citoyens en cas de troubles civils ou massifs, d’urgence nationale.
Plus de 600 camps d'emprisonnement auraient été construits aux Etats-Unis par l'administration Bush, tous pleinement opérationnels et prêts à recevoir des prisonniers.

Le personnel de la direction des camps serait déjà en place, ainsi que des gardes à plein temps, bien que les camps soient tous vides… pour l'instant…
Entourés de miradors, ces camps seraient destinés à être utilisés par la FEMA (Federal Emergency Management Agency – l'agence fédérale chargée de gérer les situations d'urgence), dans le cadre d'une proclamation de la loi martiale.

Les camps feraient partie du "Rex 84 Program", un programme prévu "officiellement" pour le cas d'un franchissement en masse de la frontière mexicaine par des immigrés clandestins, afin qu'ils puissent être rapidement arrêtés et placés en détention par la FEMA. Le programme Rex 84 prévoirait aussi la fermeture temporaire de nombreuses bases militaires pour les convertir en prisons.
Les plans "Cable spicer" et "Garden plot" seraient deux sous-programmes de "Rex 84" qui seraient déclenchés en même temps.
"Garden plot" serait un programme destiné à contrôler la population, et "Cable spicer" serait le programme pour la prise de contrôle des Etats et de leurs gouvernements par le gouvernement fédéral.

La FEMA serait le bras armé exécutif et dirigerait toutes les opérations sous l'autorité du président des Etats-Unis.
Les camps de détention seraient tous desservis par voies ferrées, aussi bien que par la route. Beaucoup disposeraient également d'un aéroport à proximité.
La majorité des camps auraient une capacité de 20.000 prisonniers. Le plus vaste de ces camps serait situé en Alaska à coté de Fairbanks.
Deux autres seraient localisés à Palmdale et à Glendale, dans le sud de la Californie.

Eléments apportés le 21 mars 2008 :

Congressional Record: March 13, 2008 (House)
Page H1690-H1699
Permission de siéger en session secrète

Le 13 mars 2008, il est demandé aux membres du Congrès des USA, de siéger en session secrète.
S’en suit une longue discussion sur les motivations et la justification de cette demande, vu que ce n’est que la 5e fois en 182 ans !
Les membres demandent surtout l’ordre du jour.
Ils ne l’obtiendront pas.

La discussion sur la loi dite FISA (The Foreign Intelligence Surveillance Act), devant avoir lieu le lendemain, les membres du Congrès ne comprennent pas l’intérêt d’en parler avant, et encore moins en secret.
Beaucoup semblent penser que le but est tout autre, que ce n'est qu'un prétexte.
Voici le long compte-rendu officiel de ces débats, en anglais pour la première moitié, et en français, dans une traduction aléatoire pour l’autre (voir fichier ci-dessous).

Nous avons ici la confirmation de cette session secrète, de sa date et de son aspect très exceptionnel et… très secret.
Pour le reste, si les présomptions s’accumulent, il manque encore une confirmation par croisement des sources (aussi fiables que possible).

Il n’en reste pas moins que des banques sont déjà virtuellement en faillite, tenues artificiellement en perfusion avec l’agent des contribuables. Les fonds de pension ne pourrons plus assurer les pensions dans ces conditions, et si ce qu’a connu l’Argentine il y a peu (sauvée par le Fond Monétaire), devait se produire aux USA, en Europe et en Asie, on peut alors comprendre la teneur présumée de cette session secrète… et lui accorder plus de crédit qu’il ne semblerait de prime abord…