Mes poësies s’endorment le soir

Sur des papiers de confidences

Au rythme tranquille de ma plume;

 

L’essentiel des mots s’étirent sur les lignes

Et les paroles s’enferment entre les pages

Ne cherchez pas une histoire à lire

C’est ma vie qui s’étale à n’en plus finir!

 

Mes amours se souviennent des bons moments

Les images reviennent dans ma tête, toujours

Comme une ritournelle au fond de mon coeur;

 

Il y a a aussi des musiques sur des pianos invisibles

Des silences lourds comme la solitude

Des éclats de douleurs dans le miroir

Et des souvenirs qui empêchent d’oublier

Que le temps passe, quoi qu’il arrive!

 

La vie avance malgré-nous, dans l’indifférence

Alors écrivez-moi avant qu’il ne soit trop tard

Avant que mes cheveux ne deviennent aussi blanc que la neige

N’attendez pas que l’hiver gèle sur mes sourires

Ou que le vent n’emporte mes dernières paroles…

 

 

Voilà, j’espère que ce texte vous a fait plaisir en le lisant. Si vous le lisez bien entre les lignes, vous comprendrez qu’il n’est pas seulement triste.

Plusieurs nuances se dessinent dans ces mots, à vous de les voir. L’espoir n’est jamais loin du désespoir, non?

 

J’aime beaucoup écrire des textes à caractère poëtique, mais le genre est généralement peu apprécié. Dommage!

 

Bonne lecture. A bientôt pour d’autres textes à venir su C4N.