Un an après le lancement des 118, qui ont succédé au 12, le constat de l'ARCEP est sévère: le marché pourrait être en baisse à la fin de l'année de 40% !
Plusieurs raisons possibles à cela: difficulté pour le grand public de mémoriser les nouveaux numéros, mauvaise qualité de service pour certains, tarifs coûteux et peu transparents.
Et surtout, cela a sans doute été l'occasion pour le plus grand nombre de se tourner vers internet, où il est possible de trouver un maximum d'informations et souvent gratuitement.
Une libéralisation donc bien tardive et sans doute inutile…
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