Ce n’est pas parce que l’accumulation de détails « sordides », récurrents, convergents, ne vaudraient pas la peine d’être portés à la connaissance du public ou parce que je serais à mon tour gagné par la nausée que je vais tenter de nous les épargner ce jour. Dominique Strauss-Kahn est peut-être un érotomane devenu aussi emblématique qu’un Georges Simenon ou un Henry Miller, mais si c’était aussi le cas de Martine Aubry, d’Eva Joly ou de Marine Le Pen, quelles conséquences devrions-nous en tirer ? Doit-on aussi, jusqu’en 2012, vous livrer à présent tous les détails d’alcôve passés – voire actuels – de Nicolas Sarkozy et de Carla Bruni ?
Dominique de Villepin n’en démord pas : Nicolas Sarkozy est le grand bénéficiaire de l’affaire Clearstream II qu’il a, pour se faire élire, soigneusement instrumentalisée. Il lui est aussi, ipso facto, désormais superflu de saper la candidature de Dominique Strauss-Kahn en alimentant en coulisses la presse et des relais d’opinion de révélations sur les mœurs de son plus dangereux concurrent. Mais doit-on en revenir à ce que ces machines à élire et à placer des chefs de courants aux plus hautes fonctions déterminent le choix de leurs représentants en fonction de leur vie privée ?
Peu d’entre les électrices et électeurs de demain, même si les seniors votent davantage que d’autres catégories, se souviennent de « Dents blanches ». Jean Lecanuet, ancien vrai résistant, membre de l’Opus Dei, fit sa carrière politique au sein du très chrétien MRP. Cela avant de faire figure de premier « Kennedy à la française » (appellation réattribuée ensuite à Jean-Jacques Servan-Schreiber), et de se présenter, contre De Gaulle, à la présidentielle. Va-t-on à présent soutenir qu’il s’était déclaré farouche partisan de la peine de mort lors de l’affaire Ranucci (meurtre d’une fillette) pour occulter ses propres frasques et paraître encore davantage au-dessus de tout soupçon moral ?
Selon Anne-Élizabeth Moutet, journaliste, une consœur aurait vécu un incident à caractère sexuel avec l’ancien maire de Rouen, Lecanuet, furtif épisode qu’on ne saurait mettre en parallèle avec les multiples sollicitations, parfois éventuellement suivies de consentement réel, dont il est plus que plausible que DSK fit preuve. Je n’établis aucun rapprochement abusif entre un homme accusé de viol et un autre qui, peut-être (A.-N. Moutet n’était peut-être pas la journaliste de radio qu’elle évoque, et elle n’était dans ce cas pas présente dans le bureau du maire de Rouen), avait eu une attitude plus qu’équivoque avec une jeune journaliste.
Je crois en revanche que Dominique Strauss-Kahn, s’il avait été élu président, n’aurait pas cherché à influencer les réglementations sur la censure des publications pornographiques, ni à tenter de minorer, d’adoucir la législation sur le viol, le harcèlement sexuel, &c. Non par hypocrisie, ou pour se refaire un statut « moral », mais sans doute pour ne pas donner prise à la critique et surtout par principe : le président n’a pas à sortir à tout moment et selon ses tocades des prérogatives de son domaine réservé. Inversement, même s’il était devenu un président cédant à une impulsion d’une nature obsessionnelle dont il subit à juste titre les conséquences à présent, je ne vois pas la presse française la passer sous silence. Cela sans exclure qu’une ou un Garde des Sceaux ait pu tenter, pour éviter un cataclysme, de faire en sorte que le parquet minore les charges les plus accablantes. Politique fiction…
Il y a quand même une formidable tartufferie de la part de l’UMP à camper un PS ayant perdu « la bataille de la morale ». Je ne traîne pas (ou plus), comme A.-É. Moutet, dans les rédactions, je n’ai que très peu de contacts avec d’ex-confrères, mais il m’arrive, comme à tout un chacun, de percevoir des échos crédibles émanant de sources qui ne le sont pas moins. Je ne vais pas rappeler tous les incidents d’avant la dernière présidentielle ou ultérieurs qui ont fait sourire aux dépens de Nicolas Sarkozy. C’est assez véniel : une mémorable dispute entre lui et Cécilia dans son bureau de la mairie de Neuilly, les insolites fréquents tête-à-tête avec telle fonctionnaire de police dans celui du ministère de l’Intérieur, les éventuelles rencontres antérieures au fameux dîner avec Carla Bruni…
Ce que je crois pouvoir affirmer, c’est que Dominique de Villepin n’en était pas l’instigateur : il n’avait nul besoin de l’être, personne ne m’a rapporté qu’il aurait pu en amplifier la portée.
Il est des rumeurs bien plus cruciales en France : avant l’élection de François Mitterrand, sans preuve aucune, il était véhiculé, de manière organisée, que les « socialo-communistes » allaient supprimer le PMU, tous les jeux de hasard de la Française des jeux. Non pas pour favoriser les casinos tenus par des soutiens politiques, mais par souci moral, pudibonderie à l’égard de l’argent. On a vu ce qu’il en fut par la suite.
Or voici donc que Le Monde, sous la plume de Gérard Davet (Karachigate, Woerthgate…) et Fabrice Lhomme (idem, moines de Tibéhirine, &c., passé chez Médiapart), assure que le quotidien avait réceptionné une note « signalant la présence de M. Strauss-Kahn, surpris en fâcheuse posture (…) dans un haut lieu des rencontres tarifées. ». En clair, au bois de Boulogne, côté voyeurs et échangistes ou côté travestis et belles de nuit. Il n’y a plus aucune importance à révéler cette note pour la suite du procès de DSK : la coupe est déjà largement pleine, ce n’est pas la goutte qui la fera déborder. Mais les conséquences peuvent être de l’ampleur d’un tout autre DSKgate, celui qui dépasse de loin la personne de Dominique Strauss-Kahn.
Le Monde : « C’est en parfaite connaissance de cause que M. Sarkozy (…) le propulsa à la tête du FMI. ». Ce qui ne corrobore aucunement la thèse d’un complot dont DSK serait le simple jouet et non le principal protagoniste activement impliqué si l’on s’en tient à l’acte d’accusation.
Un tel article ne vaut pas tout à fait éditorial mais c’est bien évidemment le genre d’information qui fait l’objet d’un débat en conférence de rédaction, pendant laquelle les présents sont debout, et qui implique une prise de position vent debout, au risque de soulever des bourrasques et de donner du gîte. La suite vaut tout autant prise de position : Nicolas Sarkozy profita de Clearstream II « pour retourner l’affaire (…) en sa faveur, et surtout placer ses hommes aux postes clés. ». Des hommes qui roulaient déjà pour lui, au sein des services de renseignement et de police, qui ont joué la carte sarkozyste après n’avoir pu jouer plus finement et avec succès la chiraquienne, soit obtenir les promotions convoitées.
Que ce qui se fornique aux Chandelles, à l’Overside, au No comment, clubs échangistes plus ou moins huppés, ou dans certains semi-donjons, puisse intéresser des mouches est une chose. On peut l’admettre, de même qu’il semble adéquat que les cercles de jeu, où circule beaucoup d’argent liquide, voire quelques fluides, ou quelques substances « récréatives » ou propices à évacuer le stress, fassent l’objet d’une surveillance. Idem pour les champs de course, les restaurants d’affaires, et les buvettes des parlementaires, &c. Que cela finisse dans la presse est d’une toute autre nature. Il est d’ailleurs déplorable que Jean-Luc Delarue ait fini par faire les unes en raison d’usage de stupéfiants et si peu pour les mauvais traitements infligés à des surbordonné·e·s. Les torts sont quelque peu partagés : vous sautez sur les affaires en prud’hommes ou sur la page des sports, ou sur l’horoscope en premier ?
Pas plus qu’hier je n’irai distiller des infos d’ordre privé (voire public, mais peu signifiantes) sur telle ou tel en vue de les gonfler démesurément, d’en faire des mini-scandales qui pourraient focaliser l’attention de quelques médias. En revanche, oui, le cas DSK mérite un autre type d’attention.
Il ne doit pas y avoir d’omerta à l’égard de qui traite les subalternes tels des Kleenex, et ce dans tous les domaines. Rappelons quand même que DSK ne tenait pas son épouse pour quantité négligeable, que la plupart de ses proches collaboratrices n’avaient guère à s’en plaindre au-delà de possibles petites vexations, qu’il n’était pas, que l’on sache, du genre à humilier ses subalternes en général, hommes ou femmes. Il n’a pas de gamelle du genre de celle qui traîne aux basques de Ségolène Royal (le procès avec Évelyne Pathouot et Claude Fouchier, contrebalancé par le témoignage de Jean Baubérot, historien, ancien chef de cabinet, et d’autres…). Il n’a pas été dit que DSK pillait des associations ou des comptes dissimulés pour se payer ses coûteux costumes comme il fut allégué que tel autre (Julien Dray) fut trop fashion victim et acheteur (de montres) compulsif au risque de prêter le flanc à de justes critiques.
Le DSKgate prendrait un tour fort déplaisant s’il devait inciter la presse à traquer absolument tous, et j’insiste bien, tous les membres des familles Sarkozy et Bruni-Tedeschi, et d’autres familles, pour se « racheter » de n’avoir pas été assez vigilante envers Dominique Strauss-Kahn. Dans ce cas, il faudra aussi faire toute, mais toute la lumière, sur la famille Le Pen, les proches, les associés, les collatéraux.
Non pas seulement rappeler que Pierrette Le Pen assure que l’essentiel de l’héritage des Lambert et des fonds de la Fondation Saint-Julien a fini « à l’Union des banques suisses », mais aussi aller bien au-delà. Revenir sur les déclarations de Pierrette Le Pen au sujet du père de leurs enfants : « je te mettrai à la cave et je te pisserai sur la tête », et en tirer des conclusions aussi bien senties que fumeuses au fond : comment admettre que la fille d’un tel homme ne soit pas marquée à vie par le traitement infligé à sa mère, et donc trop fragile pour diriger la France ? Et insister, rabâcher, tout retourner, vraiment tout ? Ce n’est pas sur ce terrain que la candidature de Marine Le Pen doit être estimée, jaugée, soupesée, éventuellement confortée ou dénoncée.
Déballer, déballer, encore et encore, au détriment du reste ? On ne regrettera pas trop que la presse n’ait pas, n’ait plus, les moyens de se livrer à un tel espionnage constant, permanent, de tout instant, de toute personne approchant tel ou tel candidat, telle ou telle dirigeante. Déjà, le DSKgate a détourné notre attention de la Lybie, de la Syrie, du nucléaire, de la dette des États, du devenir du système monétaire, &c. Ce fut en quelque sorte aussi un mal pour un bien puisque ce même DSKgate a remis en lumière des faits de société dont sont plus directement victimes, au quotidien, des femmes et des hommes : harcèlements, conditions de travail éprouvantes, inégalités, nécessité d’une aide judiciaire digne des enjeux, sexisme latent, conflits ethniques, &c.
Déjà, hormis fait-divers vraiment marquant, le lectorat déserte, ne s’en remet pour son information qu’à la seule télévision, et encore, distraitement. Il ne s’agit pas d’occulter toutes les turpitudes des personnes en vue, mais bien de respecter une hiérarchie de l’information qui ne privilégie pas l’accessoire aux dépens du plus crucial. Certes, le lectorat a aussi besoin de souffler, de se divertir : les émetteurs, aussi. Je ne regrette absolument ma blague potache de voici peu (« exclusivité C4N : Anne Sinclair… nue ! »). Ne serait-ce qu’en raison de sa valeur démonstrative : la page est davantage fréquentée, en deux-trois douzaines d’heures, que deux autres, sur la même affaire DSK, ayant exigé un travail largement plus ardu, tentant d’aborder des faits de société au-delà du traitement du fait-divers. CQFD. Et puis, au moins, j’ai un peu décompressé…
En revanche, il n’est pas anodin de relever que le site Atlantico a pu faire état de « fuites » policières françaises à propos de la présence de taches de sperme sur les vêtements de Nafi Diallo. Le NYPD affirme aujourd’hui que cette information était pour le moins prématurée. Al Jazeera donne la parole à un procureur (extérieur à l’affaire) qui estime qu’un « secondary transfer » (indirect, entre du sperme se trouvant préalablement présent et des effets personnels) ne pourrait être exclu. Cette fuite est-elle du même tonneau que la note produite au Monde ? Quoi qu’il en soit, le NYPD maintient son appréciation du fond de l’affaire : il n’y a pas d’élément suffisant pour interrompre la procédure.
Mais le complot, dont nous sommes à la fois les volontaires et involontaires parties prenantes (car ce genre de « détail » retient notre attention, tant comme destinataire qu’émetteur), dû sans doute plus aux circonstances qu’aux manipulations d’un vaste « groupe de l’ombre » aux contours bien flous, réussirait si la presse en venait à modifier ses priorités. En faveur du croustillant.
Ou même au contraire : s’il se produisait un retour de balancier, soit une législation ou un consensus pour ne plus faire état des charges pesant sur un mis en examen, ni même de sa mise en examen, nous serions amenés à renforcer la dite omerta. Rappelons qu’elle tient aussi aux pressions financières, au risque de perdre un procès (diverses affaires de Bakchich, cas de Denis Robert peu suivi par divers confrères, maints autres cas).
Dans The Huffington Post, l’ancien juge Lee Sarokin pose la question : « et s’il était innocent ? ». Cela ne plaiderait-il pas pour conserver un total silence en l’attente d’un procès public ? Dans ce cas, jusqu’au procès, Nafi Diallo n’aurait-elle pas risqué de passer pour une affabulatrice ? Ou, comme le fameux « homme de la rue » (une seule femme, en l’espèce) ose le présupposer, pour une Africaine hallucinée, en proie à une imagination nourrie de sorcellerie, de croyance à des sortilèges ?
Des revirements spectaculaires, cela se produit. J’ai en mémoire le cas d’un homme accusé pendant de longues semaines d’avoir été un criminel en série (trois femmes agressées dans une ville moyenne), et qui finit par bénéficier d’un non-lieu. Une petite foule hurlait sa haine, sa volonté d’exécution, de lynchage immédiat dès qu’il fut sorti par la grande porte du palais de justice local. Le présumé tueur a dû quitter son emploi, sa famille, sa ville… J’avais fait état de mes doutes sur sa culpabilité, j’étais tenu par certains pour un quasi-complice ; mais aucun lecteur n’a résilié son abonnement, ce furent juste quelques jours pénibles à passer. Servitude et petitesses journalistiques.
Le point de vue du juge Sarokin est d’ailleurs étonnant : la sérénité et l’ordre public doivent l’emporter sur d’autres considérations. « Si l’annonce [d’une arrestation] a pour objet de calmer l’émoi du public et lui faire penser que quelque violeur ou criminel en série a été arrêté… », alors, oui, il y a peut-être lieu de dévoiler une identité, sans pour autant donner d’autres détails. Je me demande encore si « l’homme au couteau » ou « l’homme au marteau » de Belfort n’avait pas été arrêté simplement pour faire retomber la tension, apaiser la population locale. En fait, les policiers nous distillaient leurs convictions : ce ne pouvait être que lui, il avait été à deux doigts de craquer et d’avouer… La justice a rendu un non-lieu une fois l’affaire un peu oubliée.
DSK n’étant pas un violeur en série confirmé, ni en puissance un fauteur de trouble de l’ordre public, fallait-il donc le mettre en détention ? Fallait-il révéler son identité ? Le DSKgate restera un cas d’école de journalisme quoi qu’il advienne, et interpellera les magistrats encore un certain temps. Moins que l’affaire Dreyfus (Bernard-Henri Lévy n’est pas un Jean Jaurès, d’abord antidreyfusard avant de se raviser, ni un Émile Zola…), certes, mais une « grande affaire » indubitablement.
Le journalisme n’est certes pas une science humaine, seulement un objet d’études et de recherches pour diverses disciplines. Mais c’est un métier sous constante influence : imaginez qu’aucun titre n’ait voulu évoquer les listings de l’affaire Clearstream II avant que la justice, saisie, n’en débatte publiquement. Haro sur cette presse vendue forcément au successeur présumé de Jacques Chirac, tollé, scandale : tels auraient sans doute été les effets les plus probables. Quoi, Plenel, du Monde, figurant sur ces listings et son titre n’en pipant mot ?
Et même – quoi ? –telle ou telle s’adonnerait au nudisme estival et la presse dissimulerait soigneusement les photos, pour éviter que des familles choquées ne lui accordent pas leurs suffrages ? Tiens donc, l’écart de fréquentation se creuse encore entre « Anne Sinclair nue » et d’autres entrées sur l’affaire DSK.
Il n’existe pas d’instance ordinale des journalistes, uniquement un tribunal prud’homal paritaire. Est journaliste qui en vit, quelle que soit sa pratique, et trouve employeur pour la ou le rémunérer via un titre inscrit à une commission ad hoc. Nous sommes censés avoir pour référence la Charte des journalistes du SNJ (qui, depuis le 11 mars, fait à peine meilleure recette qu’Anne Sinclair en moins de 24 heures). Croyez-vous que ce soit en fonction de la déontologie de la profession que les patrons de presse, amis ou adversaires de DSK, ont ou non consulté leurs chefs des ventes ? Le New York Post, titre de NYP Holdings Inc., est une filiale de News Publishing Australia Ltd. En clair : Rupert Murdoch. Je ne crois guère que l’opinion du juge Sarokin finisse par prévaloir sur celle de Rupert Murdoch dont les titres tendent à accabler DSK pour des raisons qu’on veut supposer purement commerciales.
L’ancien ordre des choses en France, soit une certaine discrétion relative à la vie privée des personnalités, résulte d’un compromis, d’un consensus grégaire. Il vaut ce qu’il vaut. Il peut être remis en question. Si cela devait conduire à passer sous le boisseau que Dassault finançait tant le Front national que d’autres formations politiques, ou à en reléguer l’information en fin de papier de bas de page, au profit des couleurs des chaussettes et des coups de canifs dans les contrats de mariage, nous n’aurons rien gagné au changement.
Didier Salavert, d’Alternative libérale, considère « que ce n’est pas à un groupe d’individus de décider de ce qui est important ou non concernant des personnalités politiques à qui l’on va confier des responsabilités énormes. ». Certes. À qui alors ? À un conseil des lecteurs plus ou moins coopté qui ferait des recommandations aux rédactions ? À des jurés tirés au sort ?
Quand on voit ce qu’il est advenu des conseils d’administration des banques et assurances mutualistes, censés représenter les déposants ou assurés, j’éprouve quelque réticence à envisager que la crédibilité des titres de presse soit renforcée par ce type d’instance. D’autant que l’Internet permet à présent l’exercice d’une sorte de contre-contre-pouvoir.
Quant à l’initiative d’Alternative libérale, soit son site « Une rose pour Ophelia », je ne sais s’il faut y voir une pompe d’adresses de courriel ou autre chose. Des fleurs virtuelles pour Nafi Diallo, pourquoi pas ? Écrire que « les médias et intellectuels français » (donc, tous les médias, tous les intellectuels) auraient fait subir à Nafi Diallo un « traitement indigne », accrédite la thèse d’un autre complot : « ils » sont tous de mèche, « toutes » vendues. Ce n’est sans doute pas l’intention du MoDem ou d’une nébuleuse centriste en accointance avec une fumeuse confédération centriste (en fait, une aile fort droitière) que de donner dans le « tous pourris », complices. Pour le FN, mieux vaudrait d’abord épousseter les toiles d’araignées, voire encore à présent balayer devant sa propre porte.
Claude Ribbe, écrivain, spécialiste de l’esclavage, a aussi lancé un comité de soutien à Nafi Diallo. « Pour exprimer ma condamnation du racisme, du sexisme et de l’islamophobie, pour montrer qu’au pays des droits de l’homme, il ne suffit pas d’être milliardaire et de se dire de gauche pour avoir toujours raison et être au-dessus des lois, pour protester contre l’impunité systématique dont bénéficient en France ceux qui s’en prennent à des Africains ou à des Afro-descendants, &c. », je suis invité à rejoindre ce comité. Il ne m’a pas sauté aux yeux qu’il se soit produit une déferlante sexiste ou raciste, Nafi Diallo m’est a priori sympathique, je n’ai pas voté Arlette Laguiller mais, oui, sa condition est plus proche de la mienne que celle de DSK, &c. Mais je ne crois pas davantage au symbole providentiel qu’à l’homme (ou la femme) providentiel. J’aviserai si l’avocat de Nafi Diallo lance un appel à obtenir des fonds, et je ne préjuge pas de ma réflexion d’alors…
Mais d’accord. Transparence, transparence, je vais me faire une gueule transparente. Je veux donc tout savoir sur les pratiques intimes de Sabine Herold, Louis-Marie Bachelot, Laurence Petit, Nicolas Zumino (membres d’Alternative libérale). Tiens, pourquoi pas des vidéos à l’horizontale ? Et puis, tant qu’à faire, n’en restons pas là : l’investigation journalistique ne doit pas consister qu’à infiltrer les organisations, les chambres à coucher aussi ! Draguons, comme Étienne Liébig, la militante dans les réunions de section, et tentons de savoir si la candidate au conseil général est anale ou non, si on peut jouer au Jules avec son Jim…
Pauvres consœurs, pauvres confrères, incités à faire de la surenchère. Machine est un très mauvais/médiocre/bon/excellent coup au lit. Machin m’a proposé l’ondinisme ! Untel voulait que je conserve mes escarpins et vienne en bas couture !
Cela se dit parfois autour de la machine à café, surtout dans les grandes rédactions aménagées « paysager ». Une telle, un tel… Pas seulement « m’a dit que… ». Pour Jean-Jacques Bourdin (RMC) ou je ne sais qui, « la France a pris une leçon de justice à l’américaine. ». Pour Hubert Coudurier, du Télégramme, « cette transparence a au moins l’avantage d’éviter l’hypocrisie qui prévalait ». Avec qui tu couches, Hubert, au fait ? Tu as un animal de compagnie ? Donne l’adresse du vétérinaire. Des enfants ? Et à leur âge, ils se collent encore les doigts dans le nez (bon, je n’ai pas de photo pour l’établir, et je n’en sais rien du tout…). Oui, Dominique Wolton a raison : « la transparence peut être totalitaire (…) le droit de savoir peut virer au cauchemar. ».
Tout Lothario (séducteur) n’est pas un Barbe bleue en puissance. Toute Cléopâtre n’est pas une affamée de pouvoir absolu, ni une Elizabeth Bathory (folle de son corps au point de se baigner dans du sang pour en préserver la joliesse). Souhaitons que le cas DSK reste l’exception DSK. Espérons aussi que s’il doit faire évoluer certaines pratiques, nous sachions préserver un certain équilibre.
Croyez-vous que ce soit seulement parce qu’il existerait une omerta sur les conditions de travail dans la presse et les médias que les démêlés de Delarue avec ses employés et subordonnées ont fait moins de « papier » et de temps d’antenne que son arrestation pour possession de drogue ?
C’est aussi par inertie : pas seulement de la part des émetteurs (la presse), mais aussi des destinataires (lectorat, auditorat). Or, à quoi êtes-vous le plus confronté·e·s ? Majoritairement. Aux problèmes d’addiction dans votre entourage ou aux difficultés sur les lieux de travail ? La presse doit sans doute changer ses comportements, mais il faudrait peut-être que celles et ceux auxquels elle s’adresse modifie aussi les siens. Vieux débat…
Si le lectorat sait moins lire qu’autrefois, je me demande jusqu’où on finira dans les stages « écrire pour être lu » des organismes de formation.
[b]Vous n’avez pas tort, Jeff, je le reconnais.
Je pense qu’il faut savoir trier les informations quand elles vous arrivent en continu.
Travail difficile pour le citoyen lambda, d’où les mauvaises interprétations, et les déformations de l’information.[/b]
Merci, Sophy : je reconnais que vous avez raison, on doit avoir davantage d’infos sur les gens briguant des responsabilités, surtout publiques. Par ailleurs, l’info étant sortie, il y a un travail de mise en perspective.
Et là, il faut une diversité de la presse, et une déontologie, qui d’ailleurs, ne peut être si différente pour la presse d’opinion, la presse dite informative, &c.
Déjà, qui peut accéder vraiment au statut de candidat·e à des fonctions électives : la prostituée, le partisan du châtiment corporel des enfants, &c. Ce n’est pas tout à fait un tout autre débat.
Il y a une omerta : personne n’a comparé le bilan législatif d’Ilona Stalller, dite la Ciccolina (ancienne hardeuse, parlementaire italienne), le programme de Tania Dervaux (Belge), avec d’autres. Parfois, quand je constate certaines impostures ou les programmes qu’on a vendu, j’ai comme des doutes. Et ce ne sont pas les reportages en famille, avec enfants et chiens sur la photo qui me rassurent.
[b]Cette déontologie, Jeff existe-t-elle réellement chez les journalistes professionnels ?
Ont ils « juré », de respecter un certain code de bonne conduite en validant leur diplôme de Journaliste ?
J’en doute, car il est rarement respecté.
C’est à celui qui publiera l’information le premier sans bien souvent avoir de précisions suffisantes pour analyser les situations afférentes à l’information fournie.
Ce que nous produisons sur le Net et sur C4N en particulier n’est que le ressenti à la lecture de magazines qui souvent reflètent nos idées Politiques.
Nous nous exprimons en tant que citoyen selon nos sensibilités, mais l’impact médiatique vient surtout des diffuseurs patentés, Radio, et télévision comprise.
Et là encore, plus le scandale est « gros », plus les ventes augmentent.
Mais çà vous venez de l’expérimenter avec l’article précédent : « Anne Saint-Clair nue ».
Tout en sachant qu’il n’y a que les titres racoleurs et les promesses d’exclusivité qui « rapportent.
Pour C4N cela se chiffre en nombre de visiteurs..
Sachez néanmoins que je vous préfère en analyste.
En découvrant le titre,Vous m’avez d’ailleurs, pendant un moment, laissé croire au retour d’un « fantôme » sur C4N.
[/b]
[b]Tiens je n’avais pas vu ce petit bandeau ..
Vous venez d’en donner la preuve
Et pour Anne Sinclair, votre compteur va exploser d’ici un mois…[/b]
[quote] Oui, Dominique Wolton a raison : « la transparence peut être totalitaire (…) le droit de savoir peut virer au cauchemar. [/quote]
Je me demande Jef,si tout ça,c’est au nom de la transparence ou il y a un plaisir « sadique » et « malsain » d’étaler les choses et de les médiatiser à outrance…du pain et des jeux…ce n’est qu’une histoire qui continue…
Bonsoir,
Peut-être les journalistes français gagneraient-ils en crédibilité s’ils écoutaient un peu plus leurs concitoyens au lieu de décider entre eux des « informations » qu’il convient ou non de leur distribuer.
En vrac :
Le « tous pourris » n’est pas un concept frontiste, mais une réalité de tous les jours pour de très nombreux Français, que les journalistes dans leur immense majorité méprisent autant que les autorités judiciaires. Pourquoi le FN est-il le seul parti à capter cette réalité ? Ou pourquoi lui reproche-t-on de le faire ? Qui ? Ce sont des questions qui devraient titiller les journalistes, s’ils étaient capables de sortir du déni de réalité qui caractérise nombre de leurs opinions ou prises de position.
Puisqu’avec l’affaire DSK, il est question d’affaires de moeurs, précisons qu’à quelques exceptions près, les victimes de viol, de pédophilie, de harcèlement sexuel, mais aussi de harcèlement moral dans le travail, comptent parmi ces exclus de la République qui se heurtent systématiquement à l’innommable quelle que soit la direction vers laquelle ils se tournent.
Concernant par exemple le harcèlement moral en entreprise, les thèses du sociologue Jean-Pierre Le Goff prévalent dans les milieux dominants. Or, que dit ce monsieur ? Le harcèlement moral en entreprise n’existe pas, il ne s’agit que d’affaires « privées ». Il utilise la même mention qui sert également très couramment à étouffer des affaires de viol ou de pédophilie : c’est la « vie privée » de Monsieur, circulez, il n’y a rien à voir.
Au-delà du sort des victimes qui ne sont jamais reconnues en tant que telles, et dont le calvaire ne prend fin qu’avec la mort, chacune de ces affaires de « moeurs » qui est étouffée au lieu de donner lieu à procès et condamnation est une épine dans le pied du coupable, un moyen de pression potentiel à son encontre. La gravité des chantages auxquels il peut être soumis dépend de ce que les chanteurs peuvent en attendre, eu égard à ses fonctions ou ses capacités.
Est-ce si difficile à comprendre ?
J’aime bien donner des exemples concrets, cela énerve toujours les grands spécialistes de la parlote dans le vide que sont tous les politiciens que j’exècre.
Un exemple, donc :
L’homme fort de mon département a eu un enfant avec une fille de 15 ans. Celle-ci n’avait donc pas atteint la majorité sexuelle lorsqu’elle est tombée enceinte, à 14 ans. Dans son parti politique, tout le monde est courant, ailleurs beaucoup moins, la presse n’en a jamais parlé : c’est sa « vie privée ».
Un élément de « vie privée » anodin ?
A l’évidence, non, puisqu’elle n’est pas sans incidence sur le traitement judiciaire de TOUTES les affaires de moeurs dans ce département : Monsieur a dit qu’il n’en voulait voir aucune…
Sauf exception, les auteurs de viol ne sont donc jamais poursuivis, on les laisse recommencer autant qu’ils veulent, sur la même victime, ou sur d’autres… et aussi faire des émules… Quant aux victimes, l’impunité de leurs agresseurs les désigne automatiquement comme cibles et proies faciles à de nouveaux prédateurs…
Pourquoi la France détient-elle le record mondial de la plus grande consommation de psychotropes ?
Réponse dans ses hôpitaux psychiatriques, dont la « clientèle » est essentiellement constituée de victimes de viols qui n’ont jamais vu condamner leurs agresseurs. Ce sont elles qui le sont…
Tenez, la preuve que l’Internet est un contre-contre-pouvoir, c’est vos commentaires
Qui élargissent la réflexion.
[b]Internet : Le Cinquième Pouvoir, et croyez moi un jour nos décideurs seront bien obligés d’en tenir compte.
TOUS nos décideurs, Politiques et autres…..[/b]
[quote]Réponse dans ses hôpitaux psychiatriques, dont la « clientèle » est [b]essentiellement [/b]constituée de[b] victimes de viols [/b]qui n’ont jamais vu condamner leurs agresseurs. Ce sont elles qui le sont..[/quote]
un peu…!!exagéré!Dans les hôpitaux psychiatriques,il y a toutes sortes de pathologies différentes!
unpetitcoucou:
[b]Il n’est pas bon d’exagérer d’un coté ou de l’autre. L’absolutisme ne convainc personne. Je suis de l’avis que tout violeur doit être condamné. La difficulté consiste à établir que le viol a bien été perpétré, que la sollicitation, la provocation n’a pas existé. Il est des cas où l’attitude d’une fille laisse croire à un désir de sa part. Si, au dernier moment, elle se refuse, l’homme peut être entrainé malgré lui à une sorte de violence qui ressemblera à un viol.
J’éprouve une certaine retenue à aller dans le sens de certaine féministes excessives qui verront toujours dans l’homme un agresseur et dans la femme une victime. [/b]
Hier au soir dans une émission à la télé, une femme pour l’affaire DSK a eu une réflexion très intéressante et surtout VRAIE. Pour elle nous sommes dans ce drame dans un système de pouvoir. Le puissant contre le faible.
Comment aurait-été traitée l’information si c’était Mme Christine LAGARDE qui dans sa chambre d’hôtel au SOFITEL avait portée plainte « pour viol » en accusant l’homme de ménage de couleur noir ? Il n’est pas dur d’imaginer comment les médias aurait relayé l’info 🙁
@ Mozarine : Ce sont les praticiens hospitaliers qui le disent, ils ne voient que ça à longueur de journée : des victimes de viols, subis à tous les âges, et qui ne s’en remettent pas, ou bien encore des victimes de viols que l’on psychiatrise contre leur gré pour les faire taire et préserver la « vie privée » de leurs agresseurs. Tout comme cette mention, les mots « pathologie », « psychose », ou « schizophrénie », ne sont que des cache-misère auxquels un enquêteur sérieux, averti, ne devrait jamais s’arrêter.
@ Jacques Prince : Je ne crois pas exagérer. Mes propos vous paraissent excessifs car vous êtes très mal informé sur la manière dont les affaires de viol sont usuellement traitées en France. Les considérations des enquêteurs ne sont pas forcément celles que vous croyez, les faits les préoccupent bien moins que les personnalités des mis en cause ou de la victime.
Pour finir, je ne suis pas d’accord à propos du « contre-contre-pouvoir ».
Généralement positive et constructive, je verrais plutôt Internet renforcer le contre-pouvoir ou combler ses failles, pallier ses insuffisances et défaillances diverses et variées.
Mais si le contre-pouvoir nous voit arriver en opposition, et non en complément, c’est qu’il devrait changer d’appellation : il n’est plus contre-pouvoir, mais vecteur du pouvoir.
[b]C’est bien ce que j’ai dit plus haut, mais apparemment mon com. est passé inaperçu[/b]
Votre article d’hier vient de m’accrocher .Vraiment écrit par un vrai journaliste . Je n’ai pas la plume facile pour ce genre de commentaires comme le font certains ou certaines.
Simplement je dirais que j’aurais aimé assister au Tribunal le 6 juin au face à face DSK Nafi ………….si cela se fera………
Merci Eleina. Mais contrairement à ce que vous estimez, ce n’est pas, journalistiquement, un « bon papier ». Trop long, pas assez hiérachisé de manière cohérente, &c. En sus, cela exigerait des intertitres. Je vais peut-être prendre la peine de me mettre à en faire à l’avenir.
Bref, ce serait trop long à expliquer, mais ce n’est pas « conforme », pas « académique », si l’on veut.
En fait, j’écris au fil de mes réflexions alimentées ponctuellement par des recherches de mise à jour ou de complément (élargissement) d’information. D’une part parce que je suis, comme tout le monde, quasi bénévole (le tarif de la pige en presse magazine est tombé à env. 50 euros, comparez…), ensuite parce que la place n’est pas comptée, et surtout parce que, fttt… le vrai travail (de mise en forme, de traque du mot trop compliqué à remplacer par un autre, du verbe actif synonyme…), j’ai assez donné… avant et ailleurs.
Pas sûr qu’il y aura une confrontation entre DSK et Nafi Diallo le 6 juin. Elle peut ne pas comparaître, laissant faire son avocat. Son récit est cohérent, mais sans le moindre témoin, même les prélèvements de DNA ne peuvent permettre de dire : c’était consenti ou non. Il y a eu des cas où, la victime ne se présentant pas, c’est resté « parole contre parole ».
Bon, comme tout le monde, je vais un peu me détacher de ce DSKgate, sauf élément vraiment nouveau paraissant crucial.
Il serait temps, car DSK doit avoir les oreilles qui sifflent, et va finir par avoir une otite à force d’écrire des articles sans construction !
Faut vraiment passer à autre chose, du style les victimes journalieres en Syrie, ou les fadas qui se balladent dans les rues et violent des gamines de 10 ans et qui sont des recidivistes!!!
Un bon journaliste ne s’acharne pas sur le dernier pipi de DSK? Un peu de profondeur pour C4N…..et aussi d’objectivité ….
Cher Kottel,
Il ne s’agit pas (que) de la dernière miction de DSK…
Quant à la Syrie : faites donc.
À propos des violeurs récidivistes, si vous avez quelque chose de plus à indiquer que ce qu’on peut lire par ailleurs ou ce qu’en disent les agences, ne vous retenez pas.
Quant à l’objectivité, on tente d’y tendre.
Question construction, vous auriez pu reprendre votre première phrase :
« [i]Il serait temps… Les oreilles de DSK doivent siffler ; avec ces articles bâclés, il encourt une otite ![/i] ».
Revenez, Cher Kottel, quand vous voudrez…
Mieux encore. Il me semble avoir lu qu’un comité de soutien à DSK s’est formé.
[url]http://www.sudouest.fr/2011/05/14/un-comite-de-soutien-a-dsk-a-ete-cree-398427-4344.php[/url]
Pas d’automédication avec l’otite moyenne ; mais pour l’externe, vous pouvez contribuer à l’action de ce comité en faisant parvenir des gouttes auriculaires.
Je sais que vous adorez les visites, mais bon ce n’est pas ce type de réponse qui ne satisfasse !!Je ne suis qu’une petite citoyenne qui recherche un peu de lecture originale et qui nous apporte [b]un peu [/b]d’intérêt ! Allez Lagarde est devenu un corbeau charognard derrière Dsk aujourd’hui , alors pourquoi ne pas prendre votre plume de journaliste et montrer un peu de votre objectivité!
Soyez gentil, eviter de [b]repérer mes fautes[/b], elles ne sont que minimes devant les bêtises que je peux lire ici !Une si belle plume…c’est dommage non ?
La photo, ou plutôt celle de la photo de Nafi Diallo voici une bonne décennie, prise dans son village de Guinée, est désormais un peu partout : Closer, RTL.be, &c.
Je vous laisse trouver.
Pour Anne Sinclair nue, c’est toujours en exclu mondiale sur Come4News :
[url]http://www.come4news.com/exclusif-c4n-anne-sinclair-nue-310867[/url]
Et bizarrement, elle intéresse davantage que la déontologie des journalistes (article sur la Charte du Syndicat national des journalistes). Y compris celles et ceux qui critiquent les dérives des médias ? Allez savoir…
Tomber sur un tombeur, qui ne cesse de penser a Anne les seins clairs devrait ne pas être surpris bientôt sur les révélations (hors C4N) qui vont se faire sur ce complot guinéen ….
C’est ce que j’aime chez vous « le tout venant ».
J’aurais tant voulu une confrontation DSK / NAFI . Je me serais empressée et aurais ouvert toutes grandes mes oreilles et les yeux. Parce que je ne pense pas qu’il l’aurait regardée
droit dans les yeux. C’est peut-être pour cette raison qu’il n’y a pas « confrontation ».
Et voila que Natasha Kiss se fait sa pub. Cette actrice du X se souvient des caresses de DSK en club et n’en dit que du bien.
Eh.
Brève rencontre : [i]In un club privee a Parigi quattro o cinque anni fa[/i]
Elle le surnommait Gengis Khan.
[i]fu molto carino.[/i]
C’est bien la preuve que… quoi ? Ben, rien.
Jeff, si vous me le permettez, pourquoi ne pas parlez aussi de toutes les nanas de Mitterant, mais aussi de Sarko, ou des derniers viols de tron , hein ??? Pourquoi recherchez vous autant d’ex amis de DSK, oui c’est vrai qu’il donne envie a beaucoup d’hommes qui aurait voulu son charisme, son argent, sa popularite, mais bon la vie est faite comme cela, mais bon des seins nus de Anne a l’actrice XXX cela ne vole pas tres haut, je vois, il faudrait arreter de parler comme cela des femmes, cher Tombeur….Sinon les feministes vont se plaindre de C4N!
Jeff Tombeur.
A vouloir trop parler on finit par déconner.
Etre un bon journaliste, cela consiste à écrire d’une manière compréhensible et non à écrire des lignes et des lignes, comme ceux qui sont payés à la ligne.
Je le regrette car Jeff Tombeur a écrit précédemment des articles sensés et bien écrits.
Depuis l’affaire DSK, il écrit n’importe quoi pour essayer de faire de l’esprit, c’est dommage.
Pour Kottel.
Ne confondez pas pseudo et patronyme (j’utilise rarement un pseudo, et en général passe-partout).
Pour les féministes, lesquel·le·s ? Pour certain·e·s, pas de problème : nous sommes en phase ; pour d’autres : bon, cela se discute posément.
Les derniers « viols » de Tron peuvent s’interpréter juridiquement de diverses façons, mais je n’en minimise pas du tout la portée. Simplement, qu’aurais-je à ajouter par rapport à ce qu’on peut lire ailleurs ? Je ne vois pas l’intérêt de paraphraser une dépêche ou de reprendre le [i]verbatim [/i]d’une vidéo (enfin, si : cela permet la recherche dite plein-texte pour qui voudrait reprendre partie d’un témoignage dans le cadre d’un article universitaire ou autre).
Question charisme, j’ai fait avec ce que j’avais, soit sans argent, et la popularité a bien des inconvénients, n’est-il pas ?
Je ne pense pas qu’en médialogie le « test de la poitrine d’Anne Sinclair » fasse vraiment école, mais il est un peu « parlant » statistiquement. Au fait, on en est à 1202 hits à l’instant. « Anne Sinclair » : 4 760 000 résultats ; « Anne Sinclair » + nue : 123 000. « Anne Sinclair nue » : 2 260 résultats. Cela relativise. J’enseignais ce type de recherches et parfois, on a besoin de faire appel à des trucs un poil divertissants pour illustrer la formulation des requêtes (de recherche via les moteurs).
Le fait qu’une actrice de X se signale à l’attention peut retenir celle de qui travaille sur l’industrie du sexe, ses méthodes de com’, &c.
Mais si je fais un laïus sur tout ces divers éléments, leurs interprétations, leurs réceptions, non seulement je passe pour le cuistre qu’il m’amuse parfois d’incarner (pas toujours volontairement, parfois avec une certaine dose d’ironie), mais je me prive de votre réaction « cela ne vole pas très haut » (au profit d’autres du genre : « mais où va-t-il chercher tout cela ? »). Cela étant, je vous l’accorde, cela ne vole pas très haut : est-ce bien l’endroit du survol de haute altitude ou de l’immersion en eaux profondes ? 😉
Ce qui est dommage avec les articles Jef c’est que ses pavés d’écriture sont trop souvent indigestes, je n’arrive même plus à les finir. Je ne suis pas accrochée ni par le fond ni par la forme. Et puis je n’aime pas les lynchages, et là çà s’éternise.
Cher Jacques Prince :
Je refais à votre guise : 50 euros minimum (net) le feuillet, c’est quand vous voulez…
Vous pouvez passer commande pour le nb. de feuillets (non inférieur à deux) désiré en assortissant du [i]brief[/i] qui vous plaira (idéologique ou factuel, pour lectorat type magazine dominical des familles chrétiennes, revue leste, billet à la Morandi, à la Delfeil de Ton, ou [i]Monde diplo[/i], &c.). Toute commande livrée, même non publiée, est due.
Dans le genre bien enlevé, je vous signale une excellente chute de Jérôme Leroy (site Causeur) sur Ken Clarke (cherchez par vous-même, presse britannique en ligne) et DSK.
«[i] La fellation imposée à une bonniche guinéenne pourrait alors devenir l’équivalent d’un simple stationnement gênant tandis que la pénétration d’une mineure pourrait être considérée comme un excès de vitesse susceptible d’une confiscation immédiate de l’objet du délit. Voilà une solution rationnelle qui permettrait de préserver la dignité de la femme mais aussi celle, trop souvent oubliée, du violeur qui après tout est un homme comme les autres.[/i] ». J’avais pensé à évoquer aussi Ken Clarke, mais croyez-le ou non, je procède à des tris pour ne pas alourdir inconsidérément (mais croyez bien que je peux faire largement pire).
Nous sommes là dans le billet de genre un peu ciselé ; quoique la dernière ligne aurait pu être scindée : violeur. / C’est un homme comme un autre. (point final).
Beaucoup plus cher, surtout tarif [i]rush[/i].
Jeff,
Si vous parlez ainsi de C4N :
« »Cela étant, je vous l’accorde, [b]cela ne vole pas très haut : est-ce bien l’endroit[/b] du survol de haute altitude ou de l’immersion en eaux profondes ? « » »
Et bien alors c’est pour quand votre article sur la taille de poitrine de Martine Aubry ?
Au moins, on pourra passer un moment rigolo car elle n’est pas derrière une bande de charognard qui attendent avec impatience la défaite du couple Strauss Khan.
Sur l’omerta médiatique en général, l’ouvrage de Daniel Carton, « Bien entendu… c’est off », me semble assez honnête, non ?
Il est cité par Acrimed :
http://www.acrimed.org/article881.html
Pour autant que je m’en souvienne, il consacre tout un chapitre de son livre au sexisme des journalistes. C’est un point de vue interne au milieu, mais qui se perçoit aussi très bien de l’extérieur, en maintes occasions.
A titre personnel, je me heurte régulièrement à ce sexisme, qui s’exprime parfois très violemment, avec mon affaire de harcèlement moral au travail comprenant des tentatives d’assassinat à répétition : une non affaire, puisque j’ai toujours eu le tort d’être femme ET ingénieur…
[i][b]Plaidoyer aux journalistes![/b][/i]
[url]http://www.lepost.fr/article/2011/05/22/2502903_omerta-la-presse-francaise-aveuglee-par-les-shows-du-pouvoir.html[/url]
Aujourd’hui, au Palais de Justice de Paris :
[quote]15h03 : « Comment du jour au lendemain Imad Lahoud a pu devenir un génie de l’informatique ? », s’interroge Me Pardo. « Il travaillait dans la finance, et Jean-Louis Gergorin le présente, d’un seul coup, comme un génie de l’informatique », renchérit le conseil. « Ce n’est pas crédible ! », assène-t-il. « La seule crédibilité d’Imad Lahoud, c’est Jean-Louis Gergorin, c’est lui qui le présente » aux différents acteurs de cette affaire Clearstream. [/quote]
Aucun de ces messieurs n’est crédible, et le public ne comprendra jamais rien à cette farce tant qu’il ne lui sera pas dit ce que craignaient véritablement ses auteurs.
Début juin 2004 : fin de l’enquête concernant les multiples tentatives d’assassinat dont j’ai été victime à compter de l’année 1994, alors que je travaillais dans une société dirigée par Noël Forgeard. Elle n’aura même pas véritablement commencé, puisqu’elle n’a finalement porté sur aucune de ces tentatives d’assassinat. Tout juste a-t-elle permis de mettre en évidence que j’avais bien affaire à une association de malfaiteurs, comme je l’avais toujours dit. Et hop ! Fini !
Les tentatives d’assassinat ont recommencé dès l’année suivante.
Depuis, j’en suis réduite à rester enfermée 24h/24 chaque jour de l’année pour simplement pouvoir me maintenir en vie.
Merci infiniment à tous ceux qui auront peu ou prou participé ou contribué à ce massacre.
Noter qu’en 2005, Denis Robert était toujours rigolé, voire hué par toute la gauche « radicale » pour Clearstream I et son cortège de gros mots : « mafia », « corruption », etc…
Cela n’a changé, et de façon radicale, qu’en fin d’année 2006. La LCR lui a alors accordé son soutien pour Clearstream II, qui n’avait pas grand-chose à voir avec la I. Probablement, les enjeux en valaient-ils la peine…
Pour Kottel : je crains que la valeur démonstrative et pédagogique d’une requête portant sur la poitrine de Martine Aubry n’ait pas la même portée. Cela étant, si rétribué, je veux bien traquer la taille et la lettre de ses bonnets… 😉 Prévoir des frais de déplacement.
Pour d’autres : merci de vos appréciations et prolongements.
Là, j’ai préféré passer à tout autre chose :
Le livre de Benchicou, Le Mensonge de Dieu (rubrique poésie et littérature).
Toujours aussi verbeux (pas Benchicou).
[url]http://www.come4news.com/le-mensonge-de-dieu-et-nos-dieux-mensongers-255845[/url]
unpetitcoucou:
Est ce que nous participons à un roman policier ? Ce serait plus intéressant que les démêlés de DSK et de la femme de ménage.
Autres temps, autres mœurs, de mon temps il me semble que rien ne se serait passé de cette manière, c’était le temps où aux Etats Unis, ce peuple si respectueux des droit de l’homme, on chassait des Indiens à coups de fusils, ou les bootleggers assassinaient en toute liberté.
Quelle revanche sur un passé douteux.
@ Jacques Prince :
Errare humanum est, perseverare diabolicum !
Sinon, pourquoi voulez-vous à tout prix écarter l’affaire DSK de l’affaire Clearstream, ou de tout autre chose ? Qu’est-ce qui vous dit qu’il ne peut s’agir de plusieurs aspects ou prolongements d’une même affaire tentaculaire ?
A titre d’exemple, je vous invite à aller voir là ce que j’ai raconté sous le pseudonyme de « jexiste » sur des « suicides » en prison :
[url]http://www.rue89.com/2009/07/24/un-collectif-pour-faire-la-lumiere-sur-les-suicides-en-prison?page=0#comment-980151[/url]
Le premier, qui n’en était pas un, a provoqué une révolte des détenus à la maison d’arrêt où il s’est produit.
Le lendemain, la presse locale a parlé de l’émeute à la prison sans évoquer son motif.
Le « suicide par pendaison » (ce qui est faux…) d’un détenu à la prison le même jour faisait également l’objet de communiqués, mais très discrets, pas sur les mêmes pages, et sans qu’aucun lien entre les deux évènements ne soit suggéré par les journalistes, ni ne puisse être établi de lui-même par le lecteur ignorant ce qui s’était réellement passé la veille à la prison.
Les faits étaient pourtant bien liés…
Rah, 😉 ; enfin, un truc de [i]Vanity Fair[/i] :
« [i]But it’s worth remembering, as we ponder the causes of piggish behavior among wealthy men, that wealthy women are not immune from the temptation to indulge without remorse.[/i] ».
Rien sur la Grande Catherine, et quand même un bémol : Les [i]wealthy ladies with voracious sex appetites [/i]ne forcent pas vraiment leurs employés à préserver leur emploi en les culbutant totalement contre leur gré.
Et puis, oh, des noms, des noms ! 😉
Certains fantasmes masculins ne prennent toujours pas corps ? Ben mince, alors… Il ne vous reste qu’à devenir réalistes… ou « féministes »… Pour bien des femmes, dont je fais partie, il n’y a pas la moindre différence entre ces deux caractéristiques.
Suivez-vous toujours l’actualité ?
Après DSK, Georges Tron… Et là aussi, le cas semble avoir été connu de longue date de bien du monde :
[url]http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/affaire-tron-dsk-ete-declic-104761.html[/url]
[quote]« C’est un tripatouilleur. Il fait ça même en public, tout le monde le sait, lâche avec une étonnante légèreté un proche de Georges Tron. Il fait ça avec pratiquement toutes les femmes. Pour lui, c’est un jeu, rien de bien méchant. »[/quote]
Loin de moi l’idée de vous gaver, mais comme l’affaire DSK a bien l’effet libérateur escompté, il semble que vous soyez condamnés à lire ou entendre quotidiennement ce genre de choses durant un bon bout de temps. Ce sera votre peine pour l’omerta… Autant vous y habituer tout de suite, donc… Avouez que c’est quand même peu de chose au regard de ce que subissent certaines femmes, celles que l’omerta condamne à être violées jusqu’à ce que mort s’ensuive, par exemple.
Entièrement d’accord, Unpetitcoucou. Très peu de chose.
Depuis que j’exerce, soit depuis les années 1970, j’ai très rarement pratiqué l’omerta (cas limite).
Cela étant, comme tout un chacun, je m’en lasserai et croyez bien que la rubrique « chien et chats » l’emportera (conseils d’alimentation, suivi vétérinaire, &c.).
Si les bons bouquins assuraient autant de ventes que ceux sur les recettes de cuisine, cela se saurait.
Je ne doute pas qu’il reste parmi les journalistes quelques exceptions qui confirment la règle !
On a quand même du mal à les trouver ! Où se cachent-elles ?
Sauf la misogynie ou le sexisme exacerbés de certains, j’aurais pu raconter des tas de choses, toutes vraies, authentiques, et assez facilement vérifiables.
Par exemple :
Au mois de septembre 1994, mes supérieurs hiérarchiques se sont vu remonter les bretelles par leur principal client pour la manière dont j’étais traitée.
Celui d’entre eux qui à cette époque dirigeait les opérations de harcèlement dont j’étais victime en a été quelque peu déstabilisé. Oh, pas bien longtemps, juste une soirée. Dès le lendemain, il avait rebondi avec une nouvelle fable : il racontait désormais que j’étais la fille cachée de l’Amiral ! C’est donc pour cette raison et nulle autre que les chefs qu’il enfumait à mon sujet depuis des mois venaient de prendre un coup de semonce ! Entre parenthèses, je dois bien dire que celui-ci n’est pas resté totalement sans effet, puisque les milices très colorées que j’avais en permanence sur les talons depuis le mois de mai m’ont emmerdée pour la toute dernière fois deux jours plus tard – je ne les ai plus jamais revues par la suite, d’autres ont pris le relais…
Moins de deux mois plus tard, à l’occasion d’une visite au Palais de Justice, j’ai eu une discussion totalement hallucinante avec un greffier de la 10ème section du Parquet. Rencontre fortuite, nous avons engagé la conversation, j’ai parlé un peu de mes problèmes. Or, à mon grand étonnement, il semblait déjà en connaître une partie, versus la partie adverse. Et voilà qu’il me propose, comme solution à tous mes problèmes, de prendre le nom de mon père ! Et de m’expliquer la procédure à suivre, et que ça restera secret, etc, etc… Il n’y avait chez lui aucune animosité à mon encontre, au contraire, il m’a bien dit à propos d’une pièce que je lui ai montrée de la conserver bien précieusement, car mes adversaires allaient tenter de me la voler (vrai). Il paraissait réellement convaincu de tout ce qu’il avait pu entendre à mon sujet… Mais où ? Sa section n’était pas censée détenir le moindre dossier me concernant…
En 1996, j’étais devenue une seconde Mazarine, et encore un peu plus tard, la fille cachée de Charles Hernu. Mais comme je n’ai pas pu suivre au jour le jour durant dix ans l’évolution de tous ces délires, il est certain que j’en ai raté de nombreux épisodes très croustillants, et que je dois avoir plein d’autres papas cachés que j’ignore. De même, il doit circuler pour mes amants les noms de nombreux messieurs que je n’ai sans doute jamais croisés nulle part…
Alors bon… qu’au final, ce soit le tout Paris non estampillé Chirac qui se soit retrouvé dans les fameux listings ne me surprend pas vraiment…
Ayé, plan com pour la défense de DSK :
[url]http://www.lefigaro.fr/international/2011/05/27/01003-20110527ARTFIG00536-dsk-la-com-atout-maitre-de-la-defense-en-cas-de-proces.php[/url]
Je vous l’avais bien dit, c’est le jeu favori…
[b]J’ai envie de donner ma version.
Je n’ai aucune sympathie particulière pour DSK, mais je suis indigné que sur dénonciation d’une femme, qu’elle soit femme de ménage ou duchesse, on traite un homme comme un criminel, qu’il soit l’homme le plus puissant du monde ou un quidam quelconque[/b]
Le reste est du ressort de la [b]Justice[/b],(si on peut appeler cela ainsi).
La Justice, au cours d’un procès aux Etats Unis, où l’argent joue un tel rôle me parait étrangement injuste.
Pouvoir ou non se payer les meilleurs avocats, verser ou non des cautions gigantesques, être jeté en prison avec des malfrats de toutes sortes, ou bénéficier d’un logement digne d’un prince, en un mot: être écouté ou non.
Est-ce cela la Justice ?
unpetitcoucou
Je ne vois pas où j’ai écarté l’affaire Clearstream de quoi que ce soit, je n’en ai pas parlé car je n’en connais pas les détails de cette affaire.
P.S. : Le taré des Carpates continue à me traquer sur toute la toile, où que je m’exprime. Voici un extrait de commentaires de son blog :
[quote]117368
flixp répond à 0
Le 30 mai 2011 à 12:29 | Permalien
salut tous!
Pour ceux que l’affaire DSK intéresse encore, voici la version du réseau Voltaire.
http://www.voltairenet.org/article170056.html
Le clou du spectacle se trouvant au dernier paragraphe avec l’intervention de la Lybie. Tout est lié! 🙂
Répondre
117374
félicité répond à 117368
Le 30 mai 2011 à 13:03 | Permalien
:-)))))
Le coucou doit y être abonnée !
Répondre
117381
Mon-Al répond à 117368
Le 30 mai 2011 à 14:04 | Permalien
Pour le coucou, tout est lié : Clearstream, DSK, les frégates de Taïwan, d’ailleurs c’est facile à comprendre : tout était dans les disques durs des ordis de Ben Laden ! D’ailleurs, la mort de Ben Laden, c’est un coup du NPA et de Serge R. Psychiatre à Brest, alors ! :-))
Répondre
117389
cyp répond à 117381
Le 30 mai 2011 à 15:33 | Permalien
Ben tiens : c’est une cheffe saucière de première classe…
D’ailleurs les braves commentateurs de chez Jef Tombeur commencent à se rendre compte que quelque chose ne tourne pas rond chez elle… la voici en train de se prendre pour la seconde Mazarine (vers le bas de la page) :
http://www.come4news.com/dsk,-…..rta-611824
😉
Répondre
117404
Mon-Al répond à 117389
Le 30 mai 2011 à 16:42 | Permalien
Sans compter la fille caché d’Hernu !! Oui, pauvre JefTombeur d’avoir récolté ça sur son blog ! Les commentateurs en effet commencent à piger quelle animale ils ont récolté ! Si le pov’ Jef la saque, elle va encore hurler au harcèlement et ça va encore être de notre faute !
Répondre
117407
cyp répond à 117404
Le 30 mai 2011 à 16:51 | Permalien
Il est gentil, Jef Tombeur… il est lui aussi pour la liberté d’expression, ce qui est tout à fait respectable.
J’espère pour lui, qu’il saura faire la distinction nécessaire, entre ce qui est la véritable liberté d’expression… et laisser s’exprimer librement des malades mentaux gravement atteints.
Répondre
117408
Mon-Al répond à 117407
Le 30 mai 2011 à 16:57 | Permalien
Oui parce que son blog va finir en nid de folle. Dommage pour lui.
Répondre
117411
cyp répond à 117408
Le 30 mai 2011 à 17:01 | Permalien
C’est un grand garçon : j’ai pas de conseils à lui prodiguer 😉
Répondre
[/quote]
Chacun aura remarqué comment il transforme mes propos… Chez lui, c’est automatique. Mais il m’en prête aussi beaucoup que je n’ai jamais tenus nulle part.
Il y a eu une omerta bien plus grave et sordide dans la presse française.
Elle est impardonnable. Elle est un crime contre l’humanité.
Il me semble impossible que vous, journalistes, n’ayez pas su qu’un
certain monsieur hyperaggressif était un psychopate furieux,
un monstre absolu qui prendrait jouissance
à humilier et faire souffrir tout un peuple et à qui on ne pouvait sous
aucun prétexte confier les rennes de la France,
tellement il était macchiavellique, cynique et dangéreux.
Pourtant, il fallait absolument
lui servir la soupe, il fallait absolument que ce soit lui,
il fallait absolument que l’on subisse sa bestialité et son sadisme de plein fouet pendant 5 ans, si pas plus.
Il aura abîmé nos vies durablement. Jusqu’à nos derniers jours on continuera en souffrir.
On avait espoir de s’en débarasser. Comme c’était tout sauf lui, on pensait tenir le bon bout.
Le candidat n’était pas une merveille, mais au moins on éviterait la dictature et il était
parti pour gagner.
Tout cela a été encore remis en cause. L’alternance que vous nous aviez concocté,
que vous avez pensé nous servir sur un plat, était
un faux gauche,
qui consoliderait les acquis des milliardaires. On avait qu’à choisir
entre lui et deux autres candidats d’extrême droite tout désignés.
C’était déjà dans les sondages. Mais ce candidat donné déjà comme vainqueur
ne savait pas que dans
le mot QI, c’est la lettre I qui compte. Et la maison de cartes s’est effondrée.
Je ne comprends pas très bien pourquoi ces milliardaires n’ont toujours pas assez
et que tout le monde doit trinquer sans limites pour qu’ils aient la vie moins pénible.
C’est pire que les vaisseaux des danaides.
C’est complètement dément, mais avec les amis de la presse on arrive à dorer la pillule,
n’est-ce pas?
Est-ce que vous avez pensé un seul instant aux victimes de vos manipulations et votre omerta?
Est-ce qu’ils sont quantité négligeable?
Est-ce que vous connaissez le mot compassion?
Est-ce que vous êtes de race supérieure pour élire les présidents à notre place?
Est-ce vous êtes contents de nous voir saigner? Est-ce que l’on s’approche de votre
idéal ultralibéral? J’ai écrit à des journeaux quand j’avais
été victime d’une garde à vue abusive. Omerta. Même pas une seule réponse. Mais oui,
il fallait à tout prix nourrir
la campagne de cette incarnation de la haine, n’est pas? Alors on s’en fout des injustices,
pourvue que cela fasse bel effet. Il n’y a que quand il y en a eu des millions que l’on a
timidement parlé, juste pour pouvoir mieux noyer l’affaire. La rupture tranquille quand
on a été pendant des années au gouvernement, c’est une escroquerie totale.
Omerta. La rupture tranquille, c’était avec la démocratie. Vous auriez dû prévenir
tout un peuple de cela.
Voilà ce qui est votre oeuvre
dont vous pouvez être fiers. Vous êtes à vomir.
Vous méritez tous la perpétuité. Faute de mieux, mais comme
vous nous ramenez au moyen-âge, vous mériteriez
des peines médiévales.
Oui vous êtes coupables.