De source proche du dossier, l'équipe du BEA, en charge de l'instruction sur la disparition du vol Air France 447 assurant la liaison entre Rio et Paris, doute sur la possibilité de pouvoir reconstituer un jour ce qui s'est réellement passé.
Les éléments en possession du BEA, messages automatiques reçus avant le crash et débris retrouvés sur l'océan ne suffisent pas pour établir avec certitude la cause de la chute brutale de l'avion dans l'océan.
Et il est désormais très peu probable de pouvoir retrouver un jour les boîtes noires de l'appareil qui sont certainement devenues muettes désormais.
Une partie du personnel de la compagnie aérienne estime que la chute de l'appareil est très mystérieuse, quasi unique dans les annales, et qu'une panne classique ne peut à elle seule expliquer la tragédie. Les rumeurs les plus folles circulent à ce sujet. Mais connaitrons nous un jour la vérité ?
Il faut se résoudre à l’évidence que la vérité restera cachée au fond de l’océan. C’est désarmant et à la fois choquant de constater à quel point nous sommes, en 2009, encore dépendant de ces petites boîtes noires (de couleur orange).
La technologie ne devrait-elle pas évoluer ? Il serait grand temps de doter les avions de systèmes automatiques de transmission de données via satellite, vers des centres d’enregistrement au sol, destinés à cet effet. L’information serait ainsi transmise en temps réel, sans risque de perdre de précieuses données, au fond de l’eau, lors des recherches. D’autant plus que cela accélérerait les recherches.
Certes, le billet d’avion coûtera peut-être plus cher en raison de cette technologie sophistiquée, mais la sécurité ça n’a pas de prix!!!!
Cordialement
Ce que ce BEA peut être exaspérant. Et ce, depuis le premier jour. De toute évidence, il ne diront jamais l’entière vérité même s’ils la connaissent. En conclusion : on est bien peu de choses (l’être humain) en comparaison d’une société, d’une économie ou d’un pays. Il n’y a qu’à regarder le cas de la princesse DIANA et on comprend tout immédiatement.
Il n’empêche que tout ceci n’est pas très joli.