Moins connu que Stéphane Guillon, Didier Porte fait moins parler de lui. Il est pourtant tout aussi virulent et il revendique haut et fort ses convictions très à gauche.

Didier Porte se distingue par un vocabulaire riche et varié à faire pâlir un prof de français. Ses papiers, qu’il lit à toute vitesse, sont chargés d’ironie et il ne fait pas bon être dans son collimateur ; Arthur en sait quelque chose et il n’a pas apprécié du tout.

Chroniqueur sur France Inter, au « Fou du roi » du lundi au vendredi vers midi cinq et le  jeudi vers 8h53, il s’est souvent investi dans des affaires politiques en dénonçant par exemple avec acharnement l’emprisonnement de Julien Coupat.

Au début de l’émission de Stéphane Bern, il était chargé de la rubrique télé dans laquelle il dénonçait la bêtise en particulier des émissions de téléréalité.

Il lui arrive de collaborer à Siné Hebdo.

Il a été « remercié » de France Inter en 1996 pour « inhumanité » – eh oui – avant d’être réintégré en 1999.

Son dernier livre « Les pipoles à la porte ! » est assez féroce.

Je ne voudrais pas terminer sans vous livrer la réaction d’un auditeur de France Inter à propos de notre lascar : « Monsieur Bern, je ne peux plus supporter le venin et la haine du critique Didier Porte ! Ce pisse la Haine gaucho est vraiment insupportable. C’est radio gaucho on le sait mais là çà devient limite. »

Une dernière précision, Didier Porte est un amateur de grands vins, ce qui ne peut que le rendre encore plus sympathique.

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