Toute la semaine, les élèves de CM2 de toute
Ces évaluations concernent environ 800 000 élèves de CM2, aussi bien du public que du privé.
Elles se déroulent pour tous les élèves de ce niveau d’étude, dans la même semaine, sur environ trois demi-journées et comportent 60 questions de français et 40 de mathématiques.
L’évaluation par les correcteurs ne se fait pas en note mais en pourcentage de réussite avec deux notions principales : « réussite partielle sans erreur » et réussite partielle avec erreur ».
Les résultats transmis aux familles à la fin du mois de janvier permettront d’après le ministère de l’éducation, avant tout de mieux connaître le niveau des élèves en fin de 1er cycle et d’identifier les élèves en difficulté de façon à leur apporter une aide personnalisée. Ces évaluations doivent aussi servir d’indicateur de performance du système éducatif français.
Elles ne détermineront en aucun cas le passage en classe de 6e et ne seront pas pris en compte dans la moyenne trimestrielle.
Mais certaines associations de parents d’élèves ainsi que des syndicats d’enseignants contestent le bien fondé de ces tests, en invoquant le côté « bachotage » et en les jugeant absurdes et inefficaces.
De plus, ils considèrent que la période est mal choisie, pour eux il serait préférable qu’elles aient lieu en début d’année scolaire.
Pire, certaines questions de ces évaluations ont même été diffusées sur Internet le week-end dernier. Dans ces conditions comment est-il possible de les rendre crédible après une telle diffusion publique et de poursuivre leur déroulement ?
Il est nécessaire que des évaluations soient mises en place pour avoir une idée du niveau des élèves au cours de leur formation et pour les habituer à avoir des échéances dès leur plus jeune âge, mais il paraît souhaitable qu’il y ait davantage de consensus entre les acteurs concernés, si on veut que cela ait encore un sens !
Je ne suis pas sûre qu’il soit nécessaire que des évaluations nationales soient obligatoires au primaire. Il y en a suffisamment qui ne servent pas à grand chose au collège. Le problème est cette notion d’évaluation d’une personne. Ca ne représente rien, en tout cas rien de concret dans l’apprentissage d’un élève qui dure 15 ans (de 3 à 18 ans environ)
Des « évaluations » dont le but est purement statistique n’ont rien à faire dans le programme scolaire. Il y en a en outre à la fin du cycle 2 du primaire (en CE1), évaluation qui avaient déjà hérissés les poils des professeurs d’écoles.
les évaluations est un faux problème
ce qui est vrais c’est que l’on supprime des postes de professeurs
alors que le nombre d’élèves augmente
le résultat nous allons fabriquer des analphabètes
marsoin
Peut-on proposer le moindre changement à l’éducation nationale sans que ça déclenche toute une histoire ? En fait, évaluer les élèves c’est évaluer les enseignants. Et force est de constater que depuis de nombreuses années , le primaire envoie au collège des élèves qui ne savent ni lire ni écrire correctement après 5 années d’école. Alors ….surtout chut, ne disons rien, ne faisons rien.
Peut-on proposer le moindre changement à l’éducation nationale sans que ça déclenche toute une histoire ? En fait, évaluer les élèves c’est évaluer les enseignants. Et force est de constater que depuis de nombreuses années , le primaire envoie au collège des élèves qui ne savent ni lire ni écrire correctement après 5 années d’école. Alors ….surtout chut, ne disons rien, ne faisons rien.
Peut-on proposer le moindre changement à l’éducation nationale sans que ça déclenche toute une histoire ? En fait, évaluer les élèves c’est évaluer les enseignants. Et force est de constater que depuis de nombreuses années , le primaire envoie au collège des élèves qui ne savent ni lire ni écrire correctement après 5 années d’école. Alors ….surtout chut, ne disons rien, ne faisons rien.
Peut-on proposer le moindre changement à l’éducation nationale sans que ça déclenche toute une histoire ? En fait, évaluer les élèves c’est évaluer les enseignants. Et force est de constater que depuis de nombreuses années , le primaire envoie au collège des élèves qui ne savent ni lire ni écrire correctement après 5 années d’école. Alors ….surtout chut, ne disons rien, ne faisons rien.
bonjour
il reste deux bastion a privatiser l’éducation et la sante
oui dans l’éducation cela va changer mais dans le mauvais sens
marsoin