Le gouvernement mondial.

 

 

Avertissement.

Au cours de ces dossiers, un maximum d’informations ont été données dont les sources ont été collectées sur la toile. Je ne peux certifier que ce qui a été présenté soit crédible voire vrai. J’ai donné autant que faire ce peut l’origine de ces sources, mais probablement toutes ne sont pas précisées, elles sont trop nombreuses.

J’ai, aussi tenté de les vérifier par des recoupements, et des compléments sont présentés. J’ai modifié certaines données pour qu’elles soient plus compréhensives, mais toujours en respectant le fond.

 

Je tiens à remercier les auteurs qui me sont inconnus et qui m’ont permis en lisant leurs articles et parfois en les publiant de faire ces dossiers. Je ne pouvais les contacter tous d’une part à cause de manques de liens de contact, et d’autre part aussi, par le fait que peu répondent, et lorsqu’ils le font le délai des réponses est incompatible avec la rédaction de ces dossiers. 

 

Le gouvernement mondial.

 

Dans ce paragraphe, la première partie a été supprimée.

 

Banque le triomphe des coupables par jacques Attali sur Slate.fr ici.
lundi 3 août 2009. Cette publication a obtenu l’autorisation de Jacques Attali.

 

La crise, chacun le sait, est largement de la faute des banques américaines, qui ont trop prêté et développé des produits spéculatifs. Pour les sauver, le Trésor américain leur a prêté de l’argent sans intérêt. Celles de ces banques qui n’ont pas fait faillite continuent à agir comme avant, inventant de nouveaux produits spéculatifs et ne prêtant, très chers, qu’à celles des entreprises qui n’ont pas vraiment besoin de leur argent.

Elles ont, en plus, aujourd’hui, une raison supplémentaire d’agir ainsi, tous les régulateurs leur enjoignant de reconstituer leurs fonds propres, elles le font, non seulement en utilisant tous les artifices comptables rendus possibles par les réformes d’avril, mais aussi en refusant de prêter aux particuliers et en exigeant des intérêts énormes des grandes entreprises désespérément à la recherche de liquidités.

Comme les intérêts que ces banques versent aux déposants sont proches de zéro, leurs bénéfices sont énormes. Et avec eux, elles peuvent recommencer à développer des produits spéculatifs, avec lesquelles elles comptent refaire les mêmes profits que par le passé, sans que personne ne vienne même, cette fois, leur opposer des réglementations.

Et nul ne peut protester, qui pourrait se mettre mal avec son banquier ?

Alors qu’après 1929, des réglementations très strictes ont été imposées aux banques américaines, aujourd’hui, rien n’est imposé à personne.

Le G20 n’aura été qu’une jolie comédie.

De plus, Wall Street continue à disposer de considérables moyens d’influence. Des lobbys bancaires, fort bien dotés, arrosent le Congrès. Et les banquiers, devenus ministres ou superviseurs, réussissent à écarter toutes les législations qui pourraient gêner leurs ex et futurs employeurs.

En particulier, une seule banque tient tout, Goldman Sachs.

Elle est l’objet aujourd’hui d’innombrables analyses critiques, dont la plus acérée est venue récemment du magazine Rolling Stones. Après avoir éliminé ses principaux concurrents, (dont Lehman), après avoir profité de ces faillites et reçu de l’État d’énormes prêts sans intérêt, cette institution plus que centenaire fait aujourd’hui fortune grâce à des décisions prises par Geithner, Summers et les autres, dont chacun sait qu’ils rejoindront un jour la firme, après avoir quitté leurs fonctions, comme le firent avant eux les ministres des précédents présidents, Rubin, Paulson, et autres…

Au total, les entreprises industrielles, qui créent les vraies richesses, financent les erreurs et les bonus des banquiers, avec la bénédiction des hommes politiques. Et en bout de chaine, les salariés en sont les ultimes victimes, les banques américaines enfoncent dans la dépression ceux qu’elles ont déjà largement ruinés.

Ces lobbys sont si puissants qu’on n’en sortira que par une révolution politique. Elle devrait conduire, au moins, à interdire aux responsables publics du secteur financier de travailler ensuite dans les établissements qu’ils contrôlent. Et au plus, à nationaliser ce secteur.

Une révolution, vous dis je.

Jacques Attali.

Que peut-on écrire de plus ?

 

Qu’est-ce que la Trilatérale ?

La Trilatérale est une Commission (parfois abrégée en Trilatérale) correspondant à une organisation privée créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Regroupant 300 à 400 personnalités parmi les plus distinguées et influentes, hommes d’affaires, politiciens, décideurs, «intellectuels» de l’Europe occidentale, de l’Amérique du Nord et de l’Asie Pacifique (États dont la plupart sont également membres de l’OCDE), son but est de promouvoir et construire une coopération politique et économique entre ces trois zones clés du monde, pôles de la Triade.

 

A l’instar du groupe Bilderberg, il s’agit d’un groupe partisan de la doctrine mondialiste, auquel certains attribuent, au moins en partie, l’orchestration de la mondialisation économique, voir ici,et ici.

 

A écouter attentivement, Trilatérale, Bilderberg, Société fabienne..-P. de Villemarest.

 

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Trilatérale & Synarchie Française.

 

Article du Ringardus.

La présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront

«le Nouvel Ordre Mondial» David Rockefeller, 23 septembre 1994.

 

Synarchie par-ci, Trilatérale par là, l’on y perdra sa liberté, avant son latin.

Lire la suite ici .

 

Analyse.

Il est bien évident que l’évolution mondiale que nous constatons met en cause notre logique, passée sur nos possibilités de gouvernance, nous sommes interdépendants. Il n’est plus une décision importante qui ne soit discutée entre les chefs d’État ou de gouvernement, le G8 ou le G20 en sont des exemples, en outre ces sommets sont secrets même si un communiqué est fait après chacun d’eux. Il est donc impossible de connaître dans le détail les discussions qui y sont faites.

A ces sommets, il faut ajouter l’importance du Fond Monétaire International, voir ici (www.imf.org) qui a pour rôle la coopération monétaire internationale en essayant de garantir la stabilité financière, de faciliter les échanges internationaux, de contribuer à un niveau élevé d’emploi et à la stabilité économique et de faire reculer la pauvreté.

A cela, il faut ajouter les Nations Unies avec le Conseil de sécurité chargé de faire respecter autant que faire se peut une paix fragile par l’arrêt des conflits et par l’interposition de soldats aux casque bleu, qui est une force internationale.

Là dessus, il y a la haute finance qui impose sa loi. Comment ne pas voir besoin d’eux ? Sans argent notre économie ne fonctionne plus, ils sont bien plus influents sur le monde que les politiques qui peuvent changer aux élections, eux sont à vie aux commandes. Comme l’écrit Jacques Attali malgré les règlementations très strictes la banque Goldman Sachs fait ce qu’elle veut.

Nous venons d’apprendre par la presse que notre plus grande banque d’affaire, BNP Paribas annonce un bénéfice net au second trimestre de 1.04 milliard d’euros soit une hausse de 6,6 % s’apprête à distribuer en prime plus d’un milliard à ses traders, plus qu’en 2008, voir l’information ici sur Libération.fr.

Cette banque a reçu 5,1 milliards d’euros d’aide de l’État dans le cadre du plan Français de soutien au secteur bancaire. Cela montre bien que nous ne pouvons sans une révolution modifier les choses dès lors qu’il faut de l’argent pour acheter, et seules les banques peuvent en prêter.

Pour la banque de France la décision de BNP Parisbas est conforme aux règles, la messe est dite. Il s’agit d’une provision qui pourrait être versée à partir de l’année prochaine sur plusieurs années. Nous aurons tout le temps de vérifier que les critères sont bien respectés précise Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, voir ici .

Comment voulez-vous que notre économie ne soit pas gouvernée par les Grandes Banques lorsque nous leur devons plus de 1.200 milliards représentant notre dette publique.

 

On ne prête pas autant d’argent sans contres parties.

 

Notre politique actuelle ne fait rien et laisse filer l’accroissement de cette dette, pourquoi ?

C’est bien simple, le gouvernement mondial est de dogme capitaliste, notre pays à viré dans le capitalisme, l’Europe également, et nos hommes politiques actuels y sont liés. Ils ont réussit à mettre en œuvre ce Nouvel Ordre Mondial en créant l’Europe et en faisant voter les Français et les autres membres de l’Europe en faveur de ce capitalisme mais en cachant leur secrète intention, voila comment agit indirectement le Nouvel Ordre Mondial.

L’Euro-système formé par la Banque Centrale, BCE et 13 autres banques centrales gèrent notre économie et concert avec la Grande Finance Internationale, elles ne peuvent faire autrement. Tout autre politique ne peut être appliquée sans nationalisation des Grandes Banques ce que notre gouvernement refuse, pourquoi, c’est bien simple, la nationalisation des banques détruirait l’économie de marché et les salariés auraient leur mot à dire.

La nationalisation serait recourir au socialisme d’État. De plus, on ne voit pas comment s’en sortir, un autre gouvernement se trouverait devant le même problème, le besoin d’argent, et dans ce cas, il serait également lié aux banques.

Une gestion mondiale de notre économie est à terme inéluctable, ce qui justifie comme l’écrit Jacques Attali une révolution si l’on veut mettre en place une vraie régulation bancaire.

 

C’est peut être le N.O.M.

     

Voici la présentation de Goldman Sachs, voir ici :

SUSTAIN GS est une stratégie d’actions mondiales qui rassemble ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) des critères, une large analyse de l’industrie et le retour sur capital à long terme, identifier les opportunités d’investissement.

Our analysis of mature industries includes sectors such as energy, consumer products and banks. Notre analyse de la maturité de l’industrie comprend les secteurs comme l’énergie, les produits de consommation et des banques.

In looking at companies within these sectors, we analyze the way they manage their social and corporate obligations, their return on capital, and their strategic positioning relative to sector competitors. En regardant les entreprises de ces secteurs, nous analysons la façon dont ils gèrent leurs obligations sociales et de l’entreprise, leur retour sur le capital, et de leur positionnement stratégique par rapport aux concurrents du secteur.

The emerging industries we focus on include alternative energy technology and biotechnology. Les industries émergentes, nous nous concentrons sur les technologies de l’énergie alternative et de la biotechnologie.

Here, we look for differentiated business models and positive exposure to fast-moving structural trends. Ici, nous recherchons des modèles d’entreprise différents et une exposition positive à évolution rapide des tendances structurelles.

We believe the key drivers of the world economy – the shift of economic growth to the BRICs countries, a rapidly expanding global population, mass urbanization and the pace of development in emerging economies – will become increasingly pronounced, and will reward the world’s most forward-thinking companies.

2009_06_17_bric_ekaterinbourg.1249394398.jpgNous pensons que les principaux moteurs de l’économie mondiale, l’évolution de la croissance économique au pays BRIC (signifie Brésil, Russie, Inde, Chine, le club des puissances émergentes représentant le nouveau rapport de forces international réunit pour discuter entres eux des affaires du monde) une expansion rapide de la population mondiale, l’urbanisation massive et le rythme du développement dans les pays émergents, seront de plus en plus prononcée, et de récompenser les plus avant, réflexion des entreprises.

 

A cela notre appartenance à l’Union Européenne nous impose des règles de marché et une politique concertée, avec un Parlement et une Commission des chefs d’État et de gouvernement qui décide de ce que nous allons manger. Si l’on ajoute la Banque Européenne d’Investissement créée en 1958 par le Traité de Rome en tant qu’institution de financement à long terme de l’Union européenne, notre marge de manœuvre est considérablement réduite.

La B.E.I.a pour mission de contribuer à l’intégration, au développement équilibré et à la cohésion économique et sociale des États membres de l’UE. Elle emprunte d’importants volumes de fonds sur les marchés des capitaux et les prête à des conditions favorables en faveur de projets contribuant à la réalisation des objectifs de l’UE. Elle adapte en permanence son activité à l’évolution des politiques Européennes. Elle est donc fortement influencée par l’économie mondiale et le marché de l’argent.

 

La vidéo ci-dessous est à écouter entièrement, elle est révélatrice de l’existence du N.O.M.

 

Vidéo, Illuminati- Trilatérale-CFR

 

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Afin de compléter ce dossier et cette étude, si tant est qu’elle puisse l’être, je vous propose le document suivant justice et injustice , ici .