Si vous rêvez d’évasion, d’aventures, de dialogues savoureux et néanmoins de culture, je vous emmène à travers les aventures du commissaire Pierrucci, pour réaliser votre rêve.

 

 

Marie-Hélène Ferrari professeur de français, enseigne actuellement au lycée de Porto-Vecchio. Elle vit en Corse du sud, à quelques kilomètres de Bonifacio.

Elle est à l’origine de la saga des aventures du commissaire Pierrucci, dont le succès ne se dément pas, et dont les livres ont été plusieurs fois réédités.

Sept livres au choix, qui peuvent se lire dans le désordre, bien que la lecture en soit plus savoureuse dans l’ordre, vous feront participer aux enquêtes et à la vie intime de cet homme bourru et généreux, amoureux, plus perspicace dans sa vie professionnelle que dans sa vie personnelle. A travers des paysages décrits avec beaucoup de minutie, comme un peintre exécute un tableau, par petites touches, vous aurez aussi l’agréable sensation de voyager à travers les lieux méconnus de la Corse.

Le premier tome Boire les nuagesest une introduction aux  codes et aux expressions de l’extrême sud de l’île.

 

Le second  montre uneBoire les nuages société tiraillée entre ses codes  ancestraux et les plaisirs faciles de notre époque.

 Boire les nuagesLe troisième nous  fait revivre un moment historique mal connu de l’île.

 

Le quatrièmeBoire les nuages dépeint un Pierrucci confronté à la découverte d’être grand père, sans avoir été père !

 

Le cinquième Boire les nuages nous interpelle sur la fragilité de l’adolescence et ses dangereuses fréquentations.

 

Le sixième Boire les nuages qui fait voyager Pierrucci de Venise à Madrid démonte les filières qui permettent l’évasion des biens culturels  découverts en Corse.

 

Le septième Boire les nuages  vient de sortir! Son titre très évocateur « Le diable est un ange comme les autres » nous ramène à la Corse préhistorique avec ses dolmens et ses menhirs ou "stantari".

 

Voilà donc sept polars tous différents, frissons et culture garantis.

Mais le talent de Marie –Hélène Ferrari ne se limite pas à l’univers du policier.

Sa plume évoque aussi avec beaucoup de sensibilité et de tendresse le sentiment amoureux .

 Dans « Boire les nuages dans une tasse de porcelaine », l’héroïne, jamais nommée, nous fait assister à  un dialogue avec elle-même, à un moment particulier de son destin de femme.

D’autres ouvrages  prouvent, que Marie Hélène Ferrari possèdent un talent d’écriture aux facettes multiples.

Des recettes de cuisine toutes plus savoureuses les unes que les autres complètent son talent.

Allez faire un tour sur son site :http://www.ferrarilycee.com/accueil.html

Vous y découvrirez en plus de son travail de professeur de français, ses poésies, ses musiques et même ses tableaux.D’ailleurs la plupart des couvertures de ses livres sont illustrées de sa main.

Une artiste complète et très attachante.

Les éditions Clémentines,http://www.editionsclementine.com/

qui éditent Marie Hélène Ferrari sont basées à Porto-Vecchio, dirigées par François Ballestrière.

Photographe très inspiré, il  signe les images de nombreux artistes insulaires, français et étrangers. De Dizzy Gillespie en 1976 à I Muvrini en 2008, de Muddy Waters à Trame, ils sont nombreux à avoir frôlé son objectif et pour certains, réalisé une part du chemin en commun. Il  est aussi l’auteur d’ouvrages dont « Une fenêtre sur la Corse »,

« Ombres et Lumières »  qui comporte un très beau récit de Mari Hélène Ferrari   

et « I Muvrini ».

Dernière exposition photos à Amphion-Publier (Lac Leman) février 2010.