La  population grandissante de la planète soulève de nombreuses questions.  Sommes-nous en mesure de nourrir 7 milliards de personnes? Il est évident que la terre a ses limites sur le plan de la production alimentaire, mais sont-elles? 

 

D’abord, quand on sait qu’en 2009 1023 millions de personnes souffraient de sous-alimentation, il est facile de croire que la population est trop nombreuse. Bien que le nombre de personnes sous-alimentées va en diminuant depuis quelques années, il y en a encore beaucoup trop et il y en aura trop jusqu’au jour il n’y en aura plus une seule car une planète comme la nôtre peut nourrir facilement plus de 7 milliards de personnes.  

De plus,  le problème de sous alimentation n’est sûrement pas dû à une incapacité de la terre à produire car selon l’organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), on estime que la Terre est en mesure de produire de quoi nourrir 12 milliards de personnes sans compromettre sa production pour les années futures.  Quoi?!? Ces chiffres sont honteux! Quand on a de quoi  nourrir 12 milliards de personne et qu’on est incapable d’en nourrir 7. C’est certain qu’il faut passer à l’action et remédier à ce problème. Parce que la sous-alimentation est présente en majeure partie dans les pays  pauvres, le rôle de les rendre autonomes sur le plan nutritionnel revient au pays les plus développés car les pays pauvres ne peuvent se sortir de cette misère par eux-mêmes.  Il ne faut pas attendre que le pays d’à côté agisse avant d’agir car avec une telle mentalité on n’avance pas. Et si on ne croit pas possible de rendre les pays autonome alimentairement, il faudrait accepter que le gouvernement prenne plus d’argent dans nos poches chaque année afin d’aider les pays en difficulté. 

Autrement dit, il faut accepter de baisser notre standard de confort, qui est présentement beaucoup trop élevé, et être solidaire avec les autres personnes des autres pays. Toutefois il est possible de rendre les pays autonomes, il suffit de mettre cette idée en priorité et nous y arriveront.  Pour conclure, il faut forcer les gouvernements à agir sur les choses qui sont vraiment importantes comme la sous-alimentation qui touche une grande partie de la population du globe.