Courte Nuit Blanche

Cette nuit, avec quelques amis, nous nous sommes rendus à la fameuse Nuit Blanche 2009. Nous n’étions pas très loin, alors nous avons fait un tour sur le secteur des Buttes-Chaumont. Il y avait du monde, beaucoup, mais sans atteindre les rangs d’oignons de la ligne 13 aux heures de pointe.

L’idée de rendre accessible le temps d’une nuit des oeuvres d’art contemporaine est bonne. Nous avons assisté à un spectacle de danse hip-hop sur la place Armand Carrel. Puis, nous avons fait un tour du parc des Buttes-Chaumont, très agréable à parcourir de nuit.

Dans le parc, on s’amuse d’un dragon blanc animé par un homme à l’intérieur. On s’étonne des installations lumineuses de Nathan Coley. On est intrigué par le champ de parapluies et est émerveillé par les jeux de lumière rouge de Noël Dolla.

Pour apprécier la Nuit Blanche, il faut apprécier l’art contemporain, ou au moins être un tantinet curieux. N’étant pas un grand amateur de cet art, j’ai néanmoins regarder ceci avec intérêt.

Jérôme Charré

Cette nuit, avec quelques amis, nous nous sommes rendus à la fameuse Nuit Blanche 2009. Nous n’étions pas très loin, alors nous avons fait un tour sur le secteur des Buttes-Chaumont. Il y avait du monde, beaucoup, mais sans atteindre les rangs d’oignons de la ligne 13 aux heures de pointe.

L’idée de rendre accessible le temps d’une nuit des oeuvres d’art contemporaine est bonne. Nous avons assisté à un spectacle de danse hip-hop sur la place Armand Carrel. Puis, nous avons fait un tour du parc des Buttes-Chaumont, très agréable à parcourir de nuit.

Dans le parc, on s’amuse d’un dragon blanc animé par un homme à l’intérieur. On s’étonne des installations lumineuses de Nathan Coley. On est intrigué par le champ de parapluies et est émerveillé par les jeux de lumière rouge de Noël Dolla.

Pour apprécier la Nuit Blanche, il faut apprécier l’art contemporain, ou au moins être un tantinet curieux. N’étant pas un grand amateur de cet art, j’ai néanmoins regarder ceci avec intérêt.

Jérôme Charré

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