Consolation

Il y avait tes rêves égarés

Sous la lune argentée

Et tes larmes recueillies
Aux crépuscules gris

Dans la nuit noire naissait
Cette mélopée ondulante
Comme une danse galante
N’en finissant jamais

Au dehors, sans cesse,
La pluie, triste princesse,
Imposait, tyrannique,
Sa loi mélancolique

Les promesses rabattues
Par le vent violent
Contre ton cœur à nu
Contre ton être en sang

Mon amour, raconte-moi
Tes douleurs et tes armes
Serre-toi contre moi
Que je sèche tes larmes.

Une réflexion sur « Consolation »

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