Pas une journée ne se passe sans que l’on soit alerté par l’ensemble des médias sur les risques alimentaires et environnementaux pour notre santé au quotidien. Où est passée cette qualité de vie très prisée encore il y a quelques décennies ?

 

 

Le monde industriel basé essentiellement sur la rentabilité gangrène peu à peu le système humain. On est intoxiqué au jour le jour à petite dose et  notre santé se détériore de façon irréversible.

 

On ne sait plus quel type d’alimentation suivre ! Si vous mangez du poisson, vous avez le risque d’ingurgiter de la chair engraissée aux farines nocives ou polluée par des PCB (polychlorobiphényles). Ce sont des dérivés chimiques chlorés qui dégagent des dioxines et sont fortement cancérigènes. De nombreux poissons en sont remplis et nous les ingérons lors de leur consommation.

Même si la production de PCB et son utilisation est interdite depuis 1985, sa biodégradabilité est très lente et ils persistent encore dans notre environnement.

 

L’élevage du porc de façon intensive, nécessite une utilisation massive d’antibiotiques pour les protéger lors de leur croissance, ce qui fait que vous retrouvez cela dans votre assiette et que les traitements antibiotiques appliqués à l’homme n’ont plus du tout d’efficacité.

 

On vous recommande de manger cinq fruits et cinq légumes par jour et tout est fait pour que la majorité des individus puissent  les acheter. Mais là encore ils sont pour la plupart remplis des pesticides que l’on accumule à petite dose dans notre organisme.

 

En dehors de ces quelques exemples alimentaires, il y a aussi les toxines environnementales diffusées par les ustensiles que nous utilisons ou les produits ménagers. Les plastiques inappropriés que nous utilisons régulièrement dans nos microondes, les poêles en revêtement antiadhésif qui rendent nocifs nos aliments.

 

Et puis, tous ces produits ménagers de plus en plus élaborés sous forme de lingettes nocives pour notre santé; sans parler aussi de tous ces diffuseurs d’air pur qui polluent notre atmosphère.

Essayons de privilégier les produits naturels à base de savon de Marseille et  d’eau de javel et aérons au maximum nos pièces d’habitation.

 

Quel constat déplorable, et tout n’est pas comptabilisé dans cet inventaire.  Même s’il est malheureusement trop tard pour nous d’enrayer une telle contamination, apprenons aux générations futures à être lucides et vigilants dans ce domaine.