Utilisés à bon escient les médias sociaux peuvent vous permettre de propulser ou d’améliorer votre quartier, mais un moindre faux pas ils reviennent vous hanter juste que dans vos entretiens d’embauche. Voici quelques exemples qui vous permettrons de comprendre qu’il faudrait réfléchir à deux fois avant de poster quoi que soit sur les médias sociaux.

1.Ne soyez pas trop opiniâtre

      Les récentes révolutions en Egypte et en Tunisie nous ont surement fait comprendre que les médias sociaux sont des outils puissants et peuvent être utilisés notamment pour diriger et regrouper toute une communauté d’individus ayant les mêmes idées et réclamant un changement.

Ceci dit, si vous voulez exprimer une opinion très ferme  en ce qui concerne les sujets suivants, soyez prudent et prenez garde sur les limites de la liberté de votre discours, en particuliers sur ces sujets : religion, politique, la race, et les employeurs.

Un bon exemple est cette diatribe de cette étudiante de l’UCLA sur Youtube contre les asiatiques, une vidéo dans laquelle elle se moquait des étudiants asiatiques de l’UCLA et de leurs familles. Cette mauvaise image qu’elle a donné dans cette vidéo va la poursuivre dans sa vie estudiantine et même jusque que dans  sa carrière jusqu’à la fin de sa vie, et elle n’aura surement pas d’échappatoire pour un truc comme ça

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Quand on parle de religion ou de politique, vous avez vos propres valeurs auxquelles vous croyez fermement et en êtes fier, mais il n’y pas de raison d’attaquer les gens pour ça.

Il en va de même lorsqu’il s’agit de se plaindre de son employeur alors que vous travaillez encore dans l’entreprise telle Kimberly Swann qui, selon the Daily mail, a mis à jour son statut en « fatigué d’être au travail ». Son employeur l’a tout simplement virée sur le champ. Elle a essayé en vain de se défendre en disant qu’elle ne parlait pas de son poste de travail mais de son état, mais le mal était déjà fait.

Un futur employeur pourrait tomber sur votre profil, lire les commentaires des mois voire des années auparavant, et décider que vous n’êtes pas bon un candidat en particulier si vous vous plaignez de votre employeur actuel.

2. Permettre qu’on puisse « tagger » ou poster des photos de vous

On dit qu’une photo vaut mille mots, mais il va falloir venir avec 1.000 excuses pour expliquer pourquoi elle a été sur votre page.

Il peut arriver des choses auxquelles vous ne vous attendez vraiment pas, les photographies peuvent également être facilement mémorisées dans un ordinateur et utilisées ou vues hors de son contexte, comme  le cas d’un ancien professeur à Lille qui selon wsbtv.com, qui a été demis de ses fonctions, pour s’être filmé entrain de boire de l’alcool, ce qui n’était pas du goût des parents d’élèves.

La meilleure façon de ne jamais tomber dans ce genre de situation est de ne pas prendre des photos douteuses tout court, mais si ça ne vous aide pas, le fait de partager  ces photos dans un album privé avec des amis de confiance serait le moyen le plus sûr d’éviter ces désagréments.

3. Utiliser un langage grossier ou inapproprié

Gardez bien votre langue et comme dit l’expression tournez la 7 fois dans votre bouche avant de balancer quelque chose sur le net

Comme Gloria Huang, ce responsable  marketing social des médias de la Croix-Rouge, qui selon brandchannel.com, a accidentellement tweeté dans le cadre du compte-rendu officiel la Croix-Rouge: « lorsqu’il faut boire il faut bien le faire ». Si elle  a supprimé le tweet et s’en est excusée, le mal était fait, et il est toujours possible de trouver  ses propos sur Internet sur certains blogs et sites de nouvelles.

Il ya toujours un élément de risque lorsque vous publiez quelque chose en ligne, en particulier sur vos profils de médias sociaux, car vous ne pouvez pas toujours contrôler ceux qui vont la lire ou la visionner

Un conseil, familiarisez vous avec les paramètres de confidentialité et  gardez à l’esprit que l’Internet se souvient de tout.