Les rapports de scientifiques alarmant, les films documentaires, les consciences « écologiques » activistes, autant de gens et de supports qui nous rappellent que le réchauffement climatique est un problème majeur pour le devenir de notre planète et notre survie. Pour les générations postérieures à 1980, il est impossible d’avoir vécu sans avoir été nourris à l’information négativiste de l’effet de serre. De plus, nous le remarquons nous même, tous les jours, que le temps change, les variations climatiques se font plus soudaines, moins régulières et plus violentes. Alors nous en venons forcément à nous dire « Il faut faire quelque chose, nous détruisons notre planète ! »… Culpabilité justifiée par ce matraquage médiatique que nous subissons, nous en venons à changer nos habitudes, et accepter encore plus de sacrifices pour sauver notre Terre. Mais sommes-nous réellement responsable de ce qui se passe ? Devons-nous culpabiliser et agir directement dans l’optique que l’on nous suggère ? Beaucoup de scientifiques pensent que non.


En effet, un rapport de 2008 émis par Christopher Walter Monckton, personnalité Britannique à la retraite, reprends 33 points de désaccords avec le film documentaire « La vérité qui dérange » d’Al Gore. Avec le soutien de l’IPCC (intergovernmental panel on climate change), Monckton démontre comment Al Gore et son équipe de scientifique, ont délibérément manipulé l’opinion public concernant le réchauffement climatique en faisant incomber à notre action planétaire des faits dont nous ne sommes pas responsables.  (Document PDF)

 

Pour comprendre cela il est nécessaire d’expliquer deux choses. La pensée prédominante des scientifiques aujourd’hui, stipule que l’activité solaire est pour beaucoup dans notre modification climatique, les changements d’ères glacières vers des ères chaudes sont monnaie courante sur notre planète, et à l’échelle de l’humanité nous n’en avons pas connus 1%. Deuxième chose, les paléo-climatologues estiment que notre concentration en CO2 (Dioxyde de carbone) dans l’atmosphère terrestre pourrait être beaucoup élevée qu’à présent. En moyenne, cette concentration de CO2 oscille entre 180 ppmv (parties par millions de volume, unité de mesure des gaz) pour les périodes glaciaires, et 280 ppmv durant les interglaciaires. Exceptionnellement suite à l’activité solaire de l’année 2000, le taux de CO2 était de 370 ppmv. Il n’y pas eu de catastrophe majeure en 2000, et malgré l’augmentation de la concentration moyenne de CO2 dans l’atmosphère, l’évolution est continue et normale. Nous entrevoyons ici qu’il est probable que notre terre ne subisse qu’un cycle tout à fait habituel, dans sa vie galactique, et il n’est pas question ici d’appauvrissement des ressources ou de destruction de la terre, nous parlons uniquement de réchauffement climatique.

 

Voyons maintenant où en est la législation concernant les émissions de carbone dans l’atmosphère. En Europe depuis le 1er Janvier 2008, il existe « l’écotaxe », qui est un impôt perçu par l’état et appliqué en fonction de la quantité de carbone rejetée par le véhicule particulier et professionnel. Plus tôt le 1er Janvier 2006, la taxe CO2 était déjà appliquée en fonction des rejets de carbone et des chevaux fiscaux des véhicules. Nous savons  tous que l’idée d’un accord mondial sur le contrôle des émissions de gaz à effets de serre ne date pas d’hier, et verra le jour avec le protocole de Kyoto ou ultérieurement avec un autre dénominatif. Des voix s’élèvent aujourd’hui proposant toujours plus de systèmes de taxes sur le CO2, taxer les agriculteurs pour les émanations de leurs bétails, taxer les industries, et enfin revenir à taxer les particuliers sur leur véhicules…

 

Irons-nous jusqu’à voir des réglementations concernant l’air que nous respirons ? Pour l’instant non, mais le constat fait peur, car le « lobby écologique » n’est plus un mythe, et est véhiculé par nombre d’associations écologiques, elles-mêmes manipulées par des scientifiques peu scrupuleux d’interpréter leurs recherches dans l’intérêt de l’oligarchie mondiale. Ce n’est pas non plus un scoop que de dire que les médias sont très bien contrôlés, et retrouver au premier plan, des films comme celui d’Al Gore, ou même « Home » (sortit 2 jours avant l’élection européenne) de Yann Arthus-Bertrand, n’est pas anormal dans l’agenda de culpabilisation de la population. Pour l’anecdote monsieur Arthus-Bertrand, a déclaré au micro de radiofrance il y a quelques jours, que le nucléaire était « nécessaire » et que nous devions vivre avec le risque d’accident tout en oubliant les déchets radioactifs, étonnant pour un militant écologique…  Et c’est ainsi, en montrant de belles photos de paysages, d’animaux, où pour le côté négatif, de prolifération humaine, qu’on fait culpabiliser le peuple du monde, justifiant de surcroît l’asseoiement des forces de l’Establishment, et le sacrifice que va devoir endurer la population. Il n’est pourtant pas question ici de se retirer toute culpabilité lorsque nous prenons notre voiture, car il faut garder à l’esprit que mettre du pétrole dans nos moteurs à explosions ne fait qu’alimenter le lobby pétrolier mondial, mais il faut reconsidérer les informations que l’on nous donne, pour ne pas sombrer dans la victimisation personnelle. Nos médias ne SONT PAS LIBRES et ECLAIRES.

 

 

 

 

Source :

http://www.sortirdunucleaire.org/actualites/communiques/affiche.php?aff=564

http://blog.greenpeace.fr/news/legislation-sur-le-co2-des-automobiles-le-parlement-europeen-evite-le-pire

http://www.wikipédia.org

http://la.climatologie.free.fr/sommaire.htm

http://www.larecherche.fr/content/impression/article?id=4509