Argh, erreur : quelque chose comme « vous ne pouvez accéder à cette page ou vous êtes déjà identifié » au moment de publier. Tant pis, je me déconnecte et me reconnecte, et je recommence tout direct dans l’interface. Mon châpo, c’était quelque chose comme : écrire sur et pour Come4News doit rester un loisir, sans réelle compensation. Je m’y remets, en sauvegardant fréquemment, temporairement. Ah oui, j’oubliais, le sujet : les étoiles d’appréciation des articles et non les thés parfumés.

Erreur, bogue, tout le texte a sauté, et impossible de copier le châpo pour le recoller après reconnexion. Tout est à refaire, alors que cela n’en vaut pas vraiment la peine. C’est un sujet de détente. Pourquoi donc prends-je le risque de ne pas le rédiger sous MSWord ou OpenOffice ? Ah, je l’ai déjà évoqué, tous les enrichissements typographiques sautent à présent, quand vous importez. Donc, saisie directe.

Or donc, la seule rétribution à attendre de Come4News, c’est un euro par contribution.
Le comité d’occupation risque d’attendre encore longtemps une augmentation du tarif, vu que les nouvelles recettes publicitaires équilibrent vraiment tout juste les dépenses (hébergement et autres).
Je le signale au passage. L’autre plaisir en retour, c’est de s’être fait plaisir à écrire.

Tiens, justement, un petit sujet rigolo (dont je suis sans doute le seul à sourire).

J’allais vous entretenir de mes tests consistant à sucrer mes divers thés avec des pastilles Ricola parfumées variées. Là, c’était du P&G, un triangle issu de la boîte de 160 (en vente chez tous les bons épiciers indiens ou pakistanais, &c., de ce sous-continent là), aromatisé à la pastille mentholée. Pas mal, mais lorsqu’il ne reste qu’un fond dans la tasse, c’est vraiment trop menthe olé.
Je me promettais de faire moins long qu’Éric Blair (G. Orwell) dans sa fameuse chronique sur sa méthode de préparer le breuvage du five o’clock, cérémonie qui se répète toutes les deux-trois heures. Surtout dans le bureau de placement londonien qui m’employait comme homme-sandwich et me préservait d’aller me faire saucer. Mais je crois qu’il s’agit de sujets déjà traités.

 

Donc, j’ai changé d’avis. Les étoiles. Vous savez, celles d’appréciation des articles, de une à cinq, comme dans l’hôtellerie, sur Come4News.

N’empêche, la conclusion de mon truc qui a sauté, faute de pouvoir être sauvegardé, c’était qui connaîtrait les couplets de la chansonnette, s’il en est, dont le refrain est :
Pétronille, tu sens la menthe
Tu sens… la pastille de menthe
Tu sens la menthe pastillée
Entortillée dans du papier
Mâché…

Cela se fredonne si possible avé l’assent. Tiens, et si j’arrêtais là, les étoiles peuvent attendre.

Édition et correction
Changeons de sujet, donc. Les plus prolixes sur C4N ont le privilège de pouvoir intervenir sur les contributions. Je le fais très superficiellement, très, très rarement, uniquement sur la forme. Soit que j’ajuste un visuel, soit que je rétabli[x] (t ? i ? oh, zut, je ne suis pas là pour travailler ; mais quand même, s, comme j’établis, tu établisses, &c.) un peu l’orthographe. Surtout les nouvelles et les nouveaux. Que j’étoile évidemment. Sauf qu’il m’arrive d’oublier. Nul n’est parfait.

 

Retour aux étoiles. Comment cela marche-t-il ?

Les unes et les autres

Jusqu’au cent premières visites, environ, mais cela dépend de l’heure, de celle de tombée du bulletin de liaison dans les boîtes de courriel, ce sont plutôt les visiteuses et lecteurs extérieurs qui vous collent des étoiles. Ensuite, c’est l’inverse. Il y a des étoiles grrr (une ou deux, pas davantage) et des étoiles clap-clap-bis (voire ter, soit cinq). Généralement, les grrr portent plus sur le fond que la forme. Mais j’étoile à quatre les papiers dont le fond me déplait du moment que c’est fort bien mené, allégrement torché, plaisant à lire.
Franchement, je préfère cent catégorie une que cinquante catégorie cinq. Fatuité ? Cette histoire d’étoiles est si futile… Mais quand même. J’ai beau savoir que, tel le Bourgeois Gentilhomme, ce n’est pas ainsi que j’obtiendrais les faveurs de telle ou telle, ou la considération choisie de tel autre, j’y suis vaguement sensible. Surtout depuis que j’ai remporté par deux fois le jackpot, enfin, à mon humble connaissance, soit le plein du palmarès de la page d’accueil.
Il se présente de deux manières. Soit il s’agit d’un encadré à droite de quatre entrées, soit d’un encart de cinq entrées, généralement juste au-dessus du dessin du jour, en une.

Sophy, soyez reine

Sophy l’emporte généralement, au moins pour un temps, car cela varie automatiquement, plus ou moins selon le nombre exact d’étoiles collées aux unes ou autres, moins ou plus selon la fraîcheur des contributions. Sophy, qui est un peu à Come4News ce que la Marianne est au Post (.fr), soit une Madelon, est populaire. À juste titre, car elle écrit dru et bon, souvent leste (je veux dire, enlevé). Effet de communauté doublé d’un réel mérite. Je propose d’ailleurs de lui ceindre le front d’étoiles clignotantes, en gifs animées. Comme Michel, s’il revient plus souvent (il se fait hélas rare). En sus, elle commente, fait la causette, claviarde (c’est du québécois pour tailler une bavette en ligne), ce que d’autres prennent moins la peine de faire.

 

Valeur montante : Catalan

 

Un aîné, de peu, et confrère traducteur, petit nouveau nonobstant icitte, Catalan, à l’heure du docteur Schweitzer, m’a chipé le haut du tableau. Sincères félicitations. Qualité rime rarement avec quantité (je saisis à 60 mots de la minute), et je lui concède fort volontiers cette préséance.
Ne croyez pas que je passe mon temps à surveiller un palmarès. Je visite rarement la une, préférant généralement aller direct pondre une infâme loghorrée, euh, zut, logorrhée, si possible verbeuse. La sauce catalane est beaucoup plus digeste, même à longueur égale. Mais, eh, je ne peux m’en empêcher, de faire mon Achille Talon, et rédiger sur Come4News doit rester aussi un divertissement.

Subodorerais-je que j’obtiens des étoiles de sympathie ? De personnes cliquant d’emblée par réflexe et décrochant avant de lire la moitié de ce que j’écris ? Envisageable… Eh bien, merci. Faites-le aussi systématiquement pour celles et ceux qui débutent et dont la prose, ou le fond, vous plait. Même « chichement » (trois-quatre étoiles). Croyez-le bien, plus on est frais dans la carrière, plus monter au front du firmament étoilé fait plaisir.

Cela prend peu de temps. Mais je vous en ai déjà pris trop, puisqu’il est subtilisé à celui que vous consacrez à vous faire plaisir, soit à écrire sur Come4News. Veuillez agréer l’expression de ma confusion, et tirez-en la conclusion qui s’impose : à vos claviers.

 

P.-S. – sur le Post, futur Huffington, il y avait des votes, non par article, mais par posteuse ou posteur. Ils ont disparu. Il paraîtrait que les posteurs pourront récupérer leurs contenus. De grâce, si vous venez les faire migrer sur Come4News, relisez-vous. Beaucoup d’actualités d’antan et de naguère ne valent finalement plus un clou, privilégiez les sujets intemporels.
N.-B. – Bâtir un sujet à l’inverse des règles journalistiques, c’est parfois du bon contre-journalisme. Là, j’avoue, c’était pure perversité. 😉