"Quand marcher ou courir n’ est plus possible, il convient de nager.", proverbe crustacé.
Un week-end à explorer les sites de vidéos en ligne, un week-end pour tout savoir d’ un gouvernement que j’ ai volontairement mis de coté, et des autres aussi, et une fête de la musique pour redescendre un peu. A l’heure où la politique fiction a pris la pas sur toute autre forme de politique, l’ important est d’ abord dans l’ émotion du sensationnel du coeur de l’humanisme aigu qui fait presque pleurer.
Ainsi Bayrou a "coulé" lors des Européens parce qu’ il a rappelé au monde et à Cohn Bendit ses souvenirs sexuelles douteuses des années 70’s.
[ mais non c’ est l’ultradiffusion de "HOME" qui a reé/ou/’éveillée lle coté vert de nos consciences  ].
Ce n’est plus programme contre programme. C ‘est Deniro contre Pacino. Dommage, Bayrou ne sera jamais président. Il est trop minable a dit CBendit.

Robert Thiel est un chômeur mosellan de 44 ans, qui vient de marcher pendant 13 jours entre Sarreguemines (Moselle) et Paris pour voir le président et exprimer son ras le bol de la situation de l’emploi en France. Mais Robert Thiel n’ a pas d’ "importance" people. Si la rue n’a plus de pouvoir, qu’ est-ce qu’ un homme seul? Que Robert se console, il sera convié à la prochaine "Garden-Party" de l’ Elysée. Une occasion de piquer des petits-fours et du champagne, à défaut de rencontrer président.
Car quand il s’agit de Woody Allen qui songe sérieusement à faire tourner Carla Bruni dans son prochain, Il est reçu presque aussitôt .
Plus loin.
Un prof de philo, qui croise un contrôle d’ identité tendu à la gare Saint-Charles de Marseille, scande "Sarko je te vois!" en pointant les policiers du doigt. Résultat, "tapage injurieux diurne troublant la tranquillité d’autrui" . On pense que voilà bien un triste pays que le nôtre, ou l’ on sanctionne les "dissidents grossiers"(!!) comme l’ auteur du fameux "Touche-moi pas, tu vas me salir".
"En tout cas, ce n’ est pas une manière de parler à un président de la République", un citoyen éclairé.
Là est peut-être le vrai problème. A trop vouloir imiter le peuple, (celui qui ne pense pas!), on est traité de la même manière. Ce n’est certes pas une façon de parler à un "élu" du peuple, certes certes toujours, mais la a réaction de l’ élu du moment n’ est pas non plus celle que l’ on attend.
"Ils agissaient comme je leur parle" , un ancien président français, 2027.
Image subliminale: un sexe d’ homme, puis la voix de Bigard qui hurle " Coupez, coupez!".
Parfois, la politique fiction aggrave…Personne n’ a oublié les extraits du mauvais One-Woman-Show de Mme Royal au Zénith de Paris, façon Al Gore, mais sans le fond. Le PS en remet une couche, essayant de faire croire tout le monde en la réconciliation Royal/Aubry par amour du parti.
Le roi est mort, vive le Roi. Et Vive le nouveau parti. Le parti du gouvernement Gauche-Droite, le parti sans compétition interne, et qui s’ entend mieux, puisqu’ il n’y en a qu’ un seul qui toujours décide.

Kouchner, Strauss Kahn, Allègre…un peu Rocard aussi. Décidément, dire que la gauche est dans l’ impasse c’ est raconter n’ importe quoi.
Que la Gauche ne soit efficace qu’ a droite est une évidence, mais que fait la droite à droite qui semble encore plus passive que la gauche a gauche qui au moins se déchir et fait donc parler d’ elle ?! On murmure la création d’ un nouveau parti en marge de l’ UMP. Il devrait s’ appeler l’ ODNS, "Les oubliés de Nicolas Sarkozy".
Car la politique fiction, c’ est aussi brouiller les pistes en sympathisant avec l’ opposition, en faisant croire à l’ ouverture, alors que ce n’ est que pour répéter à ceux qui sont du bon coté que ce sont tous des imbéciles qui ne sont jamais arrivés à rien. A force de trop "peopoliser" les politiques, on fini par "mal-habituer" les citoyens, qui finissent par penser que Pujadas est un chef de cabinet et lolo Ferrari, heu. une guirlande noèl.
Biensur que je parle un peu méchament sans savoir,  car je n’ ai plus accès à certains médias. C’ est de toutes façons un ressenti, qui se vérifie en plus.
Humm..je parlais de la conivence des médias et des(du) politiques.
Je crois que comme moi, beaucoup de gens autrefois "de Gauche" en veulent au président actuel de nous obligés à reconnaître qu’ il a reussi. Un mélange Tapie pour les couilles, Berlusconi pour le cul et Lepen pour la haine qui a fait de lui le seul maitre à bord. Ce qui a changé aujourd’ hui, c’ est que lorsque l’ on parle de Sarkozy, souvent, on parle de toute autre chose que de politque.
Le bleu du capitalisme se mélangeant au rouge du social, donne une pâle couleur jaunâtre au goût de pisse.( là je vais me faire décapiter). Quoi j’ exagère ?! Ah oui…heu. Qui est de gauche ? Qui est droite ? Qui n ‘est plus de nullepart?
Revenons à Ronald McDonald. Heu Reagan…non Sarkozy pardon. Ce que moi je préfère chez Sarkozy, c’ est la beauté, la grâce et l’ intelligence de Rama Yade. Je ne parle pas de politique. Et elle n’ ont plus (sic). Quand elle va à la télé, et qu’ on l’ écoute parler, on sent bien qu’ elle ne manque ni de fond ni de forme. Elle est tout simplement en formation, ou plutôt stagiaire, et son maître de stage ou mentor ou plus exactement tuteur est aussi celui qui décide de tout. Comme avec tous les "stagiaires". Je suis sur que Rama Yade fera(it) une ministre très efficace, mais dans un autre "gouvernement.

La politique fiction existe depuis très longtemps. et c’ est peut-être  DeGaulles l’ instigateur, Puis Giscard omniprésent à son époque dans les médias ( torse nu en joueur de foot, quand même).
De toutes façons, DeGaulles est l’ instigateur de tout apparement. Et c’ est justement pour cela qu’ aujourd’ hui, dans la plus haute sphère de l’ état, la tendance est au: "Ensemble tout est possible. Tout bousculer, des acquis sociaux au fonctionnement du vote. Avant? C’ est du passé."
Sarkozy snobe le général. Sarkozy finira en uniforme.  Un uniforme à la "Top Gun", chewing-gum et lunette de beauf. Une brune à l’ arrière cu cockpit, cheveux au vent.
L’ ère de la politique fiction ? Tant mieux, on a élu Ronald Reagan.