Si le patronat dans son ensemble prenait exemple sur les dirigeants de la firme « Porsche », la crise ne serait plus qu’un mauvais souvenir et la lutte des classes n’existerait pas. Preuve que l’on peut faire de gros bénéfices et respecter son personnel, même celui, issu de la classe ouvrière, « Porsche » offre 7600 euros à chacun de ses 8500 employés, soit près de "65.000.000" euros,  pour les récompenser de leur travail et leur montrer leur reconnaissance. Ce constructeur, de renom, a bien compris l’intérêt de choyer son personnel, sans qui il n’existerait pas.


 En  pleine « crise » monétaire et économique, quelques "Patrons" redorent le blason de toute une corporation et prouvent que les classes sociales peuvent travailler en toute harmonie. Chez « Porsche », le mot « Collaborateur » à un sens et le personnel d’entretien est respecté autant que l’ingénieur.

Sans en demander autant, combien d’employés, cadres, ouvriers, aimeraient travailler pour une société de ce type, non pas pour sa renommée ou pour la hauteur de son chiffre d’affaire mais pour le geste annuel, presque devenu systématique, qui consiste à donner une « part du gâteau » à tous les collaborateurs. Cette prime d’intéressement n’est pas nouvelle. Déjà en 2009 la firme avait fait un effort de 1100 euros par employé, suivi de 3800 euros en 2010 La prime de cette année représente environ 7 fois le paiement d’un smic et nul ne doute que le « père Noel de Février » sera fêté dignement dans les foyers.  Cette considération patronale existait déjà dans quelques usines de renom comme celle de « Marcel Dassault ». À l’époque de sa création  son patron avait déjà acquit la réputation d’aider facilement et pécuniairement ses ouvriers. Encore de nos jours les primes « de moins en moins exceptionnelles » sur les bénéfices, existent toujours avec des montants plus que conséquents Merci à toutes ces entreprises « humaines », qui méritent, par leurs agissements,  de s’enrichir, et qui un jour, permettront aux français de sortir de la crise, sans être obligé de passer par des mouvements de grève déplorables pour l’image de marque des entreprises françaises.