Chantal de Rudder se distancie du « Plaisir de tuer » (le titre du livre).

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Non, Chantal de Rudder, coauteure, avec le psychiatre expert judiciaire Michel Dubec, de l’essai Le Plaisir de tuer au Seuil, ne prend pas de distance avec son partenaire en écriture ou avec le contenu du livre. Mais elle confie volontiers qu’au lieu de ce titre, elle aurait largement préféré celui qu’elle avait suggéré : « La Leçon des ténèbres ». En tout cas, alors que le Dr Dubec est poursuivi par le Conseil départemental parisien de l’Ordre des médecins, elle tient à réaffirmer haut et fort qu’elle lui conserve son entière confiance.


Un titre racoleur ? Devant la chambre ordinale disciplinaire de première instance de l’Ordre des médecins, l’un des avocats d’Illitch Ramirez Sànchez, alias Carlos (le terroriste), Me Francis Vuillemin, avait estimé « racoleur » l’ouvrage de la journaliste Chantal de Rudder et de MIchel Dubec. C’est un peu sévère, mais admettons que le titre est total rentre-dedans (et dans le tiroir-caisse). « Le titre n’est pas de moi et je trouve qu’il n’est pas en rapport avec le contenu, assure Chantal de Rudder, et j’avais proposé La Leçon des ténèbres, titre qui était hélas déjà pris ». L’expression, citée par Primo Levi, a en effet été reprise par Robert Antelme, pour un essai érotique de Jacques Almira, pour un « conte philosophique » de Jean-Pierre Comes, une « petite prose » de Michel Tournier, et par Jean-Edern Hallier pour le sous-titre de son Le Refus (Ramsay), voire à d’autres occasions. Primo Levi, qui avait estimé que, peut-être, « il n’y a pas de pourquoi » évident non plus à la Shoah (et non pas simplement à Auschwitz, selon un kapo), a inspiré, selon Chantal de Rudder, d’autres interrogations à Michel Dubec. « Il finit par comprendre le pourquoi du crime : ce livre, c’est l’histoire d’un homme, Michel Dubec, qui se débat avec sa douleur pour comprendre le mal ».

 

Une vocation inspirée par sa mère. Selon Chantal de Rudder, Michel Dubec serait devenu expert psychiatre devant les tribunaux « en raison de la Shoah ». Parfois, il évoque aussi sa mère, déportée. Ce n’est donc pas contradictoire. « Avec sa rencontre avec Paul Touvier, le chef de la milice lyonnaise, il commence à vouloir comprendre le mal à travers les cas de criminels qu’il examine ». Cette démarche, sans doute obsessionnelle, « ne l’empêche pas d’être un grand professionnel, » poursuit-elle, estimant qu’il sait faire la part des choses en déposant devant les tribunaux. « Il m’intéressait, en quelque sorte, d’expertiser un expert, et il est allé jusqu’au bout ». Au bout de lui-même, affirme la journaliste. Elle revendique avoir fait un travail de journaliste autant que d’écrivain, vérifiant les informations factuelles. Ainsi, commente-t-elle, si l’ouvrage mentionne que Maurice Joffo était détesté par ses employés, « c’est que cela figurait dans les rapports d’enquête ». Était-ce, en réalité, la règle générale ou l’exception particulière mise en avant par des enquêteurs zélés ? Il semble en tout cas que les ouvriers-coiffeurs ou cadres capilliculteurs de Maurice Joffo soient, dans ce cas, extrêmement masochistes pour lui rester si longtemps fidèles. Ce ne fut pas le cas dans la restauration et l’animosité réciproque qui l’opposait à son gérant du Dauvois était notoire. « Ce qui lui arrive est d’une grande injustice, » dit-elle de Michel Dubec. Et pour Maurice Joffo ? « Écoutez, en tout cas, il est absurde de me qualifier, autant que Michel Dubec, tout aussi d’origine juive, d’antisémite ». Le fait est constant, non disputé, mais Michel Dubec et Chantal de Rudder ont toutefois été condamnés pour injures à caractère racial ou en raison d’une appartenance à une religion (ce n’est pas vraiment le cas de Maurice Joffo, très peu présent dans les synagogues) à l’encontre de l’auteur de Pour quelques billes de plus ?, titre inspiré par le roman de son frère Joseph, Un sac de billes. « On nous a tenu dans l’ignorance du délai d’appel, et on pensait que Le Seuil ferait appel… Au départ, personne ne m’a informée de ce procès Joffo-Dubec ».

 

Une féministe très informée. Amie d’Élizabeth Badinter, elle l’est aussi d’autres figures de diverses mouvances féministes, dont l’historienne Marie-Jo Bonnet, Chantal de Rudder, mais s’est aussi attirée, au Nouvel Observateur, les critiques d’autres (tout comme Mariella Righini). Chantal de Rudder, scénariste du téléfilm Les Amants du Flore, consacré au « Castor » (S. de Beauvoir), peut être discutée mais non point considérée être anti-féministe. Nul n’en disconvient. « C’est un reproche aussi absurde quand il est adressé à Michel Dubec, » considère-t-elle. Dans le microcosme des féministes, il se trouvera sans doute toujours des « historiques radicales » pour soutenir que, même compagnons de route, des hommes conservent toujours un fond de machisme patriarcal, mais la présumée misogynie de Michel Dubec n’est pas du tout évidente à toutes et tous à la lecture attentive du livre. « En tout cas, après celle du livre dans son intégralité, souligne-t-elle, car évidemment, si on sort telle ou telle phrase de son contexte, on peut écrire n’importe quoi… Or la plupart, si ce n’est la très large majorité des gens qui s’offusquent de telle ou telle phrase, d’un extrait, m’avouent n’avoir absolument pas lu le livre en son entier. ».

 

Un argument indéniable. Assurant la défense de Michel Dubec devant la chambre ordinale des médecins, Me Bertrand Burgot avait insisté sur le fait que, lors de sa sortie, le livre avait généralement été salué par la critique et n’avait jamais inspiré de supputations voulant faire croire que les propos reproduits pourraient « inciter au viol ». L’argument n’a pas été réfuté par les cinq avocat·e·s opposé·e·s à Michel Dubec. Il est cependant faible s’il s’agit de démontrer que le livre, ou plutôt, surtout, et même exclusivement son coauteur masculin, serait l’objet d’une cabale après coup. Il y a d’abord une énorme différence entre écrire qu’un médecin ou un quidam « incite au viol » et dire que certains propos pourraient être pris pour une telle incitation. C’est affaire d’opinion. Ce qui est certain, c’est que les critiques reçoivent de nos jours soit un PDF d’un ouvrage, soit une épreuve en court-tirage, et qu’on ne sait jamais exactement ce qui va subsister du texte à publication. La prudence est donc de mise quant au verbatim. L’argument de la bonne réception par la critique est indéniable, mais… En fait, après diffusion, c’est assez lentement que des intervenants dans ce qui est désormais l’affaire « médicale » Dubec, ont découvert le livre, et estimé qu’il leur fournissait soit des griefs initiaux, soit des atouts supplémentaires pour le traîner devant l’Ordre des médecins. Eh oui, hélas, tout le monde ne lit plus la presse quotidienne ou hebdomadaire, voire non plus les annonces de parutions de livres sur l’Internet. Mais Chantal de Rudder n’est pas loin de prendre pour vraiment fondée l’une des argumentations de Me Burgot, soit que c’est une ancienne patiente du Dr Dubec, Brigitte Brami, qui serait la cheffe d’orchestre, l’instigatrice d’une acharnée campagne de dénigrement en ligne.

 

Mi chèvre, mi chou. Difficile de faire la part des choses. Oui, Brigitte Brami a lancé en ligne une pétition visant le livre Le Plaisir de tuer. Oui, c’est l’une de ses anciennes patientes qui reconnaît lui avoir notamment lui avoir envoyé des cartes postales, et qui ne se cache pas d’alerter la presse et divers relais d’opinions au sujet de la teneur de passages du livre, mais aussi à propos de certaines des expertises judiciaires contestées, parfois très fortement, par des victimes, ou des protagonistes d’affaires judiciaires. La question est la suivante : Brigitte Brami provoque-t-elle ou catalyse-t-elle ? recense-t-elle les ressentiments à l’égard de l’expert Michel Dubec ? Difficile d’y répondre de manière tranchée sans tomber dans l’absurde : une professeure d’université (la chercheuse Natacha Chetcuti), une journaliste réputée et très expérimentée (Isabelle Horlans, cheffe des enquêtes de France Soir), tant d’autres, toutes et tous « manipulés » par une ancienne patiente d’un psychiatre ? De très faible notoriété et condamnée de surcroît pour harcèlement ? Dotée de titres universitaires de second cycle seulement ? Impossible n’est pas français. Chantal de Rudder en est sincèrement persuadée. C’est une opinion, peut-être réductrice, déresponsabilisant une personne qui peut avoir diverses motivations. De là à se joindre à celles et ceux qui considéreraient vraiment que cette personne, qui déploie effectivement de l’énergie à faire valoir des cas se prêtant à diverses interprétations, soit une déesse ex machina capable de faire perdre la raison et le bon sens à tant de gens censés, Chantal de Rudder ne va pas jusque là.

 

Une simple cabale ? Ne serait-ce, vraiment, qu’une cabale ? S’il est évident qu’il n’est nullement agréable pour Michel Dubec d’être mis en cause en sachant que sa fille de douze ans pourrait en entendre parler, et en être vraiment troublée, on aurait plutôt l’impression, de prime abord, qu’elle doit être plutôt sensible au fait que son père est une personnalité très fréquemment médiatisée, et de manière le plus souvent élogieuse. Et enfin, de par sa profession, Michel Dubec n’est pas tout à fait démuni, en manque d’arguments. Il n’est pas non plus isolé, ostracisé par ses plus éminents et compétents confrères. Au fait, il n’aurait pas exercé en tant que pédopsy, Michel Dubec ? Et Chantal de Rudder, évoquant à ce sujet « la rumeur d’Orléans », ne va pas jusqu’au point d’affirmer que tout reproche adressé à Michel Dubec serait totalement, par nature, illusoire, irrationnel, calomnieux, diffamatoire. Ce qui était le cas pour ceux visant les propriétaires juifs d’un magasin d’Orléans, et la suite a formellement établi que la fiction d’une prétendue « traite des blanches » n’avait aucune réalité à Orléans. Il n’y a pas d’amalgame, car une telle assimilation serait d’ailleurs injurieuse à l’égard du conseil départemental des médecins parisiens qui s’est associé à deux (sur une dizaine examinées) des plaintes visant Michel Dubec.

 

À l’insu de son plein gré ? Ce qui est sûr c’est que personne, dans la presse professionnelle, en ligne ou imprimée, et pratiquement nul, jusqu’à nouvel informé, sur les sites d’information les plus connus, n’a été soutenir que le Dr Dubec justifierait sciemment les viols, et même pas « à l’insu de son plein gré ». Et de toute façon, s’il aurait violé le secret professionnel, ce que dira ou réfutera la chambre disciplinaire, c’est au sujet des cas précis de Maurice Joffo et du terroriste Carlos, nullement à travers ceux évoqués par qui soutient qu’indirectement certains de ses propos sur la sexualité pourraient être mal interprétés, surtout sortis de leur contexte. D’ailleurs, dans certains cercles féministes, et des plus radicaux, ils n’ont pas tant choqué puisqu’ils justifieraient, pour certains d’entre eux, que fondamentalement le sujet masculin est animé par une agressivité machiste et patriarcale. C’est discutable. Pas forcément irréversible. Tant bien même le Dr Dubec admettrait-il cette hypothèse qu’il ne lui est nullement reproché – si ce n’est par des commentateurs ou des réactions de femmes qui n’ont pas forcément châtié leur expression ou approfondi leur raisonnement – d’avoir voulu inciter à nourrir de tels fantasmes et encore moins à passer à l’acte. En ce sens, oui, l’« affaire Dubec et le viol » n’en est pas une, mais il y a bien une rumeur qui, laissant place à d’éventuelles fausses interprétations, pourrait nuire à Michel Dubec.

 

La si courte mémoire de la presse. Chantal de Rudder a fort raison d’évoquer la rumeur d’Orléans et le livre d’Edgar Morin. D’ailleurs, évoquait-elle, au fond, la rumeur elle-même ou le livre ? Les deux ? Il aurait fallu approfondir. En ignorant « la » rumeur, la presse quotidienne régionale française (celle d’Orléans, mais aussi d’ailleurs) risquait fort de la renforcer. Si la presse n’en parle pas, c’est bien parce qu’au fond, telle ou tel sont protégés, « argumente » la rumeur. Et c’est bien parce que, en 2003, Dominique Baudis a « pris les devants » face à la rumeur, permettant le débat public réellement argumenté, que sa présumée participation à des ébats collectifs avec des prostituées a été formellement démentie. Mais la presse manque de temps, de place, et de moyens, et même d’expérience professionnelle approfondie. On n’ira pas jusqu’à écrire que Michel Dubec devrait se féliciter que Brigitte Brami alerte la presse à propos de ses démêlés judiciaires. On constatera que l’argument voulant qu’incriminer l’Internet, censé véhiculer tout et n’importe quoi, et devant donc être superbement ignoré, est peut-être contreproductif. Effectivement, on peut penser que donner de l’importance à ce que propage Brigitte Brami est la conforter dans une phase obsessionnelle. Oui, mais est-ce bien par « charité » envers elle que la presse classique semble superbement ignorer ce qu’elle signale et pointe ? Ou simplement par mésestimation du rôle, des fonctions d’une rédaction ? Ou par lassitude ? Indifférence ? Allez savoir.

 

Un titre révélateur. Révélateur, au sens « argentique » de mise en évidence, de développement, tel pourrait être considéré le titre de cette contribution. Combien de tout jeunes secrétaires de rédaction, pressés par les bouclages de plus en plus avancés et hâtifs, n’auraient pas validé un titre tel « Chantal de Rudder se distancie du Plaisir de tuer » ? Qui, alors qu’autrefois les titreurs étaient soit des journalistes très spécialisés, voire de vieux ouvriers du Livre, se serait encore posé la question de savoir s’il fallait préciser « du livre » (puisqu’un titre désigne aussi, par métonymie, selon Le Robert, « un ouvrage particulier ») ? Qui pourrait considérer que sa mise entre guillemets, en romain, n’équivaut pas à l’usage de l’italique, et suffisait à signaler qu’il s’agissait du titre de l’ouvrage et non de l’ouvrage lui-même ? « L’orthotypo, coco ? Eh, tu as vu l’heure ? Allez, grouille, on s’en fout ! » pourrais-je peut-être croire entendre encore. Des bêtes à concours, issus de prépas, brillants dans les grands oraux, puis passés par des écoles de journalisme, quelques stages, sont directement nommés secrétaires de rédaction. Avec des responsabilités régaliennes, sans jamais avoir fait de terrain, sans jamais avoir senti le bout de la carabine du « vélo » venu protester qu’on lui avait fait brûler la priorité à la « moto » (titre du fait divers : « vélo contre moto »), que son assurance ne le couvrirait pas et qu’il fallait un rectificatif, et plus vite que ça, sinon le « vélo » tirait ? On passe à présent directement ou presque de sèche ou sec’ de rédac’ à la redchef. Ce sans jamais avoir écrit d’autres lignes que des comptes rendus de voyages de presse vers des destinations exotiques avec gadgets fournis et bouquets de fleurs dans la chambre d’hôtel. Et puis, ces affaires de chambres ordinales, c’est compliqué, il faudrait plus de lignes pour expliciter, et on manque de place. En plus, l’ouvrage est paru quand ? Ah oui, début 2007. Eh, c’est du réchauffé ! Place à l’actu chaude, avec des « pipeules » moins vieux que Carlos ou les Joffo. Quoique. « Plaisir de tuer », c’est un bon titre, non ? Vendeur, non ? Bon, allez, un feuillet sur Rudder, bien serré, plutôt 1 200 signes. Heureusement, l’Internet permet de développer. Malheureusement, la presse et ses écoles font du papier à l’écran. Ou croient qu’une bonne vidéo bien creuse, bien télévisuelle, c’est ça, la Toile ! Le son est bon ? L’image équilibrée ? Allez, roule ! Et si le lectorat, content d’être bien diverti, se sentait encore roulé dans la farine, méprisé ? Bah, du moment qu’il clique 

 

Citations tronquées, une partout ! Alors que la défense de Michel Dubec s’évertuait à souligner que les passages incriminés par l’instance départementale de l’Ordre et les parties Joffo et « Carlos » devaient être resitués dans leur contexte, on a vu Michel Dubec faire de même avec un passage du livre de Maurice Joffo, Pour quelques billes de plus ? Et lui imputer une interprétation pour le moins hâtive, tronquée, et plus que douteuse. Sans que la chambre ordinale, déjà lasse de toute une journée de longs débats, ne s’en émeuve, faute de pouvoir songer à prendre le temps de faire lire toute la page, voire tout le chapitre. La justice humaine est imparfaite, la chronique humaine aussi (mais peut-être moins que des synthèses assistées par ordinateur). Que Michel Dubec ait, là, selon moi, dérapé, ne rend pas le « jeu », les je, égal ou égaux. Il faudrait développer. Creuser l’argumentation. Faire valoir que, de toute façon, légalement, un tribunal ne peut plus vraiment condamner tout un livre au bûcher, ni l’exonérer en lui donnant un imprimatur global s’il contient des passages que certains peuvent incriminer. Tout comme un article de presse est limité en volume, une audience est limitée dans le temps. Mais l’hypertextualité peut, éventuellement, ultérieurement, remédier à cette insuffisance. L’Internet n’est ni la meilleure, ni la pire des choses pour la formation et l’information des citoyennes et citoyens. Mais il permet au moins qu’en sus d’une refutatio courte, sous forme de commentaires à une contribution, un droit de réponse plus développé (voire plus long que ce qui l’a suscité), puisse paraître en son intégralité, être accessible, consulté. L’affaire des suites du Plaisir de tuer mérite-t-elle un nouveau livre ? Peut-être pas. Mais quelque développement, sans doute. Libre à chacun d’y participer. Une chose est sûre : en matière de rumeur, les muets ont toujours tort.

 

Voir aussi :
Le Dr Michel Dubec poursuivi pour violation du secret médical…

Auteur/autrice : Jef Tombeur

Longtemps "jack of all trades", toujours grand voyageur. Réside principalement à Paris (Xe), fréquemment ailleurs (à présent, en Europe seulement). A pratiqué le journalisme plus de sept lustres (toutes périodicités, tous postes en presse écrite), la traduction (ang.>fr. ; presse, littérature, docs techs), le transport routier (intl. et France), l'enseignement (typo, PAO, journalisme)... Congru en typo, féru d'orthotypographie. Blague favorite : – et on t'a dit que c'était drôle ? Eh bien, on t'aura menti !

9 réflexions sur « Chantal de Rudder se distancie du « Plaisir de tuer » (le titre du livre). »

  1. Par ailleurs, le juge Thiel était venu dire ô combien il est éprouvant, pour lui comme pour un Michel Dubec, de se retrouver face au « Tueur de l’Est parisien », alias Guy Georges. Chantal de Rudder l’a tout autant remarqué dans ses entretiens avec Michel Dubec. Dont acte.
    C’est un peu comme si on disait qu’un maître-nageur-sauveteur, plusieurs fois médaillé, ayant provoqué un accident de la route par excès de vitesse en rentrant chez lui, devrait être exonéré de sa responsabilité pour les dégâts et les ITT des conducteurs des véhicules percutés (Maurice Joffo, Carlos, alias Illitch Ramirez Sanchez). Et si on prend en considération les répercussions sur l’entourage, alors on déplorera autant celles sur la famille Joffo dans son ensemble, et non pas seulement celles sur la famille Dubec. Mais c’est un autre débat, plus vaste.

  2. Je n’ai jamais ni volé, ni tué, ni agressé qui que ce soit, je n’ai jamais fait subir à des enfants des attouchements je n’ai à mon actif fait preuve d’aucun délit de corruption,je n’ai jamais fraudé le fisc, ni mis le feu à une baraque, ni même abuser la SNCF ou la RATP ! et pourtant, hier, j’ai été condamnée à 15 mois fermes de prison avec mandat de dépôt ! Hier, en effet 15 octobre 2009, le délibéré a été prononcé. Il y a, dans cette affaire, deux perdants et un gagnant. On a deviné qui est le gagnant. La perdante, c’est moi, mais la plus grande perdante, c’est la justice française. Elle voit très clair. La loi est supposée faite pour affranchir le faible, mais c’est le contraire qui se vérifie trop souvent. Rendons la justice aveugle, de façon à ce qu’elle ne puisse distinguer le faible du puissant…
    Je vous demande à tous,amiEs ou inconnuEs de l’aide; Vous avez le choix entre plusieurs possibilités : 1) D’abord diffuser sur toutes vos listes cet email 2) Postez-le sur tous les sites que vous connaissez, 3) Parlez-en le plus possible autour de vous si possible à des médias et journalistes en priorité 4) L’aide peut également être d’ordre financier car les très grands avocats assez solides pour se lutter contre le pervers national qui m’a faite emprisonnée coutent très cher et c’est normal : il faut un sacré travail et une énergie incroyable pour se battre contre le personnage en question. Donc, aucune somme ne sera négligeable : 5, 10 euros, et beaucoup plus si vous le pouvez me seront très utiles (je vous enverrai bien entendu un reçu) à mon nom et à l’adresse suivante : 1, rue Vidal de lA BLACHE – 75020 PARIS – 5) l’aide morale : une lettre, un petit mot gentil me soutiendront car je reste avant tout un être humain que 14 ans de conflits avec dubec ont brisé, même si je veux parfois donner le change – toujours cet amour propre ! – et que mon amertume se manifeste quelque fois par de l’hystérie, de l’agressivité ou de la fausse arrogance 6) des lettres de soutien à verser au dossier : certificats moraux, lettres qui viennent d’organismes institutionnelles, ou assaciatifs, et contestant dubec – ça peut être pour son acharnement judiciaire contre moi ou pour ce qu’il a écrit dans son livre ou les écrits qu’il a signés lors d’expertises.
    Merci d’avance à toutes celles et tous ceux qui répondront à ce SOS. Je compte réellement sur vous tous.
    Brigitte Brami

  3. ARTICLE CENSURE après intervention des avocats de DUBEC

    REPUBLIE par SYSIPHE sur son Site

    Les Éditions du Seuil ont publié en février 2007 un livre de Michel Dubec, au titre racoleur : Le Plaisir de tuer.

    Le docteur Michel Dubec est psychanalyste, mais c’est surtout un expert psychiatre national auprès des tribunaux.

    Or donc, dans ses écrits (retranscrits par la journaliste Chantal de Rudder), il justifie les violences faites aux femmes, et même les viols, au nom de la sacro-sainte nature de la sexualité masculine.

    Le Dr Michel Dubec reconnaît une espèce de solidarité de sexe, qui va jusqu’à une véritable complicité masculiniste, avec le violeur et tueur en série, Guy Georges, qu’il a expertisé :

    « Sans que je lui en parle, le tueur de l’Est parisien a peut-être deviné le trouble que j’ai ressenti en regardant les photos de ses victimes. Je les trouvais très attirantes. (…) Une communauté de désir nous rapprochait Guy Georges et moi. (…) parce qu’il existait entre nous un partage des mêmes “objets érotiques“, j’ai pu faire un bout de chemin avec le tueur en série le plus célèbre de l’Hexagone (…) Je ne partageais pas la pulsion homicide de Guy Georges, heureusement. Mais je pouvais ressentir ce qui provoquait sa pulsion érotique. Entre nous, je l’avoue, ce goût commun entrebâilla une porte, jusque-là verrouillée à double tour, sur un possible échange. » (pages 211-212). Si l’expert dénonce sans ambiguïté les meurtres de Guy Georges nés de ses pulsions homicides, il s’identifie à ce violeur et ça même bander dubec.

  4. Chères vous tous et toutes,
    Je reviens ce soir vers vous.
    Mon tort a peut-être été de ne pas avoir été assez claire pour ceux et celles qui ne connaissaient pas mon affaire. La responsable d’un site que je ne connaissais pas encore a donné des pistes pour que vous vous fassiez de vous même votre propre opinion.
    JE COMPTE SUR VOUS TOUS ET TOUTES.
    Signé : une Brigitte qui traîne dans les rues, fatiguée, sans plus de cerveau ni de courage.
    (Pardon si c’est un peu trop de chez trop mais c’est ainsi que je le vis tous les jours).
    Attention ce qui va suivre n’est pas de Brigitte Brami mais a été très légèrement modifié par elle :
    Saga de Brigitte Brami contre l’expert-psychiatre Dube
    Brigitte vient de laisser un commentaire sur mon blog privé (www.lesboseparatiste.canalblog.com) et j’aimerais relayer cet appel au secours de solidarité et entreprendre des mesures concrètes maintenant, s’il est un geste immédiat politique c’est bien celui-là, merci de m’aider à faire passer ce message partout auprès des milieux progressistes s’il en reste.
    Brigitte s’est indignée contre l’apologie du viol faite dans le livre de dubec et au même moment comme par hasard elle s’est pris 15 mois fermes pour harcèlement et récidive qui ne consistait qu’en de simples cartes postales envoyées à ce Dubec, influent psychiatre expert auprès des tribunaux.
    Hospitalisée au moment de ce jugement le 15 octobre elle a produit un certificat, mais elle est en cavale depuis, car l’appel n’a pas été suspensif et un mandat d’arrêt a été ordonné. Elle est donc en résistance et en danger en même temps, dans les pires conditions de survie quotidienne et morale !
    Elle a besoin d’argent et de solidarité en tous genre, envoyez-lui même de toutes petites sommes et des lettres de soutien à Brigitte Brami, 1, rue Vidal de la Blache – 75020 Paris !
    sur Lesboseparatiste, message du 23 octobre :
    Merci les filles, surtout parlez-en le + possible autour de vous : députés, politiques, journalistes, médecins, féministes, gays, etc. Car moi je n’ai rien à cacher, contrairement à dubec. Un petit détail : l’appel QUE J’AI INTERJETÉ N’EST PAS SUSPENSIF DE LA PEINE CAR dubec s’est arrangé pour l’accompagner d’un MANDAT D’ARRÊT (fait exceptionnel même les pédos n’en n’ont pas !), le petit malin… Mon avocat a plaidé en mon absence, étant hospitalisée depuis un mois.
    PS Pardon c’est vulgaire mais j’ai aussi besoin de sous !!!

  5. Chères vous tous et toutes,
    Je reviens ce soir vers vous.
    Mon tort a peut-être été de ne pas avoir été assez claire pour ceux et celles qui ne connaissaient pas mon affaire. La responsable d’un site que je ne connaissais pas encore a donné des pistes pour que vous vous fassiez de vous même votre propre opinion.
    JE COMPTE SUR VOUS TOUS ET TOUTES.
    Signé : une Brigitte qui traîne dans les rues, fatiguée, sans plus de cerveau ni de courage.
    (Pardon si c’est un peu trop de chez trop mais c’est ainsi que je le vis tous les jours).
    Attention ce qui va suivre n’est pas de Brigitte Brami mais a été très légèrement modifié par elle :
    Saga de Brigitte Brami contre l’expert-psychiatre Dube
    Brigitte vient de laisser un commentaire sur mon blog privé (www.lesboseparatiste.canalblog.com) et j’aimerais relayer cet appel au secours de solidarité et entreprendre des mesures concrètes maintenant, s’il est un geste immédiat politique c’est bien celui-là, merci de m’aider à faire passer ce message partout auprès des milieux progressistes s’il en reste.
    Brigitte s’est indignée contre l’apologie du viol faite dans le livre de dubec et au même moment comme par hasard elle s’est pris 15 mois fermes pour harcèlement et récidive qui ne consistait qu’en de simples cartes postales envoyées à ce Dubec, influent psychiatre expert auprès des tribunaux.
    Hospitalisée au moment de ce jugement le 15 octobre elle a produit un certificat, mais elle est en cavale depuis, car l’appel n’a pas été suspensif et un mandat d’arrêt a été ordonné. Elle est donc en résistance et en danger en même temps, dans les pires conditions de survie quotidienne et morale !
    Elle a besoin d’argent et de solidarité en tous genre, envoyez-lui même de toutes petites sommes et des lettres de soutien à Brigitte Brami, 1, rue Vidal de la Blache – 75020 Paris !
    sur Lesboseparatiste, message du 23 octobre :
    Merci les filles, surtout parlez-en le + possible autour de vous : députés, politiques, journalistes, médecins, féministes, gays, etc. Car moi je n’ai rien à cacher, contrairement à dubec. Un petit détail : l’appel QUE J’AI INTERJETÉ N’EST PAS SUSPENSIF DE LA PEINE CAR dubec s’est arrangé pour l’accompagner d’un MANDAT D’ARRÊT (fait exceptionnel même les pédos n’en n’ont pas !), le petit malin… Mon avocat a plaidé en mon absence, étant hospitalisée depuis un mois.
    PS Pardon c’est vulgaire mais j’ai aussi besoin de sous !!!

  6. suite et fin BLOGSOLIDAIRE : brami/DUBEC
    Si vous désirez des infos sur Brigitte Brami consultez svp le site Sisyphe.
    Brigitte Brami ce 15 octobre 2009 a été jugée coupable de harcèlement, c’est-à-dire dans la réalité d’envois de critiques au Dr Dubec sous forme de cartes postales variées (!!!)
    Dans le même temps des pétitions circulaient sur internet pour dénoncer l’apologie du viol faite par Dubec dans son livre, qui tout comme celui de Frédéric Mitterrand n’avait pas eu l’air de choquer grand monde lors de sa parution;
    Il a donc tout fait pour la faire enfermer pour harcèlement bien entendu qui en langage judiciaire donne le chef lieu de : Précision elle mesure 1m55, lui il fait dans les 1m80, il est boxeur et adepte des salles de musculation.
    Peine sévère donc pour Brigitte Brami,le juge ayant décidé qu’il s’agissait là d’une récidive de harcèlement (les fameuses cartes adressées à un psy intouchable POURTANT POSTEES ANTERIEUREMENT A LA PREMIERE CONDAMNATION DONC MESSIEURS LES JUGES DEVRAIENT REVOIR SA DEFINITION DANS LE DICTIONNAIRE)… Eh bien, ça ne plaisante pas !
    Elle a péché par naïveté et franchise.
    dubec a été l’objet de nombreuses plaintes actuellement examinées par le Conseil de l’Ordre (mais semblant n’aboutir sur aucune sanction), tant de patients que d’une certaine personne qu’il a insultée dans un livre (M. Joffo ayant obtenu gain de cause en justice pour injures à caractère raciste et religieuse juste avant que les pétitions ne pleuvent contre le dernier), mais en attendant ce cher Dr Dubec n’a jamais fait un seul jour de prison et continue bien d’exercer comme expert-psychiatre de renom en Cour de cassation, soit la plus haute instance du système judiciaire où il a même été reconduit pour les cinq prochaines années.
    D’où le titre de l’article du journaliste, Brami 458 / Dubec 0
    C’est 458 jours de prison.
    Voilà j’ai relaté les faits de manière neutre quand on me connait, mais inutile de préciser que je suis scandalisée, et que ce Dubec illustre tout ce que je déteste, tout dans le sexisme et la brutalité…
    Mon cœur est pour Brigitte Brami et en solidarité avec elle, et je me demande bien qui de nous n’aurait pas exactement réagi de la même façon qu’elle.
    C’est sûr qu’elle a sous-estimé l’ennemi…
    Cela arrive ici et maintenant à une des nôtres.

  7. à diffuser le PLUS LARGEMENT POSSIBLE SVP.

    VICTIME DU DR ET EXPERT PSYCHIATRE MICHEL dubec ET En CETTE PÉRIODE DE FÊTES DE FIN D’ANNÉES JE VOUS DEMANDE DE FAÇON Solennelle de m’aider.

    A quelques jours des fêtes de fin d’année, je reviens une troisième fois vers vous et de toutes urgence et de toutes les forces qu’il me restent, je vous demande de créer enfin une chaîne de solidarité effective et active afin de me soutenir.

    Je vous demande à tous, amiEs ou inconnuEs de l’aide; Vous avez le choix entre plusieurs possibilités :

    1) D’abord diffuser sur toutes vos listes cet email

    2) Postez-le sur tous les sites que vous connaissez

    3) Parlez-en le plus possible autour de vous si possible à des médias et journalistes en priorité

    4) ( la priorité reste hélas financière )L’aide peut également être d’ordre financier car les très grands avocats assez solides pour lutter contre le pervers national qui m’a faite emprisonnée coûtent très cher et c’est normal : il faut un sacré travail et une énergie incroyable pour se battre contre le personnage en question. Donc, aucune somme ne sera négligeable : 5, 10 euros, et beaucoup plus si vous le pouvez me seront très utiles (je vous enverrai bien entendu un reçu) à mon nom et à l’adresse suivante : 1, rue Vidal de la BLACHE – 75020 PARIS –

    5) l’aide morale : une lettre, un petit mot gentil me soutiendront car je reste avant tout un être humain que 14 ans de conflits avec dubec ont brisé, même si je veux parfois donner le change – toujours cet amour propre !

    6) des lettres de soutien à verser au dossier : certificats moraux, lettres qui viennent d’organismes institutionnels, ou associatifs, et contestant dubec – ça peut être pour son acharnement judiciaire contre moi ou pour ce qu’il a écrit dans son livre ou les écrits qu’il a signés lors d’expertises.

    Merci d’avance à toutes celles et tous ceux qui répondront à ce SOS. Je compte réellement sur vous toutes et tous.

    Signé : une Brigitte qui traîne dans les rues, fatiguée, sans plus de cerveau ni de courage. (Pardon si c’est un peu trop de chez trop mais c’est ainsi que je le vis tous les jours).

    Je reste convaincue que SEULE LA MÉDIATISATION DE L’AFFAIRE FERA ÉCLATER LES DIFFÉRENTS SCANDALES QUI POUR L’INSTANT RESTENT ÉTOUFFES PAR LES POTES DE NOTRE PERVERS NA TONAL.

  8. Remerciements a ceux qui m’ont aidée dans la terrible et très pénible épreuve que me fait subir volontairement le dr et expert psychiatre : michel dubec, suite à ma démarche citoyenne – que je paye très chère – qui a eu pour effet collatérale d’être interdit d’exercer pendant trois mois (décision du CO des médecins du 4 décembre 2009) suite à de très nombreuse plaintes adressées au Conseil de l’Ordre des médecins et devant laquelle dubec a comparu en Chambre disciplinaire le 22 septembre dernier.

    Chanson Pour L’Auvergnat de Georges Brassens

    Elle est à toi cette chanson
    Toi l’Auvergnat qui sans façon
    M’as donné quatre bouts de bois
    Quand dans ma vie il faisait froid
    Toi qui m’as donné du feu quand
    Les croquantes et les croquants
    Tous les gens bien intentionnés
    M’avaient fermé la porte au nez
    Ce n’était rien qu’un feu de bois
    Mais il m’avait chauffé le corps
    Et dans mon âme il brûle encore
    A la manière’ d’un feu de joie

    [Refrain] :
    Toi l’Auvergnat quand tu mourras
    Quand le croquemort t’emportera
    Qu’il te conduise à travers ciel
    Au père éternel

    Elle est à toi cette chanson
    Toi l’hôtesse qui sans façon
    M’as donné quatre bouts de pain
    Quand dans ma vie il faisait faim
    Toi qui m’ouvris ta huche quand
    Les croquantes et les croquants
    Tous les gens bien intentionnés
    S’amusaient à me voir jeûner
    Ce n’était rien qu’un peu de pain
    Mais il m’avait chauffé le corps
    Et dans mon âme il brûle encore
    A la manière’ d’un grand festin

    [Refrain]

    Elle est à toi cette chanson
    Toi l’étranger qui sans façon
    D’un air malheureux m’as souri
    Lorsque les gendarmes m’ont pris
    Toi qui n’as pas applaudi quand
    Les croquantes et les croquants
    Tous les gens bien intentionnés
    Riaient de me voir emmener
    Ce n’était rien qu’un peu de miel
    Mais il m’avait chauffé le corps
    Et dans mon âme il brûle encore
    A la manière’ d’un grand soleil

    [Refrain]

  9. SUITE DE L’affaire je me permets de revenir vers vous,
    Notre pervers national a donc fini par faire appel de la décision de la Chambre disciplinaire de l’Ordre départementale des médecins. En vérité, il l’a fait CONTRE MOI et pour gagner du temps, se faire encore et toujours passer pour une victime, lui qui connaît depuis 25 ans les décisionnaires en matière judiciaire et tous les journalistes qui font la pluie et le beau temps dans leur presse…
    Il s’agit pour nous de faire montre de derniers gros efforts car je risque trois ans fermes pour …quelques cartes postales faits pour lesquels j’ai déjà été emprisonnée…6 mois !
    Notre seul grande force, c’est d’inonder le plus de sites possibles de mon histoire, y compris avec pièces attachées pour preuves.
    Il m’arrive une très grosse injustice. Pourriez-vous en faire part et poster LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE ce qui m’arrive;
    En vous remerciant d’avance.
    Voici un site (qui n’est pas le mien) où vous trouverez des éléments de l’affaire :
    http://lesboseparatiste.canalblog.com/archives/2009/11/30/15988539.html
    Bien cordialement,
    Brigitte Brami

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