On en entend parler régulièrement sur le net, quelque soit le réseau utilisé et à chaque fois elles sont  traumatisantes et difficiles à supporter pour la personne concernée et son entourage. Quel intérêt y a-il à colporter de fausses rumeurs qui sont en général très vite démenties ?

La dernière fausse rumeur en date est celle qui concerne Jean Luc Delarue. Ce week-end dernier, le réseau Twitter a diffusé sa mort à tort, cela devient récurrent et totalement infamant à l’encontre des personnes concernées. Il y a quelques mois c’était la mort d’Alain Delon, de Céline Dion, d’Elie Semoun, de Bernard Montiel de Jean Dujardin qui faisait le buzz sur le Net et aujourd’hui on s’en prend à Jean Luc Delarue. Comme chacun sait, il a suffit que la presse annonce qu’il ne pourrait pas se rendre à son procès pour raison médicale et grande fatigue pour qu’aussitôt, cela se transforme en annonce funèbre. De telles pratiques sont indécentes et  la plupart du temps restent impunies dans la mesure où le fournisseur d’accès ne semble pas concerné par les contenus diffusés sur son réseau. Qu’en est-il du respect de la charte des utilisateurs des sites communautaires ?

Heureusement que son entourage et lui-même ont très vite démenti ce canular diffusé par un échotier people qui fréquente les soirées mondaines et n’hésite pas à propager des fausses rumeurs pour faire parler de lui.

Même si ce fossoyeur est bien connu des services de police et de la justice française pour avoir été condamné à de fortes amendes, il continue à sévir et à polluer la communication sur le Net.

Face à de telles pratiques et à si peu de moyens juridiques pour éradiquer ces fausses rumeurs, il convient d’être très vigilant dans l’utilisation de cet outil d’information rapide qui peut tout affirmer et son contraire en un laps de temps très court.

Ce genre d’individu, très souvent insolvable qui s’amuse avec la vie des gens devrait en plus être condamné à des amendes qu’il ne peut pas honorer, être radié des différents sites d’information et de communication sur le Net. Mais quand on sait qu’il est toujours possible de recréer d’autres comptes avec différents pseudonymes, il paraît nécessaire d’aller plus loin et de se donner les moyens de mettre en place un véritable arsenal juridique qui décourage définitivement ces hurluberlus.