L’avortement a été et reste encore aujourd’hui un sujet très controversé. Depuis plusieurs années, la position de plusieurs gouvernements s’avère en faveur de ce procédé. Le 9 mars dernier, le président Obama a entrouvert une porte que le gouvernement Bush a fermée depuis huit ans. Le problème des cellules souches est sans aucun doute un avancé phénoménal dans le monde de la science.

L’avortement a été et reste encore aujourd’hui un sujet très controversé. Depuis plusieurs années, la position de plusieurs gouvernements s’avère en faveur de ce procédé. Le 9 mars dernier, le président Obama a entrouvert une porte que le gouvernement Bush a fermée depuis huit ans. Le problème des cellules souches est sans aucun doute un avancé phénoménal dans le monde de la science.L’administration Bush a jadis interdit les recherches sur ces embryons et les a stoppées pour une période considérable.

L’ancien président avouait que ces expériences allaient mener la science directement au clonage humain. Il est vrai que si aucun encadrement n’est effectué au sein des organismes de recherche, la science dérogerait des principes moraux de la vie. Par contre, lors du rétablissement des fonds de recherches, le Président Barack Obama entend imposer des règles strictes afin que les principes moraux ainsi que la science n’entrent pas en conflit.Selon certains scientifiques, le retard qu’ont pris ces recherches est très important et ce n’était pas dans les habitudes des anciens gouvernements de restreindre ce type d’avancé médical. Les cellules souches sont très prometteuses car elles renfermeraient le remède contre des maladies incurables telles que l’Alzheimer, le diabète ainsi que le Parkinson. De plus, il serait possible d’utiliser ces cellules pour aider les personnes ayant des blessures à la moelle épinière.

Bref, d’un certain point de vue, il est primordial d’utiliser ces embryons afin d’enrayer ces problèmes ainsi que de trouver une solution aux plus grands maux de la santé. Les miracles sont à portés de main pour certains chercheurs. Le grand problème qui reste à débattre est qu’il faut détruire des embryons humains vivants afin d’exécuter ce type de recherche. Cependant, nous devons considérer le nombre d’avortement qui sont exercés à chaque année dans le monde. Ces «fœtus» auraient pu servir à trouver une solution à plusieurs maladies qui sont aujourd’hui, incurables.