Dans les coulisses des élections présidentielles, « Carla Bruni Sarkozy » cumule les gaffes et s’attire les foudres des médias, ce qui n’est pas forcément bénéfique pour son mari candidat. Il est parfois plus utile de se taire, surtout dans l’exercice difficile d’une campagne présidentielle ou toutes les paroles et attitudes sont analysées et éditées par les médias. Monsieur Nicolas Sarkozy, n’avait vraiment pas besoin que l’on rallume la mèche au sujet de son comportement jugé trop capitaliste qui lui coûte le désaveu des classes sociales modestes et une baisse sévère dans les sondages.
Coté entourage, il en est de même, tout est épié, enregistré, analysé et les paroles prêtées à son épouse et première dame de France, ne vont rien arranger. Traiter les journalistes de « Pinocchio » lui attire les foudres de la presse qui joue un rôle important dans une élection et qui oriente l’opinion publique en divulguant ou non certaines informations.
La première dame de France, forme une suite de qui la juge sur ses actions, sur son attitude générale et aussi sur ses paroles. Elle avait jusqu’à présent tenue sa place, gracieuse et distinguée dans les visites officielles et s’effaçant derrière un président très énergique, pour lui laisser gérer l’exercice qu’il maitrise le plus « le plaidoyer ».
Elle montre aujourd’hui son inaptitude à maitriser sa parole et ses déclarations.
Vous sous-estimez la fortune de la très modeste Carlita.
Selon Le Figaro qui n’est certes pas un journal gauchiste, elle posséderait au bas mot 18,7 millions d’euros. A savoir : un château près de Turin, une luxueuse propriété au Cap Nègre, un appartement à Paris Place des Ternes, et un hôtel particulier Porte d’Auteuil. Plus une petite dizaine de millions placés ici et là.
Dur, dur de faire populo dans ces conditions ! 🙁
http://www.lefigaro.fr/patrimoine/2008/02/04/05001-20080204ARTFIG00403-sarkozy-bruni-l-union-de-patrimoines-consequents.php
En plus elle est con et pas belle comme son mari