Blocus idéologique de l’ONU:que fait on des 156 viols du Rwanda?

 

L’Organisation des Nations Unis:

 

""Le viol est quelque chose qui arrive quasi-quotidiennement et personne n’entend parler de ces horreurs ""

 

Nous sommes au Rwanda,ou 156 femmes ont été violé en deux jours!

L’ONU ne comprend pas que personne ne soit sensibiliser par cette tragédie!

Ni même les droits de l’Homme!

Cela est previsible quand une organisation comme l’ONU ne se concentre seulement que sur la cause palestinienne,et Israël.

Dans le cas contraire ,les autres pays comme le Congo,le Pakistan ,Haiti et le Rwanda auraient plus d’aide humanitaire et des flottilles!!

 

C’est un groupe de rebelles Rwandais qui se sont invités dans un village de l’est du Congo et ont pillé et violé des centaines de femmes plusieurs fois!

Cela s’est passé le 30 juillet ,400 hommes armés ,ont mis la terreur dans chaque maison en volant frappant et violent des mère ,des jeunes filles..

 

Il ya pourtant des soldats las bas pour faire regner le calme mais apparemment ils étaient absent ces deux jours ci!

Ce pays et en proie aux FDLR,qui assassine sauvagement tous ce qui bougent et peut continuer librement son travail ethnique sans que personne ne lui empêche !

Les autres pays restent absent concernant l’aide à ses populations .

 

Seul deux pays pour l’instant propose une aide ,Israël avec une aide médicale et psychologique pour les victimes de ces viols et les État Unis avec une enveloppe de 17 millions de dollars contre cette violence sexuelle!

 

Pour comprendre un peu mieux ce que subissent ces femmes ,voici le récit de l’une d’entre elles qui a subit des viols en 2005 dans les memes conditions:

 

 

Elle s’appelle Lucienne ….

 

 

«  Dans la nuit du 12 décembre 2005, je dormais avec mes enfants. Je n’en avais que deux. Leur père était allé à Bukavu. Je me suis réveillée et j’ai vu une lumière énorme. J’avais peur et j’ai essayé de me couvrir le visage, mais ils ont tiré un de mes enfants hors du lit. Ils m’ont également tirée hors du lit et ils m’ont attaché les bras. J’ai laissé mon bébé sur le lit. Il était en pleurs. Ils m’ont jetée dehors, où un autre milicien des FDLR m’a attachée avec sa ceinture. Je les ai suppliés de me laisser prendre mon bébé qui pleurait. Ils m’ont dit que peu leur importait. Ils sont retournés dans la hutte et ont jeté mon bébé de côté.Ma belle-sœur était également avec moi dans la hutte. Ils l’ont sortie dehors elle aussi. Certains d’entre eux nous ont prises et les autres sont restés pour piller la hutte. Ils m’ont emmenée à la hutte de mes parents. Ils y étaient déjà allés en 2004 et ils avaient tué mon père et ma mère. Ils ont emmené mon frère qui était le seul à être resté sur le site et ils l’ont attaché. Ils sont allés ailleurs où ils ont pris une vache et une jeune fille. Ils les ont toutes attachées et les ont amenées à nos côtés. Ils se sont rendus à une autre ferme et ont amené une autre jeune fille. Ils nous ont ensuite emmenés vers une colline et nous ont jetées au sol pour nous violer. Ils ont donné une torche à mon frère pour éclairer la scène pendant qu’ils nous violaient. Lorsqu’il a essayé de résister, ils l’ont battu. Un des miliciens l’a visé au visage et l’a blessé. Ils nous violaient chacun à tour de rôle. Lorsqu’un finissait, ils prenaient de l’eau au ruisseau et nous en aspergeaient pour nettoyer le sang, puis arrivait le suivant. Lorsqu’ils ont eu fini, ils nous ont de nouveau attachés et, comme nous ne pouvions plus marcher, ils nous ont portés. Ils n’ont pas cessé de nous battre tout au long du trajet. Nous sommes arrivés à 7h00 du matin. Ils ont alors tué mon frère. Des femmes étaient attachées aux arbres. Après nous avoir également attachées aux arbres, ils ont détaché ma belle-sœur et d’autres femmes et ils les ont toutes tuées. Je suis restée avec la jeune fille qu’ils avaient enlevée dans la dernière ferme et ils sont partis. Vers 16h00, le chef des [Interahamwe] est arrivé et il leur a ordonné de ne pas tuer les survivantes car certains hommes n’avaient pas de femme et nous pourrions leur servir. Ils nous ont donné de l’eau pour nous laver et de l’huile pour le corps. Lorsque nous sommes arrivées à la hutte, j’ai vu ma jeune cousine, que je pensais morte. Elle m’a conseillée de ne jamais m’énerver. Nous avions de la chance d’être toujours en vie et en nous énervant, nous risquions de nous faire tuer et de ne pas pouvoir nous occuper de nos enfants. Elle m’a dit : « Je suis enceinte et malade. » Ils nous ont donné à manger, du fou fou [préparation à base de manioc ou de maïs] et de la viande. Dix jours plus tard, ils nous ont dit que nous devions rester sur place pendant qu’eux iraient au marché de Goa Goa pour faire les courses. Ils sont revenus avec trois vaches et 11 autres personnes. Ils en ont tué six au couteau et cinq par balle. Deux mois plus tard, la jeune fille s’est rendu compte qu’elle était enceinte et devait trouver le moyen d’avorter. Elle a souffert d’anémie et a fini par mourir. Je suis restée seule à souffrir toutes les brutalités. Lorsque je cuisinais, si je mettais trop de sel ou trop peu, ils me jetaient dans une prison où de l’eau s’infiltrait par un trou. Un jour ils m’ont jetée dans le trou. [Mais cette fois] j’étais déjà enceinte. Le 28 mars, ma cousine était sur le point d’accoucher. Ils ont demandé qui allait l’emmener au dispensaire [à l’hôpital]. Ils ont dit qu’ils la porteraient jusqu’à un site où je pourrais m’occuper d’elle et après l’accouchement ils enverraient quelqu’un du village pour me donner l’argent nécessaire pour payer le dispensaire [frais d’hôpital]. J’avais déjà essayé de m’échapper et, lorsque j’étais arrivée au milieu de la forêt, ils m’avaient rattrapée. Ils m’avaient alors jetée en prison et j’avais les jambes enflées. Le jour où j’ai accompagné ma cousine au dispensaire, ils m’ont déshabillée. Ils ont dit que si je gardais mes vêtements, je ne reviendrais pas. Ils ont emmené ma cousine jusqu’à la montagne Nabashaka, où ils m’ont dit de continuer mon chemin avec elle. Ils ne pouvaient pas se rendre au village car les villageois les arrêteraient. Nous sommes descendues la montagne jusqu’à déboucher sur une vallée où coulait un ruisseau. Dans un autre ruisseau, la femme d’un soldat était en train de laver des vêtements. Lorsqu’elle m’a vue, elle a pris peur car j’étais nue et elle a essayé de s’enfuir. Je lui ai demandé d’attendre. Elle ne comprenait pas mon dialecte, j’ai donc dû lui parler en Swahili. Elle pensait que j’étais folle ou que j’étais la femme d’un Interahamwe. Elle m’a donné le chemisier qu’elle portait et un pagne pour me couvrir. Nous sommes allées ensemble au baraquement des chefs. Le chef m’a demandé comment je m’étais enfuie. Je lui ai raconté mon histoire. Il a demandé à sa femme de me préparer à manger mais je l’ai informé que ma cousine m’attendait pour la porter au dispensaire. Il a demandé à cinq soldats de m’accompagner avec un brancard. Lorsque nous sommes arrivés à la route principale, nous avons vu le véhicule d’une organisation internationale. Les soldats ont demandé l’aide d’autres membres de la communauté dans le véhicule. Comme j’avais les jambes enflées, ils m’ont prise à bord du véhicule. Lorsque nous sommes arrivés au dispensaire de Walungu, ils nous ont dit que nous devions nous rendre à l’hôpital de Panzi après l’accouchement. A l’hôpital, les médecins ont dit que ma cousine ne s’en sortirait pas. Elle avait une infection de la poitrine et avait perdu un poumon. Elle est morte cinq jours plus tard. Des proches ont porté son corps au village mais moi je suis restée à l’hôpital de Panzi. On m’y a traitée car je souffrais d’une maladie sexuellement transmissible. Au bout de plusieurs jours, j’ai demandé la permission de voir mes enfants pour lesquels je m’inquiétais. Lorsque je suis arrivée chez moi, j’y ai trouvé mes enfants seuls. Leur père les avait abandonnés et avait fui de peur que je ne lui transmette la maladie que j’avais contractée dans la forêt. Mes voisins s’étaient occupés de mes enfants. Mon bébé, que les Interahamwe avaient jeté, était blessé à la poitrine et était à l’hôpital. Lorsque je me suis rendue à l’hôpital, j’y ai trouvé mon bébé, qui souffrait de malnutrition. Je l’ai ramené chez moi et je l’ai porté à un centre de nutrition pour demander du lait. Lorsque je suis arrivée à la hutte de mes parents, il n’y avait personne sur le site. Comme mon père n’avait pas pu payer pour la terre sur laquelle nous vivions, j’ai de nouveau été chassée. J’étais toujours enceinte. Je suis donc retournée à l’hôpital de Panzi. Je ne pouvais aller nulle part ailleurs. J’ai accouché le 28 septembre. A l’hôpital, on m’a donné des vêtements pour moi et pour le bébé car je n’avais rien et je suis partie. De retour à Walungu, je n’avais nulle part où dormir. Je suis donc restée dans les champs avec mon bébé. Quelques jours plus tard, j’ai appris que les miliciens (Interahamwe) étaient revenus car ils souhaitaient récupérer leur bébé. J’avais peur de retourner à Kaniola. Je suis restée à Walungu, mai je n’avais pas de toit. Une femme a entendu parler de ce qui m’était arrivé et, comme elle connaissait ma famille, elle m’a recueillie chez elle. Mais elle n’était pas non plus propriétaire de son logement et le propriétaire craignait que je n’attire les Interahamwe chez lui puisqu’ils me recherchaient. Ils avaient peur que cela ne leur nuise. J’ai recommencé à passer mes nuits dans les champs et je passais la journée chez diverses personnes. En participant à ce programme de [Women for Women], j’ai pu améliorer ma situation et j’ai commencé à vendre des bananes. Je vis avec une autre famille mais je n’y suis pas à l’abri. Un jour, alors que je rendais visite à une amie, j’ai rencontré de nouveau un Interahamwe. Lorsque j’ai essayé de me cacher, il m’a dit : « Pourquoi essaies-tu de te cacher ? Tu crois que je ne t’ai pas reconnue ? Tu es Lucienne et tu as notre bébé. » Il savait que j’avais rejoint Women for Women, qui m’avait donné beaucoup d’argent et il m’a dit que mon « époux » prévoyait de venir me récupérer. A entendre ces paroles, je me suis enfuie. La dernière fois que j’étais avec mon amie, j’ai vu deux autres miliciens au marché. Je m’étais alors évanouie. Mon amie m’a donné quelques morceaux de sucre trempés dans de l’eau mais elle ne savait pas pourquoi je m’étais évanouie car je ne lui avais rien dit. Lorsque j’ai repris conscience, elle a demandé des explications. Je lui ai demandé si elle avait vu les deux hommes qui se tenaient près de moi. Je lui ai dit qu’ils avaient participé au massacre de 11 personnes sous mes yeux. Depuis ce jour, je n’ai plus jamais passé la nuit chez elle, par crainte qu’ils ne viennent m’enlever. Je vous supplie, mes parrains et mes marraines, de m’aider à vivre en sécurité avec les miens."""

 

Voici une haine qui ne fait pas de trace,elle est muette et oublié de tous …

 

Fox

 

 

 

 

21 réflexions sur « Blocus idéologique de l’ONU:que fait on des 156 viols du Rwanda? »

  1. Encore un article pour faire diversion et cacher l’essentiel?

    « Au début du mois d’avril 1994, le Rwanda est entré dans l’épisode le plus tragique de son histoire. Dans les cent jours qui suivirent l’attentat contre le président Habyarimana, le gouvernement rwandais et les extrémistes Hutu tuèrent les trois-quarts de la population Tutsi du Rwanda. Utilisant des armes à feu, des machettes, les milices Hutu, les soldats et des citoyens ordinaires ont massacré probablement près de 800’000 Tutsi et Hutu modérés. »
    « Les Tutsi étaient tués
    pour le seul fait d’être nés Tutsi ».
    Alison Desforges, historienne à Human Rights Watch (HRW),
    témoignage devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda.
    « Contrairement à une certaine vision journalistique du génocide, présenté comme résultant d’un défoulement tribal atavique, ce génocide est le résultat d’une politique délibérée d’une élite décidée à garder le pouvoir et se sentant menacée par les avancées du Front Patriotique Rwandais (FPR) sur son territoire.
    Dès 1990, le gouvernement avait mis en place une propagande de grande ampleur : l’ethnie tutsi est progressivement identifiée comme étant l’ennemi. Les médias, et tout particulièrement la tristement célèbre Radio Télévision des Milles Collines, ont joué un rôle important dans la diffusion de la propagande du régime en place et ont lancé des appels au génocide. Les milices Interahamwe et Impuzamugambi furent entraînées par la Garde présidentielle et des membres de l’armée.

    La Mission des Nations unies pour l’assistance au Rwanda – MINUAR -, présente depuis la fin 1993, assiste impuissante à l’armement de la population et à la mise en place d’une véritable  » machine à tuer « .
    Cette planification du génocide a été confirmée par trois experts nommés par le Conseil de sécurité des Nations unies en décembre 1994. »
    « Durant le génocide, la France soutient le désengagement des Nations unies au Rwanda par le vote au Conseil de sécurité de la résolution 912, le 21 avril 1994, qui réduit la MINUAR à moins de 300 hommes sur le terrain. »
    lire la suite…[url]http://www.aidh.org/rwand/ong-amnesty.htm[/url]

  2. Silence assourdissant et coupable des médias sur ces génocides oubliés…

    PS :[i]commentaire indécent et abject de Naja Plumette…..[/i]

  3. Poignant témoignage que de cette jeune femme… Et combien d’autres subissent le même sort ?
    Plumett, là je ne vous comprends pas ? Les autres subissent certainement des misères atroces aussi, faîtes un article ! Là c’est pour parler des viols subit au Rwanda ! Vous êtes une femme, vous devriez comprendre cette horreur qu’elles vivent !

  4. J’utilise un clé 3G je n’arrive pas à visionner votre vidéo entière et correctement. Pensez-vous que la religion, divisée ou pas, unis ou pas,soit un prétexte pour toutes ces ignominies ? Non, ce n’est pas possible. On ne peut comprendre pareille chose…
    Puisque vous avez l’air d’en savoir plus que nous, dîtes-nous ce qu’il y aurait à faire dans ce pays pour que ces femmes ne subissent plus ces viols de torture ?!

  5. Le problème, Nathalie, c’est que Fox fait beaucoup de propagande, on la subit avec les grands médias, mais ici on a la possibilité de ne pas la subir!
    En France il y aurait 25 000 viols par an c’est à dire 69 en moyenne par jour! En admettant que les chiffres de Fox sont réels, ce dont je doute, on n’est pas si loin du Rwanda!

  6. Oui, sur le point là, vous avez raison, il y a des un nombre incalculable de femme qui se font aussi violer en France. Peut-être avec moins de violence, enfin, pas pour tout le monde. Le problème en France c’est que beaucoup se taisent parce que cela se passe en « petit comité ». Dans ces pays comme le rwanda, ils arrivent en masse et prennent en masse.
    C’est vrai que dans la forme c’est du similaire. En France, si un homme viole une femme, il faut tout le tralala pour le prouver, surtout s’il elle n’a pas eu possibilité de se débattre. Au Rwanda, les hommes arrivent avec une extrême violence et en prennent 10 d’un coup pour les violer. En France on peut voir une femme se faire violer et fermer sa gueule. Par contre si on en voyait 10 se faire violer, là on l’ouvre. ET c’est pourquoi cela choque quand on entend un témoignage comme celui que Fox nous a transmis.

  7. « quand une organisation comme l’ONU ne se concentre seulement que sur la cause palestinienne,et Israël »

    mort de rire…

    on se demande qui en fait une obsession ici. N’importe qui de pas completement obnubilé peut aller consulter le site pour avoir une idée
    http://www.un.org/fr/

    sur le site lui meme, la situation au moyen orient n’arrive qu’en cinquieme position, derriere les Inondations au Pakistan, les Objectifs du Millénaire pour le développement, le Partenariat pour un monde meilleur et…les changements climatiques. on a connu mieux comme focalisation ;D

    au planning des evenements pour septembre/octobre, il y a :

    Journée internationale de l’alphabétisation
    8 septembre

    Forum mondial des exportations pour le développement EN
    9 – 12 septembre

    Journée mondiale de prévention du suicide
    10 septembre

    Conseil des droits de l’homme (15e session)
    13 septembre – 1er octobre, Genève

    Comité des droits de l’enfant (55e session) EN
    13 septembre – 1er octobre, Genève

    Ouverture de la 65e session de l’Assemblée générale
    14 septembre, New York

    Journée internationale de la démocratie
    15 septembre

    Journée internationale de la protection de la couche d’ozone
    16 septembre

    Sommet sur les objectifs du Millénaire pour le développement
    20 – 22 septembre, New York

    Journée internationale de la paix
    21 septembre

    Débat général de la 65e session de l’Assemblée générale
    21 septembre – 1er octobre, New York

    Réunion de haut niveau pour marquer l’Année internationale de la biodiversité
    22 septembre, New York

    Journée maritime mondiale
    23 septembre

    Réunion d’examen de haut niveau de l’Assemblée générale des progrès réalisés pour réduire les vulnérabilités des petits États insulaires en développement
    24 – 25 septembre, New York

    Journée mondiale du cœur
    26 septembre

    Journée mondiale du tourisme EN
    27 septembre

    Conférence mondiale sur l’éducation et la protection de la petite enfance
    27 septembre

    ah oui vraiment, ils font rien d’autre qu’à embeter Israel à l’ONU 😀 😀 😀

  8. Mais cela n’empêche qu’accuser quelqu’un de vouloir faire diversion en parlant de ces viols, c’est pousser le bouchon un peu trop loin. Imaginez vous vous faites violer, vous le dîtes pour que ce crime ne reste pas impunis et on vous accuse de vouloir faire diversion ?! Comment réagiriez-vous ?

  9. le probleme Nathalie, c’est que l’article ne s’apelle pas simplement « viols au rwanda » mais « blocus ideologique de l’onu »…et accuse direct l’onu d’etre obnubilé par israel. puis enfin on cause de l’assault. et on rappelle pour finir que c’est israel qui file une aide.
    et tu comprends pas ?

    alors diversion est pas forcement le meilleur mot, mais pour ce qui est de pousser le bouchon un peu (trop?) loin , il me semble qu’utiliser des viols au Rwanda pour faire de la retape de relations publiques d’Israel, ça se pose là aussi…

  10. Diversion ou pas, la question n’est pas là. Les viols commis en france ou ailleurs, partout dans le monde, sont innacceptables. Je condamne haut et fort tous les violeurs d’ici et d’ailleurs, qu’ils aillent au diable se faire pendre. Les violeurs sont des assassins qui ne réagissent qu’avec leurs sales bites.
    Je les hais de toute ma force, j’ai honte d’être un homme en lisant ce genre d’article. Si j’avais un pouvoir magique, je peux vous dire que je m’en servirais…

  11. [b]Nathalie
    mon combat est celui des victimes des pays dictacteurs qui nous envahissent tous les jours un petit peu plus,et dont je suis voisine!
    Oui je condamne l’onu qui en fait trop concernant le conflit israelo palestinien et oublis toutes ces minorités!!
    Et oui israel est un des premiers pays qui accorde son aide au Rwanda mais seul les gens haineux ne l’acceptent pas!
    MERCI POUR TON PASSAGE
    fox[/b]

  12. c’est qui qui t’envahit chaque jour un petit peu plus, sois plus précise, c’est pas très clair (voire trop foncé pour toi ? 😀 )

  13. je suis toujours étonné de la position de L’ONU, dans divers événements qui se passent dans le monde. On programme le génocide au RWANDA; et cela prend des grandes dimensions, pour les 800 morts, dans la guerre de KAGAME( actuel Président du Rwanda),( le vraie auteur de la génocide)et ONU, a fermé les yeux sur les millions de morts en R.D CONGO causé par toujours KAGAME.
    Les violes dont sont l’objet les femmes congolaises n’intéressent pas l’ONU.Elles ne sont pas des femmes.Qui violent au RWANDA?Ce sont de rwandais et au Congo Démocratique qui violent? Toujours de RWANDAIS, …EN quoi le rwandais est-il plus humains que le Congolais?

  14. Hyron, comment savez-vous ce que vous dîtes ? Y êtes-vous allés ? Ce ne sont vraiment que des rwandais qui violent ? Ce que je ne comprends pas, c’est comment on peut laisser au pouvoir un président qui fait de la dictature ? Là dessus l’ONU ne peut rien faire ? N’y-a-t’il aucune loi qui permettent de destituer de ses fonctions toutes personnes qui ne guiderait pas correctement son peuple ?
    Toroto, Fox est une grande croyante alors je ne pense pas que la couleur soit son problème !
    Citron Pressé je conçois votre colère qui est mienne aussi. Comment peut-on accepter cela ? Quelque soit sa couleur, son ethnie, sa religion, un viol est un crime ! Et ceux qui les commettent sont des hommes qui n’ont rien d’humains.

  15. NATALIE,je souhaite que vous puissiez suivre vous même celui qui fut le conseiller spécial du Dictateur MOBUTU5 (DÉFUNT PRÉSIDENT du ZAIRE)sur sa propre radio dont voici le site http://www.radiotvlobiko.com, ou encore http://www.radiotvmbendele.net, là vous saurez comment KAGAME avez sagement monté son coup.
    Je constate que le droit international n’a pas de force d’application.

  16. Pourquoi l’ONU hausse le ton contre les viols
    Apparemment l’ONU cherche une monnaie d’échange pour justifier sa présence la plus importante au monde en RD CONGO;
    aujourd’hui les viols sont devenus un cheval de bataille de l’ONU, en RD CONGO.Il se fait que le gouvernement congolais a demandé à l’ONU de se retirer totalement en 2011; comme astuce, les viols passent en première position ;comme si tout ce temps de guerre ils ne voyaient pas ces viols et les violeurs.c’est une distraction.

  17. encore un article très touchant, bien sur tu savais bien que les détracteurs habituel serais venu, c’est dommage car leurs haine envers toi et surtout les Juifs les rendes aveugles.
    9a me touche beaucoup ce qui se passent dans ses pays, j’y suis né au Congo-belges,et j’aime beaucoup l’art africains.

    Je ne comprendrai jamais pourquoi dans le monde on bouge si peu pour essayer de sauver ses pays, les sois disant soldats africains fermes leurs yeux on se demande pourquoi leurs armée ne bouge pas.

    je te mes + 5 pour ton article et surtout ne répond plus aux détracteurs.

    bisous à toi

  18. Hyron, je n’arrive pas à lire vos liens.
    Il est vrai que je n’ai pas entendu que des choses positives sur l’ONU et qu’ils ne bougent pas suffisamment leurs fesses…
    Eric, ne les traite pas de détracteurs, chacun essaye de défendre sa cause. Le problème c’est que plus personne ne sait comment penser juste en fonction de ce que l’on entend, de ce que l’on sait, de ce que l’on voit. Il y a des injustices des 2 côtés.

  19. http://www.radiotvlobiko.com et radiotvmbendele.net,
    Puisque l’injustice c’est trouve de deux coté que faut-il faire?; il revient à la population de se prendre en charge et se faire justice, car elle est abandonnée , je félicite ici le peuple malgache, bien qu’ils ont commis d’erreurs, mais au moins ils ont chassé une équipe de gens qui se la coulait douce , pendant que le peuple croupissait dans la misère.Comment peut-on acheter un avion personne de 1000000 us$, sur le dos du peuple.

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