Jusqu’où le pouvoir états-uniens est-il capable d’aller pour prendre le reste du monde pour des cons ?

Qui ne se rappelle la mascarade fomentée par le pouvoir US pour aller faire la guerre en Irak.

Aujourd’hui tout le monde est au courant des fausses preuves présentées à l’ONU, et tout le monde est conscient du ridicule même de toutes ces interventions des États-Unis qui étaient d’une grossièreté sans pareil.

Le pouvoir États-uniens a-t-il tiré comme conclusion de cet épisode onusien qu’il pouvait aller encore un peu plus loin dans l’incroyable et que les nouvelles couleuvres qu’il a décidé de faire avaler à la planète entière passeraient comme une lettre à la poste.

Le scénario imaginé pour la mort de Ben Laden est digne d’une très mauvaise fiction hollywoodienne, dont aucune personne censée ne peut être dupe.

Aller jusqu’à jeter, soit disant, le corps dans la mer, dans un endroit « secret » est la faille la plus grossière de cette invraisemblance.

Quel dommage d’avoir fait cette immersion pour respecter la religion de Ben Laden alors qu’il aurait été tellement plus simple et intelligent si cette histoire aurait eu un début de véracité en rapatriant le corps et en l’exposant aux États-Unis où la liesse populaire aurait pu ainsi s’exprimer dans la joie.

Barack Obama, prix Nobel de la paix 2009, ce qui, comme tout le monde l’aura compris, discrédite totalement cette belle institution qu’était le prix Nobel, a montré depuis son élection qu’à part un faciès sympathique et une aisance devant les médias, qu’il n’était strictement bon à rien, et le peuple états-uniens, un des plus manipulés au monde s’étant rendu compte de son incapacité a commencé à le lâcher et les sondages ne lui sont plus favorables.

Quelle aubaine pour Barack, ce faux acte de gloire pour le faire remonter dans l’opinion états-unienne et ainsi espérer rester au pouvoir.

Il fallait oser cette mise en scène improbable et grossière, ce qui ne pouvait germer que dans des esprits tordus et malades pour arriver à des fins inavouables.

Et pour couronner le tout n’ayant pas peur de rajouter du fantastique à invraisemblance, la coalition du pouvoir états-uniens et de l’église catholique, tout les deux en perte de vitesse grave, on fait coïncider deux actualités créées de toutes pièces.

Et voilà deux morts, depuis longtemps, qui sont les vedettes de la nouvelle super co-production : les USA et le Vatican présentent «  Un miracle sinon rien », réservé à un public aveugle et sans cervelle.

En effet le jour même de sa béatification, « Popol » n’a pas hésité une seconde pour faire son premier miracle.

Son choix s’est porté, après concertation avec Barack Obama, pour supprimer une deuxième fois ce terroriste de Ben Laden. Qui nous avait aussi caché sa résurrection « Deux morts valent mieux qu’un tue l’aura ».

Dès aujourd’hui le monde va beaucoup mieux et chacun de vous aura remarqué qu’il est plus heureux.

Nous attendons avec grande impatience le deuxième miracle de « Popol » qui sans aucun doute sera encore plus grandiose et nous attendons également le prochain mensonge abracadabrantesque de Barack. (que vous pourrez voir très prochainement sur vos écrans télé!)