DJERBA n’est pas une ville mais une île Tunisienne , petit bout de terre posé en méditerranée au sud est du pays, dans le golfe de Gabès .
Séparée de l’Afrique par quelques encablures que l’on enjambe grâce à la chaussée romaine ou en prenant le bac , elle profite du climat aride du désert dont elle est aux portes, tempéré par le climat méditerranée .
Séparée de l’Afrique par quelques encablures que l’on enjambe grâce à la chaussée romaine ou en prenant le bac , elle profite du climat aride du désert dont elle est aux portes, tempéré par le climat méditerranée .
C’est donc une température privilégiée que l’on y trouve et des moments pluvieux assez rares. L’été n’y est pas caniculaire, l’hiver est clément avec 5° environ de plus que sur nos côtes varoises (sans les bourrasques du mistral et du vent d’ est porteur de pluie) ,On peut aisément s’y baigner en octobre /novembre , et en mars …
Spot touristique que l’on retrouve chez tous les tour operator comme Nabeul , Hammamet ou Tabarka elle a su préserver son authenticité pour ceux qui aiment le "vrai" et y allier le côté plus "vendeur" avec plages de rêve, piscines aux décors féériques , souks et marchés pour touristes , sport : de l’ équitation au golf en passant par jet ski, quad etc…
Judicieusement , seule un côte de l’île abrite les hôtels; du "seulement charmant" au "palace" . On peut donc choisir de vivre Djerba sans croiser un instant la vie djerbienne ! mais on peut aussi sortir des sentiers battus et partir à la découverte d’un monde différent où les djerbiens facilement viennent à votre rencontre.
Djerba (que l’on trouve aussi écrite Jerba) déroule ses plages magnifiques bordées de palmiers à 300 kilomètres à peine de l’oasis de Tozeur qui se love au milieu du désert tunisien.
Berbères, arabes, juifs , se partagent ce bout de terre ; mais ils ne sont pas les seuls à avoir eu envie d’y mettre le pied ! sans parler d’Ulysse que vous retrouverez dans tous les magazines de voyage , ou les européens venus poser leurs valises pour quelques jours ou pour y passer une retraite agréable, il y a eu les espagnols qui au 16ème siecle ont été repoussés par le corsaire Dragut par exemple . De son histoire, l’île a gardé les traces parsemées sur son petit territoire qui couvre un peu plus de 500km² .
Judicieusement , seule un côte de l’île abrite les hôtels; du "seulement charmant" au "palace" . On peut donc choisir de vivre Djerba sans croiser un instant la vie djerbienne ! mais on peut aussi sortir des sentiers battus et partir à la découverte d’un monde différent où les djerbiens facilement viennent à votre rencontre.
Djerba (que l’on trouve aussi écrite Jerba) déroule ses plages magnifiques bordées de palmiers à 300 kilomètres à peine de l’oasis de Tozeur qui se love au milieu du désert tunisien.
Berbères, arabes, juifs , se partagent ce bout de terre ; mais ils ne sont pas les seuls à avoir eu envie d’y mettre le pied ! sans parler d’Ulysse que vous retrouverez dans tous les magazines de voyage , ou les européens venus poser leurs valises pour quelques jours ou pour y passer une retraite agréable, il y a eu les espagnols qui au 16ème siecle ont été repoussés par le corsaire Dragut par exemple . De son histoire, l’île a gardé les traces parsemées sur son petit territoire qui couvre un peu plus de 500km² .
Le paysage est très plat, le mont le plus élevé dressant ses contreforts à , à peine 50m ! c’est sur ce point le plus élévé de l’île, dans le village des potiers de Guellala (dont je vous parlerai ultérieurement ) que se situe le musée du patrimoine .Rencontre brève avec costumes et coutumes traditionnels de l’île.
Une fois abandonnée la route touristique située à l’est de l’île, vous decouvrirez de nombreux petits villages, les villes les plus importantes restant Houmet Souk , la "capitale" , et Midoun la ville la plus étendue mais principalement composée de campagne : champs d’oliviers, vignes , palmeraies …
Une fois abandonnée la route touristique située à l’est de l’île, vous decouvrirez de nombreux petits villages, les villes les plus importantes restant Houmet Souk , la "capitale" , et Midoun la ville la plus étendue mais principalement composée de campagne : champs d’oliviers, vignes , palmeraies …
un extrait de ma video :
{youtube}FFshtCMiVHY{/youtube}
à suivre
Merci Awanekkinnan, grâce à vous je viens de retrouver le plaisir de mon séjour à Djerba début octobre, c’est rudement agréable , un dimanche soir pluvieux de fin novembre !
votre article restitue fort bien le mélange qui existe dans cette île entre la tradition et la vie vraie et l’économie touristique presque entre parenthèse ! il suffit en effet de s’éloigner un peu des hôtels et des plages pour se confronter avec le réel, parfois « comme chez nous » parfois plus difficile ( les soldats en arme à l’aéroport de Zarsis …. ou dans les rues )
quand à votre video c’est une merveille et je ne peux qu’encourager nos lecteurs à s’y précipiter !
bravo encore et je vote un grand super ..
Merci Mum pour ce commentaire, j’espère en effet donner envie à beaucoup de choisir pour prochaine destination cette superbe région de Tunisie .
j’y retourne Jeudi et dès mon retour 15 jours plus tard je ne manquerai pas de partager avec vous les jolies choses que j’aurai vues ou revues , les instants « riches » que j’y aurai vécu .
Bonne soirée, au coin du feu peut être ? et si cela vous console, ici aussi sur la côte varoise, il fait frais et pluvieux!
[b]Voyage à Djerba, où comment nous sortir de la morosité ambiante!
Je viens de faire l’espace de la lecture de cet article un voyage, où le soleil est « roi », et où tout semble sourire aux heureux touristes, !
Je vous envie, Awanekinnan
Je vous envie MUM,
J’ai beau vanter le sable blanc de mon TOUQUET, je ne pourrai jamais y transposer, le climat méditerranéen, ni le folklore que l’on trouve en Tunisie
Meci pour le voyage,
« Bien arrivée, j’attends la prochaine excursion promise »[/b]