Depuis une trentaine d’années, le terme «réfugié environnemental» est employé. Ce terme désigne une personne qui a quitté son lieu d’origine vu sa grave dégradation environnementale.
Le phénomène de la désertification est l’une des ces causes. La désertification est causée par le réchauffement planétaire et ce dernier s’effectue très lentement. Le problème est que, vu que le processus est lent, il n’attire pas l’attention médiatique comme le font les cyclones, les tremblements de terres et les éruptions volcaniques qui sont, contrairement à la désertification, d’origine naturelle. Ainsi, avec le réchauffement planétaire, les inondations seront plus présentes dans les décennies à venir ce qui mènera à une perte de terres habitables. La perte de ces portions de terre amènera le mouvement de population qui quittera pour d’autres endroits où la vie est meilleure.
Des études démontrent que d’ici 2050, le nombre de réfugiés variera entre 150 millions à 1 milliard. Qu’allons nous faire de tous ces gens? Il ne faudrait surtout pas oublier que ces personnes ne font pas partie d’une catégorie reconnue et protégée de migrant. Généralement, l’État porte très peu assistance à ces gens, qui selon moi , devraient être protégés! Certains diront que ce sont des importés que nous devons encore et encore accueillir mais je crois que ce n’est pas la même chose vu la raison de leur déplacement. La cause de leur déplacement est le réchauffement climatique, qui est causé par nulle autre que nous. Les gens vivant dans les pays se situant proche des océans seront inondés en premier donc ils fuiront leurs pays vers d’autres endroits plus sécuritaires comme nos pays.
Bref, je crois que ces gens devraient bénéficier d’une aide le plus vite possible! On ne peut laisser ces gens dans la misère car ils ne cherchent qu’à sauver leur vie! Si nous étions à leur place, je crois que nous voudrions bien que quelqu’un fasse ça pour nous.