L’aide sociale, sécurité ou privilège ?

Je trouve que le gouvernement québécois est trop mou. L’aide social, ça le dit, est sensé aider les gens en difficulté financière. C’est une sécurité financière qui permet de survivre pendant un certain temps lorsqu’il y a perte d’emploi ou une situation particulière. Par contre, je crois que certaines personnes abusent de ce système qui devrait être révisé.

 

Pour commencer, mettons une chose au clair immédiatement, j’exclus toutes les personnes malades, invalides ou pour une autre raison qui les empêche de travailler. Je parle ici des personnes comme monsieur et madame tout le monde.

 

Comment régler le problème ? Voici mes solutions.

 

Premièrement, un temps limite aux personnes se retrouvant sur l’aide social dans le même style que les gens sur le chômage. Par exemple, je perds mon emploi aujourd’hui et je fais une demande d’aide social car j’ai une famille à nourrir. Par contre, je ne devrais pas avoir le droit à l’aide social pour une période infini comme plusieurs personnes l’ont présentement. À l’intérieur d’une période d’un an, je crois que c’est suffisant pour se trouver un nouvel emploi. Par contre, c’est plaisant d’avoir de l’argent à rester chez soi, donc les gens continuent. Pourquoi ne pas leur faire faire le ménage de la ville ? Le ménage des bâtiments ? Travailler dans l’armée ? Ça devrait être ça, l’aide social. Donne du travail au gens pour améliorer la qualité de l’environnement dans lequel nous vivons, car peu de gens veulent faire ce travail.

 

Deuxièmement, il y a ceux qui prennent l’argent qu’ils reçoivent du gouvernement, donc des citoyens « normaux », pour tomber dans l’alcool et/ou la drogue. Des tests de dépistages devraient être effectués aléatoirement pour tous les gens sur l’aide social, autant ceux en santé apte à travailler que ceux inapte à travailler. Cette méthode diminuerait la dépendance à la drogue et l’alcool et de plus, nous serions certains, nous chers contribuables, que notre argent sert bel et bien à aider des gens qui vivent une situation difficile à survivre et non pas à tomber dans un état pitoyable.

 

Troisièmement, le luxe dont bénéficient certaines personnes est inacceptable. Je parle entre autre de l’abonnement à Internet, aux chaînes de télévision spécialisées, aux belles télévisions ou aux ordinateurs neufs. Ceci n’est que quelques exemples dont certaines personnes s’offrent avec notre argent, encore une fois. Je crois qu’une inspection serait nécessaire à quelques places.

 

L’aide social est un point qui devrait être revu par le gouvernement du Québec. Il y a de gros manque et je crois que la population a le droit d’exiger que la meilleure solution soit en application lorsqu’il s’agit de leur argent.

 

Sébastien Bergeron