L’être humain est de nature influençable. On pourrait même dire qu’il obéit d’une certaine façon à ce que la société attend de lui. Dans notre monde actuel, les femmes occidentales sont gravement atteintes par un virus de source médiatique. Les femmes sont obsédées par une beauté bien définie. Afin d’être « belle », il faut correspondre à des critères tels que la minceur et la jeunesse. Ce phénomène agit à la fois sur la santé psychologique et financière de la gent féminine.
Depuis son existence, le monde des médias ne cesse de promouvoir une beauté presque inatteignable. Si avoir la minceur requise est accessible pour certaines, nul n’a encore inventé l’élixir de jeunesse éternelle. Les médias tentent de donner l’illusion qu’on a besoin d’être aussi mince et jeune pour connaitre le bonheur. Par la même occasion ils tentent de nous convaincre d’acheter des produits qui nous permettraient de nous rapprocher de ce bonheur (sans jamais vraiment l’atteindre). Il s’agit principalement d’une technique pour vendre davantage de choses inutiles. Outre que vider le portefeuille des consommatrices, l’abus de messages sur la minceur et la jeunesse joue sur le moral des femmes de tout âge. Une femme trouve elle-même des tonnes de défauts à son propre corps. Elle n’a pas besoin de se faire ajouter des tourments sur son physique par une entité omniprésente. On voit alors apparaître de gros problèmes d’estime de soi qui mènent à un malheur constant. En plus d’avoir cet effet sur le moral des femmes, la volonté de maigrir peut avoir de graves répercussions sur leur santé.
Aujourd’hui, la plupart des gens croit que les combats pour la libération de la femme sont terminés, mais à mon avis, ils ont tort. Faute de recevoir des ordres de la part des hommes, on en reçoit par le moyen de la publicité. Cette publicité dit implicitement que si tu ne ressembles pas au standard bien défini, tu n’es pas belle. Qu’elle genre de société sommes-nous pour laisser des images avoir autant d’influence sur nos consœurs ? Je crois qu’il y a encore du travail à faire afin de libérer la femme de la pression moral qui lui est infligée.
Pour conclure, les publicistes exercent une pression sur les femmes afin qu’elles aient la volonté de correspondre à des critères fixes. Ce qui a des conséquences au niveau de la santé, physique, mentale et financière des citoyennes de ce monde. En terminant, je crois qu’à notre époque, nous sommes en mesure de redéfinir ce qu’est une femme. C’est à nous d’agir afin de vaincre les pressions exercées sur les femmes et, qui sait, peut-être un jour la femme vivra heureuse sans chercher à atteindre une beauté inaccessible.
Bibliographie
http://www.peripheries.net/article225.html
http://www.media-awareness.ca/francais/enjeux/stereotypes/femmes_filles/beaute_image.cfm
bonjour
un seule remede jeter votre tele
marsoin