Aristote l’homme animal raisonnable et politique

L’homme est part nature un homme animal politique. Cependant,le fait que l’homme est vu comme un animal cela ne le rapproche pas des animauxcomme une abeille ou tout autre animal vivant en groupe élevé évidemment.L’homme est le seul animal qui possède la parole, de toute façon elle sert qu’aexprimer la joie et la peine que peuvent aussi ressentir les animaux quiressentent eux aussi du plaisir et de la douleur qui sont capable de fairesavoir aux autres. Le discours sert avant tout à différencier le nuisible etl’utile puis le juste et l’injuste. C’est les choses différente de l’homme parrapport au animaux soit d’avoir le sentiment du bien et du mal ou du juste àl’injuste. C’est ces sentiments qui regroupent une famille ou cité.                                                            

La cité est un fait denature.

Aristote dit que l’existence sociale ou politique est naturelle à l’homme.

°Aristote est contre les penseurs qui disent que l’homme est par nature insociable, rebelle à l’état civil.

°L’existence social n’est pas un simple artifice que des humains inventent pour résoudre les problèmes à leur survie. Cependant, la sociabilité n’est pas une tendance naturelle selon Rousseau, elle vient de la contrainte des besoins, des accidents de l’histoire mais pas de mouvement naturel. Cette thèse plutôt appelée artificialiste ou conventionnaliste est unefaçon de voir les choses différemment comme Protagoras, Hobbs ou encoreRousseau.

°C’est le contraire pour Aristote qui pense que l’homme tendpar nature à vivre en cité.

Citation : «Personne ne choisirait de posséder tous les biens dece monde pour en jouir seul, car l’homme est un être politique et naturellementfait pour vivre en société. Éthique àNicomaque»

L’être qui par nature et non accidentellement existe horsd’une cité n’est pas un être humain (ex: Les enfants sauvage).

°Par défaut: C’est autre chose qu’un homme, soit une bête ou une brute parce-que il est incapablede vivre en cité donc étranger au fins que réalise une cité. C’est lors d’unerelation humaine que l’homme se sent comme un homme car il peut déployer sa vertu propre. Cette vertu est celle d’avoir une raison de noué des rapports d’amitié et de justice avec les autres. Le contraire dit qu’un homme qui vit hors de la cité est comme une bête car il est prisonnier de la servitude du besoin et comme la brute qui est soumis à la sauvagerie de ses impulsions. Les hommes ont une vie sociale grâce à l’amitié qui a comme but le bonheur.

°Par excès: L’hommequi peut se passé d’appartenir à une cité car il s’auto suffit, en d’autre motc’est un Dieu. Il peut aussi arrivée à l’homme d’être suffisant a soi et dubonheur des dieux. Cependant, Aristote croit qu’il est impossible de maintenirune vie à ce niveau.

Citation : « N’est-ce pas là la vie trop hautepour être une vie d’homme? Car ce n’est pas en tant qu’il est homme que l’hommevivra de la sorte mais en tant qu’il a en lui   quelque chose de divin; or autant ce quelque chose de divin l’emporte sur le composé,a utant son activité l’emporte sur l’activité selon les autres vertus. Si c’est donc du divin que l’intellect au regard de l’homme, ce sera aussi une vie divine que la vie selon l’intellect au regard de la vie humaine. Étique à Nicomaque»

 

Pierre-André Simard 

Une réflexion sur « Aristote l’homme animal raisonnable et politique »

  1. Et voilà un bon début de discussion philosophique, et aucuns commentaires!!!:P

    J’ai commencé à lire Nicomaque, mais pas encore fini… Entre temps j’ai découvert Platon, Plotin, Nietzsche, Pascal, Confucius, et je continue sur cette lancée.
    La pensée d’Aristote est souvent trop , comment dire, trop dirigée pour moi.
    Oui, je dirais qu’Aristote a une façon « rigide » de philosopher!

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