Apprendre à se soigner différemment.

 

Face au scandale du Médiator et à l’annonce faîte par des spécialistes en médecine que de nombreux médicaments ne servent à rien et sont parfois nocifs pour la santé, on se pose de plus en plus la question de savoir s’il est encore souhaitable d’absorber toutes ces molécules pour se soigner. Pourquoi ne pas se tourner tout simplement vers les médecines naturelles probablement moins toxiques pour l’organisme.

 

Cela fait déjà plusieurs années, que je suis sceptique à l’encontre des médicaments prescrits, dans le cadre de la médecine classique, j’ai l’impression à chaque fois de ne pas les supporter et de subir  la plupart du temps tous les effets secondaires. Je préfère quand cela est possible me soigner de façon naturelle, soit par l’homéopathie, l’acupuncture et l’aromathérapie qui me procure davantage de résultats et n’agresse pas l’organisme. C’est vrai que l’effet n’est pas toujours immédiat, il faut faire les traitements dans la continuité et être bien conseillé dans ce domaine par des praticiens diplômés. Car il paraît nécessaire que chacun puisse s’y retrouver et faire la part des choses pour éviter les erreurs.

 

J’ai récemment eu l’occasion de tester les produits à base d’aloë vera sous différentes formes pour soigner différents maux, comme l’arthrose, les migraines le sporiasisme, les douleurs articulaires, la colopathie fonctionnelle et bien d’autres choses encore et je peux vous affirmer que j’en suis très satisfaite. Comme pour toutes les médecines naturelles, il est souhaitable de faire des cures de 2 à 3 mois selon les cas, mais cela n’est en aucun cas contraignant, si ce n’est que le fait de respecter scrupuleusement la posologie et la périodicité du traitement.

 

Faire une séance d’ostéopathie, plutôt que d’avaler des anti-inflammatoires qui vous rongent l’estomac et vous détraquent la flore intestinale, cela paraît beaucoup plus efficace et à des effets bénéfiques à plus long terme sur l’organisme.

Je pense qu’il faut avant tout éviter de se gaver de pilules, dès que l’on a mal quelque part et essayer de voir s’il n’est pas possible de trouver un remède naturel qui puisse correspondre à notre mal.

Cela permet d’éviter les risques à long terme et d’apprendre qu’en ayant absorbé un médicament pendant de nombreuses années, cela a généré d’autres pathologies plus ou moins graves.

3 réflexions sur « Apprendre à se soigner différemment. »

  1. [b]J’applaudis des deux mains ! Je crains cependant que cet article de qualité ne passe pas la rampe au delà de C4N…
    En tout état de cause les effets « cocktails », mélange de 2 médicaments sans effets secondaires qui deviennent toxiques ensemble y compris avec un troisième booster!, la faculté n’ayant pas le temps ni les budgets pour en faire les études pendant que des sommes ahurissantes sont dépensées en marketing et autres symposium médicaux avec force hôtesses, ne sont pas prêts de s’arrêter…[/b]

  2. Un cycle qui tourne. Les premiers médicaments étaient les plantes, base ensuite des premières préparations des pharmaciens, mais la aussi la loi de la rentabilité à remplacé le vrai par le faux via la chimie des hommes, au point d’oublier l’alchimie naturelle. La boucle est bouclée, désormais les gens savent, les scandales augmentent qui font que l’on soigne désormais plus les conséquences des soins que les causes d’un simple mal unique. Le tout encouragé par la notion de durée de vie en occident plus recherchée que l’intensité présente de la vie. Vieux en vain ou vieux plus sain… la est une autre question moins physique qui touche plus l’esprit.

    La confiance n’y est plus, les gens reviennent à ce qui a toujours existé mais désormais par des approches plus scientifiques de connaissance.

    Les rebouteux de jadis, les magnétiseurs, les cueilleurs de plantes quasi hermites, sont désormais en bonne place sur la voie publique, même s’ils sont combattus par les lobbies du corps médical ou par ceux des laboratoires, qui veulent faire interdire encore dans les textes au niveau Européen les dernières officines de plantes ou les vendeurs d’huiles essentielles et autres produits sains.

    Le trou de la sécu, nous savons par qui il est creusé et encouragé depuis des années…

    Un mal de gorge, le nez bouché, une cueillère de miel de thym avec deux gouttes d’huile essentielle dessus, voila au moins 30 euros déconomisé pour le système. Problème de maux de ventre, intestin douloureux, raper une petite partie de noix de muscade dans un verre et un peu d’eau, avaler, et vous verrez le résultat le soir même… le spécialiste vous retirera 50 euros de frais et de perte de temps en plus…

    Ne pas oublier que les herbes sont aussi connues dans la cuisine sous le terme des épices, et que la qualité dans l’assiette est déja un soin préventif au quotidien.

    Les abeilles devraient être protégées par une vision nationale et internationnale et le miel devrait être subventionné par les états ou remboursé par la sécu. Le vrai miel pas le glucose pas cher des grandes surfaces…

    Les solutions existent il suffit de réutiliser au départ ses propres sens au nombre de 5 que beaucoup ont relégués à d’autres.

    PH

  3. [b]le cursus pour l’obtention du diplôme d’herboristerie a été exclu des formations de la ripoublique, on peut s’interroger longuement à ce sujet …[/b]

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