Le Sri-Lanka est un pays dont je connais peu de choses. Mais j’ai appris par contre qu’ils n’étaient pas très tendres envers certains animaux dit sauvages.Surtout envers le naja ( cobra à lunettes) et les singes.

Nous sommes un grand nombre à être ophiophobes ( phobie du serpent) et moi la première. Moins je les vois et mieux je me porte! Ce n’est pour autant que je suis pour souhaiter leur mort. chacun a le droit de vivre. De plus, je ne suis pas non plus pour les actes barbares envers les animaux. Pour en revenir aux serpents, beaucoup connaissent les célèbres charmeurs de serpents. Vous savez, le superbe cobra à lunettes qui danse au son de la flute du charmeur. Je fus épatée moi aussi face aux courage de ces hommes qui peuvent se faire mordre à chaque instant. Plus maintenant… Ces flûtistes n’ont vraiment rien de charmant. J’ai appris que ces derniers capturaient ces cobras, leurs arracher les crocs afin qu’ils ne mordent plus et soient à la merci de leurs geôliers. De ce fait, ces pauvres animaux, sans leurs crocs, se laissent mourir. en attendant leur mort, ils se  laissent porter par la musique de la flûte.

Au Sri-lanka, les hommes ( et femmes ) sont aussi très " friands" des petits singes qui font des cabrioles, comme on peut voir dans certains de nos cirques. Sauf que chez nous, les animaux sont bien traités. Dans ce pays, ils attrapent des singes mais uniquement s’ils ont une famille, un bébé singe étant le mieux. Une fois cette petite famille dans leurs mains, ils ligotent le père de famille avec une chaine au pied et le sépare de leur petit. Tant que le papa n’a pas fait les tours qui lui sont demandés, le petit lui est ôté. Une fois ses cabrioles faites, on lui redonne son enfant…jusqu’à la prochaine. Belle façon de traiter les animaux dans ce pays. Je me doute bien qu’il n’y a pas que là-bas que cela se passe ainsi. C’est tout-de-même incroyable que l’on puisse traiter les animaux de la sorte et que personne ne fasse rien. Malheureusement, ce genre de pratiques existera toujours et l’on n’y peut rien. Ce serait se battre contre des moulins à vent.

Cela me peine de voir la barbarie de l’Homme envers ces animaux. Surtout contre le cobra…un si bel animal!