Des phtalates dans le Nutella
  
 Les phtalates, substances chimiques pourtant interdites dans les jouets depuis
trois ans, sont, étonnamment, toujours autorisés dans les emballages alimentaires.
UNE TARTINE AU DEHP?
  
Ils sont notamment utilisés dans la fabrication des plastifiants pour les pots de Nutella, selon un documentaire allemand diffusé mardi passé sur Arte (rediffusion le 6 août à 11h,ou àvoir sur le site http://videos.
arte.tv/fr/videos/l_emballage_qui_tue-3334828.html).
La société Ferrero, qui fabrique la célèbre pâte à tartiner aux noisettes, reconnaît la présence de “DEHP” , un phtalate cancérigène, utilisé pour augmenter la flexibilité des plastiques, dans son produit.
Mais elle considère qu’il faudrait manger “des tonnes de tartines ” pour se mettre en danger…
Différentes études scientifiques ont pourtant mis en évidence des traces de ces phtalates dans l’organisme d’enfants qui consomment, ce genre d’aliment.
ILS MIGRENT VERS L’ALIMENT
Le problème de ces toxiques créés par l’homme  il en existerait plus de 100.000 en contact avec l’alimentation,  est leur facilité à migrer vers la nourriture, dont ils assurent la conservation de longue durée.
Or les phtalates ont la capacité de leurrer notre métabolisme, en se faisant passer pour des hormones féminines.
Ils déséquilibreraient notre système hormonal, au point d’être responsables, au moins en partie, de la chute de fertilité masculine constatée ces vingt dernières
années.
Je me demande ce que l’on peut encore manger sans risquer d’avaler du poison ou autres formules chimiques.
Quel avenir va t’on offrir à nos enfants et petits enfants,  chaque jour on parle de plus en plus du bio et c’est une bonne chose, mais quand va -t-on interdire aux grandes sociétés qui ont pignon sur rue de se faire de l’argent aux dépens de notre santé.
Bon la dessus je vais me faire une tartine mais quoi vais je pouvoir mettre dessus sans m’empoisonner !!!! 
 A oui je sais la bonne confiture de ma maman faite avec amour et sans produit chimique, quoique je vais lui demander d’ou viennent les fruits.
Merci de m’avoir lu
Eric