Bien se nourrir, c’est important. On a coutume de dire que la santé est dans l’assiette, mais la maladie aussi. Personnellement, j’attache beaucoup d’importance à la qualité des produits, mais il peut m’arriver de céder à la facilité en mangeant des produits préparés.
Ainsi, la semaine dernière, j’ai eu le privilège de déguster un velouté de homard que j’ai trouvé dans mon congélateur, pour « dépanner » comme on dit. C’est-à-dire quand on n’a pas envie de se compliquer la vie à élaborer un repas digne de ce nom.
Je vous assure que j’ai eu beaucoup de difficultés à terminer mon assiette à cause d’un arrière-goût amer fort désagréable.
La curiosité me pousse à lire l’étiquette de ce produit peu convaincant et là, consternation !
En fait de homard, il s’agissait de carapace broyée et d’un peu de pulpe (5%). Il y a des ingénieurs qui se creusent la cervelle pour nous faire manger de telles « cochonneries » !
C’est bien fait pour moi, la prochaine fois je mangerai de bons œufs de ferme dont je connais la provenance.
A ce propos, France 3 nous propose le 16 février un documentaire intitulé « Manger peut-il nuire à la santé ? »
La journaliste Isabelle Saporta s’est fait prélever du sang dont l’analyse a révélé la présence de 40 résidus de pesticides différents. Sidérant !
« Manger cinq fruits et légumes par jour » peut s’avérer dangereux : les pommes sont parmi les fruits les plus traités, c’est pourtant le plus consommé.
Si vous mangez des carottes, on vous conseille d’en enlever le cœur. Même notre sacrosainte baguette n’échappe pas à la règle : jusqu’à neuf traitements sur le blé en Picardie comme le dénonce le site « Pesticides non merci ».
Je suis toujours frappé par l’énorme différence gustative entre les légumes que j’achète et ceux que je produis dans mon petit potager. Souvent, je peste d’être obligé de passer mon temps à éplucher des légumes pour le repas de midi, mais c’est le prix à payer si on veut au savoir ce qu’on mange.
Bonjour
De toute façon, même les graines que l’on achète pour cultiver son jardin, y’a de fortes chances que des OGM se soient glissé par-ci par là.
C’est ce qu’on appelle la sélection naturelle, en voulant controler la nature à son avantage l’homme en est arrivé à mettre en place sa propre destruction. Oh bien sur ce n’est pas notre génération ni peut etre la prochaine, mais 4 ou 5…on en voit deja les prémices, des cancers, malformations, pathologies…
Hier sur TF1 ils ont diffusé un petit reportage: même un poisson péché en pleine mer sera impropre à la consommation à cause des micros-particule de plastiques que les poissons ingèrent en les confondants avec du plancton…
C’était un beau projet la production agricole de masse pour nourrir tous les humains, et finalement on ne sait plus quoi manger et il y a toujours autant de famine dans le monde!
Bonjour,
Mais réfléchissez donc un tout petit peu ! ! !
Le principale syndicat français n’en a que foute de ce que vous bouffez !
Du moment qu’ils s’en mettent pleins les fouilles, (100M) les agriculteurs qui n’y sont pas abonnés à leur truc, en ont marrent de ces soit-disant responsables-irresponsables. Et si par malheur les paysans rouspètent, ou bien qu’ils ouvrent leur bec, et bien leur prime PAC est supprimée ! ! ! Alors on la ferme point barre.
Et oui, c’est l’OMERTA dans ce milieu. On est en France
Les industriels obligent les gouvernants à ce que les OGM se mettent en place. Toujours pour le pognon. Et ne parlons pas des désherbants, ce n’est que des restes chimique de la dernière guerre, il faut bien les foute queque part !
Le salon de l’agriculture approche, demandez des explications au(x) syndicat(s), vous ne serez pas déçu.
http://les-coulisses-de-l-agriculture.over-blog.com/pages/INDRE_Comment_supprimer_les_agriculteurs-1849330.html
Très bonne lecture
invité
Et les produits dits BIO n’échappent pas à la règle surtout lorsqu’ils viennent de loin ou pousse dans des terrains pollués depuis de nombreuses années, comme ceux qui ont été arrosé par Tchernobyl.
Eux aussi existent, mais pour l’argent uniquement.
Puis j’ai le souvenir de ces champenois dans les années 50 et 60 qui allaient sulfater leurs vignes. Ils revenaient couverts de sulfate. On les appelait les « gueules bleues ».
On ne se rendait pas bien compte à l’époque. Mais rares sont ceux qui ont dépassé la soixantaine.
Vieilleforge, le lien dans votre article conduit sur la une de C4N.
[quote]…
Bonjour,
Mais réfléchissez donc un tout petit peu ! ! ![/quote]
[b]
Réfléchissez aussi!La France est elle un pays où l’on crève de faim?[/b]
Vous n’avez jamais voyagé pour voir tous ceux qui souffre[b] réellement[/b] de la faim??
Ou est ce le « plaisir divin » des Français à se plaindre pour un oui ou pour un non!!!
je vous propose de sortir de votre nombril!