Bonjour chers citoyens C4N, j’ai l’honneur de vous présenter l’un des prochains chapitres de mon prochain livre "L’instinct de survie". Vous allez peut-être le trouver un peu long à lire en guise d’article car il a plus le ton d’un reportage, mais les informations apportées valent le coup d’être lues. Et puis, vous pouvez le lire en plusieurs fois…
Bonne lecture !
LA mathématique de la musique
La musique, de par sa vibration, fait naître en nous des émotions. La musique est partout : dans notre respiration, dans les gargouillis que fait notre estomac, le bruit d’un baiser…
« Il y a de la musique dans le soupir du roseau ; Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau ; Il y a de la musique en toutes choses, si les hommes pouvaient l’entendre » (George Gordon, Lord Byron, extrait de DON JUAN)
Orphée adoucissait de sa lyre et de son chant les bêtes les plus féroces, commandait, de ses enchantements, aux sources et aux arbres (Ovide).
Le son est le principe d’organisation de l’univers, de la matière physique et vivante.
La musique peut créer, détruire, réparer et même exorciser… Elle a été utilisée pour torturer des prisonniers en leur mettant du rock à fond dans les oreilles. En même temps, elle est utilisée lors de thérapies ou de séances de relaxation, pour ses bienfaits sur le cerveau, notamment sur nos glandes endocrines, organe sécrétant des hormones dans le sang.
Notre corps quand il entend de la musique, subit une augmentation de la réceptivité du cerveau aux molécules et libère de l’endorphine et de l’ocytocine. L’endorphine est une substance qui est naturellement synthétisée par l’organisme. Elle apaise de la même façon que lorsque l’on reçoit de la morphine à l’hôpital, elle réduit le stress. Quand la musique captive, hypnotise, et libère d’endorphine, elle détourne l’attention de la douleur et la fait disparaitre. L’’ocytocine (substance naturelle aussi), apporte un bien-être, une baisse de la tension artérielle, un comportement affectif, et j’en passe, que des bonnes choses ! Cette hormone se déclenche lorsqu’une mère allaite son bébé pendant la succion, mais également lors de rapport amoureux, quand le sein est embrassé. Cela favorise l’attachement, base de l’initiation à la monogamie. Voilà qui peut expliquer la fidélité. C’est l’empreinte de l’autre…
Mais les réponses de notre métabolisme peuvent être influencées par le style musical, la mélodie, la structure harmonique, le rythme et le tempo. C’est aussi une histoire de fréquence vibratoire. Selon si c’est un rock, un twist, une valse ou un slow, l’effet est différent.
Le ton, les notes qui forment un air de musique provoquent la sensibilité de notre hémisphère droit. C’est le plaisir du goût. Le mélange des aigus et des graves selon leur codification, produit un effet agréable sur l’hémisphère gauche, qui va provoquer l’éveil et le développement de l’intellect. Mais la puissance sonore qui se calcule en décibels, peut créer des dommages irréversibles telle la surdité. La loi reconnaît que les sons sont dangereux pour l’oreille au-dessus de 85 décibels. Or, il est certain que si nous allons vérifier cela dans n’importe quelle discothèque, nous n’en trouverons pas une seule qui émet une masse orchestrale en dessous de 120 décibels. Et puis il y a les rythmes courts ou longs qui entraînent, comme les battements d’un tam-tam ou la percussion d’une batterie. C’est comme le rythme du cœur, badam-badam. Cela agit sur tout notre système nerveux et sur notre système parasympathique (nos glandes).
Bon, jusque-là vous me suivez ? Si oui, alors je me suis aussi. Allez, on continue l’enquête ! Avez-vous déjà entendu parler des messages subliminaux ? Oui ? Non ? Alors il y en a deux sortes : les visuels et les auditifs.
Les visuels sont des images insérées dans des séquences vidéo, des films ou tout support informatique. Exemple : En 1957, James Vicary, Responsable Marketing dans l’État du New-Jersey, eut l’idée d’insérer durant 6 semaines dans la présentation du film Picnic des images subliminales d’une durée de 0,03 secondes sur lesquelles il était écrit « Drink Coca-Cola » ou « Eat pop-corn ». Dans les résultats de son étude, il constata que les ventes avaient augmenté de 18,1% pour le Coca-Cola et de 57,7% pour le pop-corn. Que ne feraient-ils pas pour nous influencer, n’est-ce pas ?
Les auditifs sont des messages sonores incorporés dans un support son comme de la musique ou un livre audio par exemple. Les messages subliminaux donc, sont captés et enregistrés par le subconscient sans même que nous en ayons conscience… Pourquoi est-ce que l’on ne s’en rend pas compte ? Eh bien parce que la voix subliminale a une sonorité d’une intensité de 20 à 30 décibels, inférieure au support musical ou audio. Le son est en dessous de ce que notre conscience perçoit.
Le 10 septembre 1979, la revue «TIME» révéla que 50 magasins avaient installé aux Etats-Unis et au Canada un système subliminal pour éviter le vol à l’étalage. Ils ont employé ce procédé pour suggérer aux gens qu’ils sont honnêtes et que s’ils volent ils vont aller en prison. Grâce à cela, les pertes ont diminué et permis quelques économies de 600 000 dollars en neuf mois de temps…
Mais faut-il avoir peur du subliminal ? En France par exemple, en 1988, quand François Mitterrand a été réélu à la présidence, le "Quotidien de Paris" lui a reproché d’avoir bénéficié d’images subliminales contenues dans le générique du journal d’Antenne 2. Cependant, le procès intenté pour "manipulation électorale" a été perdu, car l’image durait plus d’un vingt-cinquième de seconde, ce qui exclut la qualification de subliminale.
Il aura fallu quatre ans pour que passe le décret du 29 mars 1992 qui rappelle que « la publicité ne doit pas utiliser les techniques subliminales » dans leurs messages publicitaires. Cela n’a pas empêché certains de continuer, genre M6 en France, durant l’émission Popstars de Décembre 2001, un téléspectateur vigilant a découvert 33 images cachées représentant un appareil photo jetable de marque clairement reconnaissable. Ou encore dans le générique de son émission « Caméra Café », avec une image subliminale représentant le logo de Freedent White, un chewing-gum. C’était en 2003. Mais aujourd’hui encore les médias utilisent ce système pour promouvoir personnage ou objet.
Les messages subliminaux envoyés sur nous à notre insu sont une violation des droits fondamentaux de l’être humain. Même s’ils ne sont pas dangereux quand ils sont utilisés sous contrôle dans un objectif thérapeutique ou de développement personnel. Mais cela existe oui. Difficile à croire et pourtant, des brevets scientifiques ont été déposé. Regardez ici : http://www.raven1.net/4877027.htm Ce brevet a été accordé à Wayne Brunkan le 31 octobre 1989 United States Patent 4,877,027 Brunkan Oct. 31, 1989. Système auditif, résumé :
« Il est possible de transmettre du son dans la tête d’une personne en irradiant sa tête avec des micro-ondes à des niveaux de fréquences de 100 MHz à 10 000 MHz qui sont modulées pour former un type d’onde bien particulier. Cette onde prend la forme d’impulsions périodiques récurrentes de très courte durée modulées en fréquence. Chaque impulsion est faite de 10 à 20 pulsations également espacées et très rapprochées les unes des autres. La largeur de chaque impulsion se situe entre 500 nanosecondes et 100 microsecondes. La largeur de la pulsation se situe entre 10 nanosecondes et 1 microseconde. Les impulsions sont modulées en fréquence par l’information audible afin de créer l’impression d’entendre chez la personne dont la tête est irradiée. »
Oh la la que c’est compliqué tout ça ! Non ça devient lourd là et ce n’est pas le but de mes écrits. Ce n’est pas la peine que j’aille si loin. Stop ! Stop ! On arrête la parano, tout n’est pas perdu ! On peut toujours « se brancher » sur les bonnes fréquences ! Comment expliquer cela ?
Bon, on a tous plus ou moins entendu parler d’électro-encéphalogramme. Même si on n’a jamais trop compris ce que c’était exactement, on sait qu’en principe, c’est un examen sur notre cerveau, que l’on passe à l’hôpital. En fait, c’est une façon d’explorer l’activité électrique de notre tête. En gros, on nous met des électrodes sur le cuir chevelu et après il y a une machine qui sort un papier où sont dessinées des sortes de vagues. Ces vagues sont les mesures tracées de notre potentiel électrique. On appelle cela aussi des rythmes cérébraux. Ceux-ci sont classés selon leur fréquence. On se sert en principe de cet examen pour ceux qui sont dans le coma, qui ont des lésions cérébrales, pour les épileptiques, etc. D’après les résultats, les docteurs nous disent si notre problème est psychologique, pathologique, ou neurologique…
Un hertz est égal à une ondulation par seconde. Quand on dit qu’un tracé cérébral est "plat", ça veut dire qu’il n’y a plus d’activité cérébrale. On est mort.
Pendant que l’on dort profondément et qu’on ne rêve pas, nous émettons les ondes delta, qui vibrent entre 0,5 et 4 hertz (on peut écrire Hz pour aller plus vite).
Lors d’une relaxation très profonde, tout en étant réveillés, nous sommes dans les ondes thêta, c’est-à-dire entre 4 à 7 Hz.
Si nous sommes calmes, éveillés, en relaxation légère, notre fréquence est entre 8 Hz et 13 Hz. Ce sont les ondes alpha.
Au-delà de 14 Hz, nous sommes en ondes bêta. Ça veut dire que nous pratiquons une activité courante, ou bizarrement, que nous sommes en phase de sommeil paradoxal (que nous rêvons). Comme si le sommeil paradoxal était équivalent à une activité courante…
Quand on commence à faire des maths, à résoudre des problèmes, ou tout simplement à créer, l’intensité de notre réflexion nous fait passer au-dessus de 30-35 Hz. On appelle cela les ondes gamma.
La fréquence de nos ondes cérébrales varie donc en fonction du type d’activités que l’on exécute ou pas. Les insomniaques par exemple sont des personnes qui restent dans les ondes bêta. C’est pour cela qu’ils ne trouvent pas le sommeil. Les ondes thêta seraient les meilleures pour la médiation et donc la résolution de problème, mais il n’est pas simple d’y accéder, à moins d’être un moine bouddhiste. Non, tout le monde peut y avoir accès, il suffit juste de le vouloir… C’est de l’autosuggestion mentale. L’implantation d’une idée en soi-même par soi-même. Mais bref, revenons à nos moutons !
Plusieurs phénomènes peuvent influencer le rythme de nos ondes cérébrales : La musique d’un tambour, d’une marche militaire, d’une note jouée sur un instrument de musique, d’un cœur qui bat, une voix qui chuchote… Tout est résonnance. Les pulsations sonores émises dans nos oreilles peuvent ralentir ou accélérer le rythme de notre fréquence.
Malheureusement, nous sommes entourés par une pollution électromagnétique et de nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer les effets délétères sur notre physiologie et notre comportement. Exemple le téléphone, les stations-relais, les ondes wifi, micro-ondes, les messages sonores non désirés…, etc. Il y a bien sûr et soi-disant des sécurités. Le problème, c’est que ces irradiations hertziennes artificielles émettent des milliers de fois plus élevées qu’une irradiation hertzienne naturelle. Et notre santé se retrouve prise en otage…
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), elle-même, dans son bulletin de Mai 1998, pose la question de l’atteinte à la liberté que constitue le fait d’être soumis à domicile ou lors de déplacements extérieurs, au rayonnement d’une antenne relais 24 heures sur 24, sans être soi-même utilisateur d’un téléphone GSM.
Neil Cherry, cite le rapport de l’OMS ("Environmental Health Criteria 137 : electromagnetic fields"). Celui-ci conclut une étude des caractéristiques physiques des micro-ondes dans leur interaction avec la matière. Il écrit : « Il a été montré que les organes du corps (d’adultes ou d’enfants), dont les dimensions approchent la demi-longueur d’onde concernée (donc 16 à 17 cm pour les GSM), absorbent plus ces micro-ondes que des objets plus grands, que les micro-ondes changent l’orientation moléculaire de molécules asymétriques, et que maintes expériences sur des animaux montrent des effets biologiques dans l’encéphale ainsi que sur le niveau d’activité chimique des cellules. »
Bref, en clair, la résonnance de ces interactions avec notre cerveau, représente un aspect essentiel de la pollution électromagnétique. Notre ADN absorbe le rayonnement de ces ondes et perturbent notre génétique. Elle peut aller jusqu’à provoquer des ruptures dans les hélices de notre ADN et enclencher des cancers ou des dépressions. Les dommages peuvent être lourds de conséquences. De véritables armes camouflées…
Mais les chercheurs, qui se penchent sur les mystères de la nature ont découvert que notre ADN pouvait communiquer, comme si il avait une conscience. On sait que les fréquences des organismes vivants ont un rôle essentiel dans le maintien de la vie (Voir C.W. Smith & S. Best : "L’homme électromagnétique", édition ENCRE).
Edgard Cayce disait : « Harmoniser la vie en accord avec les fréquences de la nature et il y aura plus de joie, de bonheur et de beauté dans nos expériences de tous les jours. »
Un chercheur de l’université de Floride (Etats-Unis), Mohamed Kabbaj, étudiait l’influence de l’environnement sur les gènes quand il a découvert chez un petit rongeur monogame, appelé le campagnol des prairies (au Nord de l’Amérique), que lors du premier rapport sexuel avec un partenaire, l’attachement lié à son âme-sœur, se traduit au plus profond de lui par un changement de son ADN, c’est-à-dire une modification dans sa configuration qualifié d’épygénétique. C’est l’alchimique de l’attachement…
L’ADN peut communiquer en étant émetteur ou porteur d’information sans être soumis à l’espace/temps. Nous pouvons presque expliquer la télépathie grâce au paradoxe scientifique bien connu appelé Einstein-Podolski-Rosen, ou Paradoxe EPR. Celui-ci explique que deux particules de matière, qui ont été ensemble une fois et qui ont été séparées, restent pour toujours en relation. Si l’une des deux particules, par la suite, est soumise à une modification, l’autre particule réagit immédiatement, même si elles sont séparées entre-temps par des années-lumière (comme des vrais jumeaux !). Un brin d’ADN qui se casse par exemple, continuera toujours d’émettre des ondes, même s’il n’est plus là ! On l’appelle d’ailleurs l’ADN fantôme (comme le membre fantôme d’un estropié !). D’où peut-être la télépathie entre deux êtres connectés. Plus on s’aime, plus on se ressent. Quand un a mal, l’autre a mal aussi, et là, ce n’est pas qu’une question d’empathie. C’est dans les gênes ! Wouuuuuuuuh C’est fort ça ! Faire l’amour modifierait notre ADN ! Alors attention avec qui on s’accouple ! Il vaut mieux vérifier la fréquence de la vibration de l’être qui nous fait face avant de faire crac-crac boum-boum ! Je comprends encore mieux l’importance du préservatif, et sans même parler des maladies…
Donc, fréquence d’un son + lumière + chaleur + vibration = existence du macrocosme au microcosme ou vice versaaa, lalala lala ! Un peu de sérieux voyons… Rigolez pas, j’ai passé des heures à collecter toutes ces infos. Vous croyez que tout cela je le savais moi avant de vous l’écrire ? Que nenni ! J’ai dû chercher ! Tout ça à cause de quelqu’un qui un jour a dit : « Qui cherche, trouve » ! Il n’avait pas forcément tort me direz-vous… Alors j’ai cherché et j’ai trouvé, pas tout, mais j’ai trouvé assez d’infos pour avoir envie de les partager. Je ne pouvais pas garder cela juste pour moi ! C’est quand même stupéfiant de découvrir les liens entre les mathématiques, la musique et la création existentielle, hein ?
La musique est une vibration. Dans la vie, tout est vibration. La lumière est une vibration. Même la couleur est une vibration qui émet elle-même une vibration. En 1704, Newton était convaincu qu’il devait y avoir une parfaite correspondance entre les couleurs et les notes de la gamme. Voltaire, dans les Éléments de philosophie de Newton (1738), p. 182, résume les résultats : « La plus grande réfrangibilité du violet répond à ré ; la plus grande réfrangibilité du pourpre répond à mi. » Violet/ré, pourpre/mi, bleu/fa, vert/sol, jaune/la, orange/si, rouge/do (ut). » Voltaire ajoute : « Cette analogie secrète entre la lumière et le son donne lieu de soupçonner que toutes les choses de la nature ont des rapports cachés que peut-être on découvrira quelque jour. »
Les éléments naturels de ce qui nous entourent vivent dans une résonnance qui vibre à une fréquence de 432 hertz. C’est l’harmonie de la fréquence terrestre. C’est également le rythme de notre fréquence cérébrale Alpha, dans laquelle nos deux hémisphères du cerveau sont synchronisés pour fonctionner ensemble en harmonie.
L’eau également, constituante majeure de toute la vie, est à une fréquence de 432 hertz, comme les atomes et molécules qui nous entourent. Cette fréquence est démontrée et calculée par des professeurs scientifiques comme Louis de Broglie, avec ses formules de physique quantique. L’être humain étant composé de 70% d’eau (90% dans le cerveau), voyez l’influence que peut avoir ce diapason sur notre organisme.
Guy Maneveau en 1975 a observé que beaucoup de créateurs font comme si do / mi / sol était l’accord parfait, alors que, dans la nature, on a plutôt do / do / sol / do / mi etc. Il a proposé que la construction harmonique soit, chez Mozart, plus fidèle, globalement, à la distribution naturelle des résonances. Et Mozart, comme Back réglaient leurs instruments sur le La 432 Hz !
Bob Marley avec sa chanson One Love avait ses instruments réglés sur une fréquence de 432 Hz, Evanescence avec My Immortal, idem : 432 Hz. Pareil pour John Lennon avec Imagine, Michael Jackson avec Earth Song. Je ne suis plus étonnée de la réussite de leurs albums !
Yannick Van Doorne, nous explique que 432 Hz, c’est la fréquence du vivant. Elle est inscrite dans tout notre système solaire. L’orientation de l’axe des étoiles se fait sur 25920 années grâce à la terre qui tourne dans l’univers. C’est comme une toupie qui tourne toujours dans le même sens. Son cycle est mesuré sur la durée pour parcourir un mouvement circulaire complet de 360 degrés. Si on divise 25960 par 360, on obtient 72. Tous les 72 ans, les équinoxes se déplacent de un degré, ce qui correspond à une harmonique de la note du Ré (288 Hz), même fréquence que le battement d’un cœur), quand le « La » est accordé à 432 Hz. les autres notes correspondent exactement aux fréquences de résonances des éléments naturels. Le sol par exemple correspond à l’oxygène (384 Hz). Ce n’est pas pour rien que dans l’agriculture, on retourne la terre du « sol », qu’on le labour. C’est pour l’aérer et faire circuler l’oxygène afin d’augmenter sa fertilité, que la vie germe ! Donc dans la musique quand il y a du sol en 384 Hz, en principe, on devrait respirer mieux ! Je ne connais pas la signification et le lien pour toutes les notes de musique. Pour le moment, nous avons le La de la nature de l’univers, le mi du miracle et le sol de l’oxygène. Ah mais… Comment ça je ne vous ai pas parlé du mi miraculeux ? Nooon ! J’ai oublié ! Alors, dans la gamme solfège (pas diatonique), la note Mi viendrait de « mi-gestorum ra » en latin. Cela signifierait « miracle ». Et c’est la fréquence utilisée par les biochimistes pour réparer l’ADN cassé. Mi serait donc l’empreinte génétique sur laquelle la vie serait fondée en 528 Hz. Voilà qui donne de l’espoir…
Le Do correspondrait à la fréquence de résonnance de la lumière, d’où le fait qu’il soit absorbé très facilement lors de la photosynthèse avec les plantes. À l’université de Florence (Italie), eu lieu un essai. C’était en 2010. Ce fut une expérience significative et indicative d’un travail d’étudiant qui a été menée sur une plantation de vignes. Avec de la musique classique baroque en 440 Hz, fréquence « normative », les haricots ont eu une croissance de 30% supérieure à ceux qui n’écoutait pas de musique. Avec du 432 Hz, l’expérience est encore plus prometteuse.
Mais en en 1936, un certain J Goebbels a modifié la fréquence des instruments. Et l’American Standards Association a recommandé que le La au-dessus du Do moyen soit réglé en 440 Hz. En 1953, toute la musique occidentale a commencé à s’accorder avec le La à 440 Hz. Tous les instruments de musique, les diapasons, les programmes de création musicale sont accordés à cette fréquence. En 1939 les Nazis décident par leur ministre de la propagande Goebbels d’accorder le La de référence à 440 Hz comme standard, bien que la référence la plus utilisé mondialement étaient encore le La à 432 Hz. Propagande ou pas ? N’empêche qu’en 1955, le La à 440 Hz devient le standard mondial ISO et en 1975, le diapason La 440 Hz devient une norme (ISO 16:1975).
On peut se demander quelles raisons ont réellement poussés les hommes de pouvoir de cette époque à adopter le La à 440 Hz par opposition au « La » à 432 Hz ? Il y a quelque chose de pas logique là. Si le La à 432 est plus riche d’arguments scientifiques et de correspondances retrouvées dans l’univers et la nature qui nous entoure, pourquoi ont-ils fait ça ? Aucune musique ethnique ou ancienne n’est jouée à la hauteur de note telle le La 440. Mais comme disait Platon : « Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique. » Il avait déjà tout compris lui…
Les instruments accordés en La 432 Hz ont un impact important sur notre corps car ils nous font vibrer encore plus qu’au son d’une musique ou d’un instrument en 440 Hz, qui comme nous l’avons déjà vu, n’est pas une harmonique de la fréquence de l’eau. Le 440 Hz, désharmonise, décale nos vibrations de 8 Hz. Cela créé conflits, désordres, maladies et guerres ! La musique résonne alors au plus profond de nos cellules et les imprègne de toutes ses vibrations. Alors il serait bien de pouvoir choisir la fréquence que nous souhaitons. Où est passé le libre-arbitre ?
Pour un peu d’info sur l’histoire, c’est Guido d’Arezzo (990/1050), théoricien de la musique, qui, en 1028, s’inspira d’un hymne des vêpres (Poème écrit par Paul Diacre (730/799) – Hymne à St Jean Baptiste) pour trouver un nom à chaque note de l’octave. Il a détaché la première syllabe au début de chaque verset et ça a donné cela :
Utqueant laxis Resonare fibris |
Pour que puissent |
En nommant les notes, Guido a donné un moyen mnémotechnique pour que ses élèves s’en souviennent. Dans un premier temps, la gamme utilisée ne comportait que 6 notes : ut, ré, mi, fa, sol, la. Le "si" n’est nommé qu’à la fin du 16ème siècle grâce au moine français Anselme de Flandres. Et le "ut" deviendra "do" au 17ème siècle, peut-être pour une meilleure facilité de prononciation dans le chant. (Source : encyclopédie universelle)
Pour info, le mot octave se dit octavus en latin, ce qui signifie huitième. Il signifie aussi huitaine dans l’église romaine. Cela correspond à un espace de huit jours consacrés à quelques fêtes comme l’octave de Pâques, de Pentecôte, de Dieu. En musique, l’octave est un intervalle de huit degrés qui comprend huit notes.
La musique a un effet très profond sur l’âme humaine. Quand dans la Genèse de la Bible il est écrit "Au commencement était le verbe…", cela voulait peut-être dire "Au commencement était le chant. C’est peut-être pour cela que les hommes chantaient leur amour pour Dieu. Jusqu’à ce que l’Église Catholique, au Moyen-Âge, élimine le chant du Barde, car la musique et le chant étaient l’art de la fonction des druides celtiques, et interdise sous peine de mort, les chants autres que les chants grégoriens.
Alors la musique s’est séparée de la religion et les hommes ont commencé à chanter des chants populaires d’amour pour les femmes, puis les femmes pour les hommes. Aujourd’hui, beaucoup chantent pour eux-mêmes, l’amour de leur égo, l’amour de leur anéantissement, l’amour de la mort ou du mal…
Lors d’une interview chez Harmony Music, Sacré Planète pose quelques questions à Franck Nabet, un musicothérapeute énergéticien, à lesquelles il répondit :
Sacrée Planète : "Quelles sont vos expériences sur les effets du 432 Hz sur l’être humain ? "
Franck Nabet : "Ce dont je me suis rendu compte sur le plan énergétique, c’est que le diapason en la 432 Hz "activait" l’énergie au niveau du cœur, et de ce fait permettait à l’être humain d’être plus centré sur son ressenti, d’être plus à l’écoute de ce qu’il est. Comme cette musique contient des harmoniques en résonance avec les éléments fondamentaux de la vie, bien évidemment, son impact est important sur le plan physique.
Enfin, elle nous connecte avec notre "créateur" (le créateur qui est en nous), notre dimension "divine" en quelque sorte, grâce notamment à cette activation du centre énergétique du cœur.
Le battement du cœur d’un être humain adulte au repos est "idéalement" de 72 battements par minute, ce qui correspond exactement à un sixième de 432 Hz ou la moitié de 144. Le 144 Hz est aussi la fréquence du ré quand le LA est accordé en 432 Hz. Bien entendu, ceci n’est valable que lorsque la gamme utilisée est une gamme Pythagoricienne.
Il me semble intéressant de nous arrêter sur le Nombre 432. N’est-il pas considéré comme "sacré" ? Nous le retrouvons dans une majorité de temples sur notre planète. Par exemple, le côté de la grande Pyramide d’Egypte est de 432 unités terrestres au niveau de la mer (une unité terrestre mesure 51,49 cm – ancienne unité de mesure de l’époque de sa construction). À Teotihuacan (Mexique), la grande pyramide du soleil du complexe Toltèque mesure sur toute la périphérie de sa base 864 UTS (Unités de mesure Téothiuacan Standards), 864 est exactement le double de 432. Dans le calendrier Toltèque, nous pouvons noter le cycle Katun qui comprend 7 200 jours, où l’on retrouve à nouveau le 72, le tiers de 432. Le calendrier des Vedas comporte un grand cycle de 432 000 ans.
Sacré Planète : "Avez-vous personnellement fait des recherches sur la symbolique du nombre 432 ?"
Franck Nabet : " Sans faire de recherches particulières, j’ai remarqué la présence du Nombre 432 dans de nombreuses traditions. Dans la bible, par exemple, nous retrouvons souvent le chiffre 144, qui est aussi une harmonique du ré correspondant au diapason la 432 Hz (exacte uniquement dans la gamme pythagoricienne).
D’ailleurs, je dis souvent que ce chiffre n’est en fait qu’une suite arithmétique qu’il nous faut terminer, 4, 3, 2, et UN. C’est ce qui nous ramène à l’unité. En fait, ce diapason est tout à fait de notre temps puisqu’il nous propose d’être un peu plus dans nos cœurs et de réaliser ce que nous sommes venus expérimenter sur Terre. "
Il est donc l’heure que tous les musiciens se mettent au diapason. Imaginez un monde où tout serait basé sur la fréquence du LA 432 Hz. Levons le voile de l’ignorance sur l’harmonie de la vie. Les sons qui viennent du cœur possèdent une qualité intérieure. La musique exprime les états d’âme et il serait bien de connaitre les siens.
Oui, les sons viennent du cœur, et du corps. Car avant de s’exprimer sur les cordes de la harpe universelle, ils naissent dans les poumons et leur souffle traverse le larynx jusqu’à ce qu’il fasse vibrer les cordes vocales. Et puis avec la posture, la respiration, les muscles, c’est tout le corps qui module la voix. Le cerveau aussi : "Plusieurs neurotransmetteurs sont essentiels à l’impact de l’émotion sur des régions profondes du cerveau telles que l’aire péri-acqueducale grise qui modifie et agit directement sur le larynx par l’intermédiaire du nerf vague, explique Didier Grosjean, du Centre interfacultaire en sciences affectives à l’université de Genève.
Le son, donc, est un mouvement de l’air. Quand il arrive à l’oreille, il fait vibrer l’air de nos tympans. Et cette vibration entre dans notre cerveau et notre sang et notre âme aussi. En fonction de l’intonation grave ou aigüe, nos neurones entendant conduisent aussitôt les informations à notre cortex. C’est grâce à cela que nous savons si nous sommes en danger ou pas. En effet, presque automatiquement, notre tête se tournera vers le son qui dérange ou qui enchante.
La musique apporte au corps des modifications physiologiques, expressives et mentales. Elle est le langage de l’âme, elle effraye ou elle calme, elle endort ou elle fait danser. Une gamme de sons qui plait, c’est un frisson musical qui va jusqu’à produire dans le cerveau un afflux de dopamine appelé aussi l’hormone du plaisir. La musique est bel et bien un stimulus d’émotions. À quand l’orgasme musical ?
Alfred Tomatis, un oto-rhino-laryngologiste qui a découvert une méthode de rééducation sur le traitement des troubles de l’audition et du langage appelé la discipline audio-psycho-phonologie, disait : « Celui qui chante bien fait de tout son corps une sorte d’instrument extraordinaire, qui se prend à vibrer par un appui total du larynx sur la colonne vertébrale. De ce fait, c’est la colonne qui chante, et qui en chantant, fait vibrer tout le corps, notamment les os du crâne. Le son vrai sort de partout et non pas seulement de la bouche. »
Pour finir, voici un texte de Marc-Antoine Charpentier (1635-1704) dans ses Règles de composition (1690) présentant ainsi les "propriétés des modes" :
« Do majeur gai et guerrier
Do mineur sombre et triste
Ré mineur grave et pieux
Ré majeur joyeux et très guerrier
Mi mineur efféminé, amoureux et plaintif
Mi majeur querelleur et grognon
Mi bémol majeur cruel et sévère
Fa majeur furieux et emporté
Fa mineur obscur et plaintif
Sol majeur tranquillement joyeux
Sol mineur sérieux et magnifique
La mineur tendre et plaintif
La majeur joyeux et pastoral
Si bémol majeur magnifique et joyeux
Si bémol mineur obscur et terrifiant
Si mineur solitaire et mélancolique
Si majeur sévère et plaintif. »
Selon O. M. Aïvanhov, « le Sol représente le cœur, le Ré l’intellect, le La l’âme, et le Mi l’esprit. »
[b]Il n’y a pas de son dans l’espace[/b]
L’onde sonore, ou acoustique, est comparable aux vagues qui se propagent à la surface de l’eau. Pas d’eau, pas de vague. Le son est l’expression de la vibration du support, et sans ce moyen de transport mis à sa disposition elle ne peut voyager.
REm contrairement à ce qu’on peut penser, l’espace n’est pas vide. Il contient une très faible densité de matière, de l’ordre de 1 atome pour chaque cm³ d’espace.
« [i]Le son est l’expression de la vibration du support[/i] »
[b]Libertus…[/b] J’aime l’expression de cette expression ! 😉
Mais pourquoi est-ce qu’il n’y aurait pas de son dans l’espace ? Il doit bien y avoir une résonnance dans cette immensité ! Oui l’espace n’est pas vide, d’ailleur j’ai toujours pensé que cette couleur noire devait être une matière particulière d’une densité particulière. Par contre, vous m’apprenez quelque chose : « 1 atome par cm3 d’espace ». Ca ne fait pas beaucoup, mais c’est sûrement significatif…
[b]Pas de son sans support[/b]
En effet le son ne se diffuse pas en l’absence de support. Car le bruit est constitué de vibrations : les ondes acoustiques. Ces successions très rapides de surpressions et de dépressions, voyagent exactement comme des vagues. Et comme des vagues, qui n’existeraient pas si elles n’étaient pas portées par l’eau, les vibrations sonores utilisent nécessairement un milieu physique comme moyen de transport : c’est le support lui-même qui acquiert un mouvement.
[url]http://www.linternaute.com/science/espace/pourquoi/05/espace-silence/pourquoi-espace-silence.shtml[/url]
Donc le son d’une vibration ne se produit que là où il y a de l’oxygène (eau, air, acier)… La vie amène la parole. Ok.
« Ta Parole est une lumière sur mon sentier ».
Après réflexion, rectificatif sur un point : Même s’il n’y a qu’une seul atome pour 1 cm3 d’espace, cela veut dire que l’espace n’est pas vide et que peut-être cet atome pourrait servir de support pour la vibration. Je dirais que c’est un son en suspension qui n’attend pas grand chose pour se manifester. Il suffirait peut-être d’un mouvement dimensionnel pour qu’il y ait un rapprochement entre atome et cm3, ainsi la vibration alignée sur son support pourrait émettre un son. C’est une hypothèse probable il me semble.
Euh… Est-ce que l’on sait de quel atome il s’agit ?
Il faut voir si cet atome a la capacité ou non de produire de l’oxygène. Peut-être qu’actuellement dans l’espace, il est fermé à ce développement et que pareil, il ne faudrait pas grand-chose pour qu’il donne la petite goutte d’oxygène nécessaire. Si la planète terre a été créé avec de l’oxygène c’est que quelque part dans cette tambouille d’espace, il y a le nécessaire pour que cela se créée. Non ?
La parole vient du son, qui vient d’une vibration déposée sur la vie 🙂
Le problème des insensés est souvent de
parler de choses qui dépassent leur niveau
de compétences !!!!!!
[b]Le Dieu « d’Amour » a parlé![/b]
Ce n’est pas à l’intelligence que l’insensé
prend plaisir, c’est à la manifestation de
ses pensées.
L’insensé dit en son coeur: Il n’y a point de Dieu!
[b]Le Cornichon a parlé![/b]
Le Dieu « d’Amour » n’a pas parlé!
Véritas, vous êtes aigris ou quoi ? Je n’ai peut-être pas vos compétences intellectuelles mais au moins moi, quand je me pose une question, je cherche la réponse.
« [i]Le problème des insensés est souvent de
parler de choses qui dépassent leur niveau
de compétences émotionnelles[/i] !!!!!! »
« Dieu resiste aux orgueilleux,
mais il fait Grâce aux humbles « .
« Il faut qu’Il croisse et que je diminue »
Jean-Baptiste.
Parce que vous ne vous trouvez pas orgueilleux vous à penser que vous savez mieux que tout le monde ?
commencez par vous regarder à ce sujet !
Ce serait pour vous une vie de sagesse.
une voie , excusez-moi;
une voie pour trouver la Vie !
les religions cherchent à vous élever,
la foi en Jésus vous rabaisse;
c’est pourquoi peu empruntent
ce seul chemin de la Vie .
(je vous dis ça pour vous ,
et je me le dis à moi)
Me regarder moi-même ? Je ne fais que ça Véritas. L’introspection fait partie de ma vie. Et vous >? Est-ce qu’il vous arrive de vous regarder ? De vous remettre en question ? Et puis je vous l’ai déjà dit, je n’adhère à aucune religion.
Ecoutez cette voie, elle a une vibration d’une intensité phénoménale. Elle va guérir des millions de personnes avec son don. [url]http://www.youtube.com/watch?v=TpaQYSd75Ak#t=76[/url]
pff ! guérir du péché , surement pas !
car seul Jésus peut le faire !!!
Vous etes une scientologue orgueilleuse!!!
N’importe quoi ! Voilà maintenant que vous divaguez ! On aura tout vu !