Plus qu’un phénomène de mode, une habitude.
Le e-commerce s’est développé à la vitesse de l’éclair et est désormais un élément incontournable de la consommation des Français. Facile, rapide, fiable, économique, faire ses achats en ligne est en passe de devenir la norme.
Développement du e-commerce
Les chiffres des soldes et de la consommation estivales en attestent, les Français sont séduits par les achats en ligne. Gage d’un vaste choix et des prix les plus bas, en cette période de contraction budgétaire, le commerce en ligne offre des avantages substantiels aux consommateurs. Voyages, alimentation, hi-fi, voitures, prêt-à-porter : rares sont les domaines pouvant faire l’impasse sur l’internet.
En France, le e-commerce a progressé de 20% en 2012, avec un chiffre d’affaires en hausse de 13%. Avec la maturation du marché, des géants ont naturellement émergé, aux premiers rangs desquels eBay et Amazon. Mais depuis quelques mois, force est de constater que les résultats des « pure players » – ces enseignes uniquement présentes sur internet – stagnent. En réalité, ce sont les marques ayant à la fois des magasins physiques et des sites internet qui réalisent d’importantes hausses de ventes.
Pour les commerçants, les avantages à travailler en ligne sont, évidemment, également nombreux. La gestion des stocks est facilitée, les coûts liés au personnel sont considérablement réduits et les prestations de service après-vente sont nécessairement moins exigeantes. En outre, avec la généralisation de ce mode de consommation, les désagréments et coûts liés aux moyens de paiement en ligne tendent également à se réduire au maximum.
Création de solutions de paiement en ligne
Cela a notamment été rendu possible par la Directive européenne sur les Services de paiement de novembre 2009. Elle permet à des institutions non bancaires d’intégrer le marché des paiements et d’offrir des prestations de services de paiement. Ces entreprises, spécialisées dans le web, sont en effet plus à même de fournir aux commerçants les services dont ils ont besoin. Banque, prestataire de services de paiement et agence web, elles cumulent les compétences adéquates.
Ce secteur d’activité attire d’ailleurs de plus en plus d’acteurs, ayant reconnu les forts débouchés associés. Facebook, deuxième site le plus visité du monde après Google, envisage en effet de se lancer dans ce domaine. Mark Zuckerberg et ses développeurs bûchent en effet sur un moyen permettant au milliard de membres que compte Facebook d’entrer leurs coordonnées bancaires et de pouvoir payer en un clic, quel que soit le site. Facebook viendrait ici concurrencer, ou plutôt compléter l’offre de son partenaire PayPal, et récolterait par la même occasion de nouvelles informations personnelles, valant leur pesant d’or dans une optique publicitaire.
Le e-commerce arrive à maturité. Le marché se stabilise autour de géants de l’internet et d’enseignes disposant également des magasins physiques. De fait, le commerce en ligne présente un intérêt financier non négligeable, à la fois pour les acheteurs et les vendeurs. Ces derniers disposent en outre désormais de solutions de paiement adaptées, performantes et sûres.
J’ai entendu parler d’une solution qui s’appelle CardsOff que vous n’évoquez pas.
Je me suis renseigné : apparemment c’est une solution innovante, sans utilisation de CB et de données « piratables » pour l’acheteur, permettant de garantir le paiement des ventes au site marchant et garantissant la livraison.
Si ça marche, c’est le nirvana pour tous le monde,… et des milliards pour FaceBook, si toutefois ZUCKERBERG décide de les racheter… à bon entendeur.