Les problèmes politiques internes du Cameroun ont soulevé beaucoup de tensions, ces derniers mois avec l’élection sénatoriale. On apprend tous en ce jour, qu’ il y a probablement des personnes du groupe islamique Bôko Haram qui se sont infiltrées dans le septentrion. 

 

 Est-ce une stratégie de l’occident pour déstabiliser (comme ils savent le faire) le gouvernement du Cameroun (qui de par son ancienneté tolère moins l’oppression) ? Il parait que : « Plus le temps passe, le lion vieilli et deviens plus sage, et fort » Un homme sage nuirait-il aux intérêts de certaines personnes ? Attendons  de voir ….. Ce qui va se passer !

La guerre en Libye à été déclenchée par un mouvement banal de contestations populaires en février 2011 et l’assaut au mali s’en est suivie en janvier 2012.

Aujourd’hui soyons attentifs pour déjouer les plans déjà vus des oppresseurs !!!

Le Cameroun en ce jour se trouve au milieu de plusieurs problèmes. En RCA (république centrafricaine) où il y a quelque mois (mars 2013), Michel Djotodia, chef du groupe des rebelles de la coalition Séléka par un coup d’état à fait fuir le président François Bozizé (Celui-ci pour sauver sa vie, s’est donc réfugié au Camerounet s’est autoproclamé à la tête de l’état, (tout en suspendant la constitution). Il décide en même temps de légiférer par ordonnance pour les trois années à venir.

Cet homme, Bozizé, qui était président quelque mois avant, est devenu aujourd’hui, l’ennemi connu du président Tchadien (qui a refusé qu’il siège à Djamela à un Sommet qui avait pour but de trouver une solution face à la crise en RCA)

Michel Djotodia, il y a quelque mois demande au Cameroun de lui livrer François Bozizé, ou  de l’expulser hors de leur territoire. Message saisi par le président Paul Biya qui n’y donna pas suite, ce qui value quelques tires à la frontière des deux pays. Ensuite, Michel Djotodia est allé jusqu’à émettre à la Cours Pénal International, un mandat international pour crimes contre l’humanité et incitation au génocide.

Ceci fait donc, de François Bozizé, une lourde charge pour le gouvernement du Cameroun.

Comme-ci ça ne suffisait pas, les problèmes d’immigration qui divisent le Cameroun et la guinée équatoriale, le Nigeria s’est mis sous la coupelle de l’état de Borno (nord-est du Nigeria) du groupe rebelle Bôko Haram. De violents affrontements eurent lieu dans cet état entre ces deux adversaires. Ceci a entrainé un afflux d’immigrants. Ils s’étaient retrouvés au milieu de ces batailles, et cherchant à sauver leurs vies, coururent dans tous les sens et sans direction, se retrouvèrent au Cameroun.

L’état du Nigeria a ensuite demandé au Cameroun de livrer ces ressortissants en disant qu’il pourrait y avoir parmi ceux-là des membres du groupe (Bôko Haram) qui s’y cachent. Très vite le Cameroun à essayé de s’exécuter, mais pour raison humanitaire stoppa cette action… !

Pour résumer, le Cameroun a des voisins dangereux pour la continuité de sa stabilité.

Le Nigeria va-t-il maintenant prendre sa revanche (via la guerre) de l’affaire Bakassi (qui avait fait l’objet d’un sérieux contentieux entre les deux pays) Un jugement de la Cour internationale de justice de La Haye, en octobre 2002,  attribua la ville pétrolière de Bakassi au territoire du Cameroun au détriment du Nigéria.

 

Michel Djotodia va t’il se venger du pouvoir d’Etoudi (Cameroun) qui garde toujours sur son sol l’ancien président Bozizé ?

 

Les pseudos intellectuels (opposant du pouvoir d’Etoudi) passent leurs temps à écrire à Obama et à Hollande pour venir les libérer de Biya, prendront – ils enfin leur revanche ?

 

Le Tchad qui s’est senti humilié un temps,  par les propos de l’ancien président de la RCA va-t-il en rester là ? Ou va-t-il renégocier les contrats d’exploitation de l’oléoduc (Tchad – Cameroun) ?

 

En ce qui concerne le Gabon, il reste silencieux car le BIR (bataillon d’intervention rapide) du Cameroun à jouer un rôle phénoménal pour introniser le pouvoir de Libreville et a fait régner la stabilité dans le pays (cette même intervention qui n’a pas suffi pour maintenir le pouvoir de Bangui). Libreville soutiendra-t-il à son tour Etoudi ? Peut-être un jour… !

 

En ce qui concerne le Congo Brazzaville, le président Sassou Nguesso est très occupé avec des histoires de bien mal acquis dont il est accusé en France et qu’il ignore encore si ce ne sont pas des manigances néocoloniales pour le déstabiliser. Donc rien à signaler.